Ces rééditions qui font trop plaisir

[Antonin]

J’ai fait tourner le disque 4 fois dans le week-end… Et j’ai été clairement stupéfait, dès la première écoute, par la présence et l’énergie très brutes qui se dégagent de ce mastering.

Je vais le comparer avec ma version stéréo de même facture (Acoustic Sounds) cette semaine et je vous dirai si les impressions se confirment ou si c’est un effet placebo   

Mais de manière générale, c’est vrai qu’à cette époque les ingé-son des studios prêtaient davantage de soin aux mastering mono qu’aux mastering stéréo, destinés à un public plus restreint et souvent faits à la va-vite (Geoff Emerick le raconte bien dans son excellent « En studio avec les Beatles »).

Le mastering mono présente l’avantage d’être moins bricolé, plus spontané et naturel… Plus live quoi ! Et forcément ça fonctionne bien avec les formations Jazz restreintes.