Vieille Chapelle.
Pour un studio le mieux c est le DSD échantillonnage sur 1 bit, qui tient beaucoup de place sera "simplfié" après pour être mis sur cd en 16/44. Il doit y avoir plus de détails d informations musicales a la sortie en DSD.
Mais le fichier DSD, est tributaire, d un système avec tous ces éléments.
Pour le Kolne Concert en fichier DSD64 versions Japan taille 2.7 giga un cd environ 600 mega et représente 64 fois l échantillonnage cd.
Sachant qu il existe du DSD 512
Cependant je préfère l écoute du CD, c est en DSD c est plus aéré, plus fin, mais version cd 16/44 beaucoup plus de présence, spatialisation...
Je ne pense pas que ce soit la faute du DSD mais depuis le temps, la maitrise de bon lecteur cd est acquise et maitrisée, et normalement bien mise en œuvre, s émancipant un peu plus d une restitution "trop numérique" aseptisée.
Pour les Dac c est une autre histoire, sans compter la qualités les appareils intermédiaires, les câbles, et tous les parasites que cela véhicule.
Et bien entendu la vague de la dématérialisation, qui a vu fleurir des centaine de pseudo fabricants, plus présents pour l argent que pour la musique.
Aprés il faut rester réaliste, rien ne s approche de manière authentique d une interprétation en face d un instrument. surtout d un piano de concert.
Pour un studio le mieux c est le DSD échantillonnage sur 1 bit, qui tient beaucoup de place sera "simplfié" après pour être mis sur cd en 16/44. Il doit y avoir plus de détails d informations musicales a la sortie en DSD.
Mais le fichier DSD, est tributaire, d un système avec tous ces éléments.
Pour le Kolne Concert en fichier DSD64 versions Japan taille 2.7 giga un cd environ 600 mega et représente 64 fois l échantillonnage cd.
Sachant qu il existe du DSD 512
Cependant je préfère l écoute du CD, c est en DSD c est plus aéré, plus fin, mais version cd 16/44 beaucoup plus de présence, spatialisation...
Je ne pense pas que ce soit la faute du DSD mais depuis le temps, la maitrise de bon lecteur cd est acquise et maitrisée, et normalement bien mise en œuvre, s émancipant un peu plus d une restitution "trop numérique" aseptisée.
Pour les Dac c est une autre histoire, sans compter la qualités les appareils intermédiaires, les câbles, et tous les parasites que cela véhicule.
Et bien entendu la vague de la dématérialisation, qui a vu fleurir des centaine de pseudo fabricants, plus présents pour l argent que pour la musique.
Aprés il faut rester réaliste, rien ne s approche de manière authentique d une interprétation en face d un instrument. surtout d un piano de concert.