C’est exactement parce que je connais les G1 que j’ai peur, les qualités du filtrage sont indéniables en particulier pour une 4 voies, les limites semblent l’être tout autant sur la capacité à passer la richesse tonale, la vie de la musique au niveau microdynamique. Alors est ce la pente , ou la qualité des composants?… factuellement je ne passe pas toute la richesse de la source sur les G1, et un simple filtre à 6db sur une autre enceinte le montre, en dépit des limites associées qui existent aussi bien sûr. Une enceinte est un tout donc je reste prudent dans les raccourcis, je connais aussi des enceintes filtrées à 6db qui lissent les timbres plus que la G1… c’est un tout, transducteur et filtrage, qualités des deux en série qui fixent la limite.
@Zephyr58, Je pense que deux aspects se mélangent dans les review, le rendement et la difficulté à être drivées. A priori les courbes d’impédance sont excellentes de stabilité, pas de descentes sous 4ohm, donc facilité à être menées par les amplifications. Puis le rendement qui définit basiquement un niveau sonore max selon la puissance disponible, là un petit ampli sur une grande formation orchestrale c’est rapidement de la compression dynamique à la clé, mais certains auditeurs n’ont pas de souci à vivre avec un peu de compression dynamique faite par leur ampli c’est aussi une réalité. Reste enfin le comportement acoustique selon l’amplification pour moi, les gros amplis de puissance totor donnent toujours une forme d’ampleur, d’énergie supplémentaire sur du bas rendement, quand les petites amplifications ressortent plus feutrées, alors que ces dernières semblent bien plus ouvertes sur du rendement élevé, parce que souvent le rendement faible s’accompagne d’une diffusion acoustique moins extravertie. Bon certains BE parlent d’amplis Octave en KT donnant sûrement dans les 70 watts, ce n’est pas une triode de 20watts dans ce cas.
Reste la façon de mesurer le rendement, pour les dipoles il y a quelques mots de Piega sur leur forum qui jouent sur la difficulté à mesurer un dipole, mais sans clarté évidente…: sur le coax y’a pas d’aspect dipole donc c’est moins sujet à interprétation.
https://www.piega.info/forum/allgemein/p...mls3/page5
Pour les MLS3, même si vendues pour s’intégrer partout…. En lisant entre les lignes on comprend qu’il vaut mieux être dans les conditions permettant d’éviter le maximum de mousses amortissantes derrière les diffuseurs (normal l’avantage du dipole c’est en premier de laisser respirer le transducteur pour qu’il donne toute sa rapidité, pas de l’étouffer…) donc avoir une distance au mur arrière suffisante (70cm est un grand minimum, 1m ou 1,2m plus cohérent, même avec l’aspect diffusant de l’arrière de l’enceinte), et pour pouvoir passer le « cylindre » émissif de la MLS qui n’a rien à voir avec le mode de diffusion du coax il faut 3.5m de recul mini, au risque de ne pas bien fusionner les registres et ne pas profiter de l’image sonore dont elle sera capable.
Me concernant par exemple, les conditions semblent réunies, cela n’enlève pas pour autant les doutes sur les autres aspects. Pour l’exemple, sans aucune prétention de ma part, la richesse tonale, capacité à fouiller le message dans les couleurs et la micro dynamique du MSB Ref avec Digital Director est très au delà de ce que sait faire l’Esoteric N05XD y compris avec une bonne horloge externe que j’ai apprécié plusieurs mois à la maison. Il est donc difficile de se projeter sur les capacités réelles sur ce point, considérant que j’ai franchis un gap avec cette source qui la place comme maillon fort et très discriminant envers les enceintes, au point de semer des doutes facilement et faire oublier un peu les notions de prix sur les enceintes pour revenir à des notions techniques simples, filtrage complexe ou pas, rapidité des transducteurs… tout ça pour dire que comme toujours sans essayer chez soi l’on a toujours un avis partiel, aussi bonnes soient les impressions des amis équipés de matériels différents
@Zephyr58, Je pense que deux aspects se mélangent dans les review, le rendement et la difficulté à être drivées. A priori les courbes d’impédance sont excellentes de stabilité, pas de descentes sous 4ohm, donc facilité à être menées par les amplifications. Puis le rendement qui définit basiquement un niveau sonore max selon la puissance disponible, là un petit ampli sur une grande formation orchestrale c’est rapidement de la compression dynamique à la clé, mais certains auditeurs n’ont pas de souci à vivre avec un peu de compression dynamique faite par leur ampli c’est aussi une réalité. Reste enfin le comportement acoustique selon l’amplification pour moi, les gros amplis de puissance totor donnent toujours une forme d’ampleur, d’énergie supplémentaire sur du bas rendement, quand les petites amplifications ressortent plus feutrées, alors que ces dernières semblent bien plus ouvertes sur du rendement élevé, parce que souvent le rendement faible s’accompagne d’une diffusion acoustique moins extravertie. Bon certains BE parlent d’amplis Octave en KT donnant sûrement dans les 70 watts, ce n’est pas une triode de 20watts dans ce cas.
Reste la façon de mesurer le rendement, pour les dipoles il y a quelques mots de Piega sur leur forum qui jouent sur la difficulté à mesurer un dipole, mais sans clarté évidente…: sur le coax y’a pas d’aspect dipole donc c’est moins sujet à interprétation.
https://www.piega.info/forum/allgemein/p...mls3/page5
Pour les MLS3, même si vendues pour s’intégrer partout…. En lisant entre les lignes on comprend qu’il vaut mieux être dans les conditions permettant d’éviter le maximum de mousses amortissantes derrière les diffuseurs (normal l’avantage du dipole c’est en premier de laisser respirer le transducteur pour qu’il donne toute sa rapidité, pas de l’étouffer…) donc avoir une distance au mur arrière suffisante (70cm est un grand minimum, 1m ou 1,2m plus cohérent, même avec l’aspect diffusant de l’arrière de l’enceinte), et pour pouvoir passer le « cylindre » émissif de la MLS qui n’a rien à voir avec le mode de diffusion du coax il faut 3.5m de recul mini, au risque de ne pas bien fusionner les registres et ne pas profiter de l’image sonore dont elle sera capable.
Me concernant par exemple, les conditions semblent réunies, cela n’enlève pas pour autant les doutes sur les autres aspects. Pour l’exemple, sans aucune prétention de ma part, la richesse tonale, capacité à fouiller le message dans les couleurs et la micro dynamique du MSB Ref avec Digital Director est très au delà de ce que sait faire l’Esoteric N05XD y compris avec une bonne horloge externe que j’ai apprécié plusieurs mois à la maison. Il est donc difficile de se projeter sur les capacités réelles sur ce point, considérant que j’ai franchis un gap avec cette source qui la place comme maillon fort et très discriminant envers les enceintes, au point de semer des doutes facilement et faire oublier un peu les notions de prix sur les enceintes pour revenir à des notions techniques simples, filtrage complexe ou pas, rapidité des transducteurs… tout ça pour dire que comme toujours sans essayer chez soi l’on a toujours un avis partiel, aussi bonnes soient les impressions des amis équipés de matériels différents

La hifi est femme. Imparfaite par nature, on la choisit pour ce qu'elle a, pas pour ce qu'elle dit avoir. Mais si on voit ses défauts avant ses qualités, on est pas fait pour en avoir une, mieux vaut se soulager sous la douche, en écoutant la radio.
Ventes à venir ou en cours (MP si intéressé pour en discuter): Leedh E2 Glass + caisson 20.1.
Ventes à venir ou en cours (MP si intéressé pour en discuter): Leedh E2 Glass + caisson 20.1.