05-21-2017, 03:35 PM
A la recherche de câbles de modulation pour remplacer mes MIT Terminator 2 et non convaincu par l'écoute des Esperit Beta et Kappa, j'ai décidé d'appeler Whynot qui fabrique des câbles dont j'ai entendu parler.
Heureux hasard, j'habite à seulement quelques kilomètres de Nathalie qui fabrique ces câbles. C'est très gentiment qu'elle m'a proposé de lui rendre visite pour écouter son système.
Accueil très sympathique, dans cette pièce dédiée à la musique. Nathalie commence par me présenter le matériel: un ampli et préampli D.I.Y de très belle facture, semblable à du matériel haut de gamme de commerce. Le capot supérieur de l'ampli, double mono, en plexiglas laisse voir les énormes condensateurs qui en disent long sur le dimensionnement de l'alimentation. De ces appareils sortent, et entrent, d'énormes câbles de la gamme Opus 18. Le secteur n'est pas négligé, chaque apapreil est relié, via un câble secteur de la maison, à un multiprise, maison aussi, boîte en bois de forme hexagonale, reliée elle-même au secteur avec un gros câble blindé.
Après cette présentation, Nathalie m'invite à m'installer dans le fauteuil central, point d'écoute optimum.
Dès les premières notes, à volume soutenu, je me dis que nous avons affaire à un système d'écoute exceptionnel.
Les Spendor SP100 sortent un son limpide, très équilibré sur l'ensemble du spectre, laissant place librement à la musique sans aucune coloration et sans retenue.
Malgré le volume assez imposant de ces enceintes, aucun "bruit de boîte" n'est perçu, chaque musicien est à sa place dans une très bonne spacialisation de la scène sonore.
La voix de Diana Krall est sublime, beaucoup de présence et une différence de plan sonore très nette avec la musique.
Sur des morecaux complexes de Direstrait ou Ledzepplin 4 (plage 4), tout est à sa place sans confusion ni effet "brouillon".
Le morceau Time du célèbre album Darke side des Pink Floyd est saisissant de réalisme, jamais je n'avais entendu avec tant de clarté les premiers sons, juste avant le tintement des horloges dont les timbres s'envolent sans limites.
Mon fils guitariste joue de la Fender Stratocaster et je suis souvent spectateur en répétition en salle de musique ou dans sa chambre.
Quand j'ai entenu le jeu de la Stratocaster de Gilmour sur le système de Nathalie, j'aurais pu croire qu'il était dans la pièce.
Au fil des morceaux à fort volume, beaucoup de réalisme sans jamais d'agressivité, ce qui est assez incroyable.
Un système très réussi, fruit du travail d'une passionnée et perfectionné par les câbles de sa conception.
Câbles que j'ai hâte de pouvoir écouter sur mon système qui, j'espère me donneront l'aération et la limpidité lui manquant.
Bref, j'ai passé un très bon moment qui m'a permis, plus qu'avec des mots, de faire évoluer mes idées sur mes critères de choix d'enceintes pour remplacer mes Rega Ela.
Merci encore à Nathalie.
Heureux hasard, j'habite à seulement quelques kilomètres de Nathalie qui fabrique ces câbles. C'est très gentiment qu'elle m'a proposé de lui rendre visite pour écouter son système.
Accueil très sympathique, dans cette pièce dédiée à la musique. Nathalie commence par me présenter le matériel: un ampli et préampli D.I.Y de très belle facture, semblable à du matériel haut de gamme de commerce. Le capot supérieur de l'ampli, double mono, en plexiglas laisse voir les énormes condensateurs qui en disent long sur le dimensionnement de l'alimentation. De ces appareils sortent, et entrent, d'énormes câbles de la gamme Opus 18. Le secteur n'est pas négligé, chaque apapreil est relié, via un câble secteur de la maison, à un multiprise, maison aussi, boîte en bois de forme hexagonale, reliée elle-même au secteur avec un gros câble blindé.
Après cette présentation, Nathalie m'invite à m'installer dans le fauteuil central, point d'écoute optimum.
Dès les premières notes, à volume soutenu, je me dis que nous avons affaire à un système d'écoute exceptionnel.
Les Spendor SP100 sortent un son limpide, très équilibré sur l'ensemble du spectre, laissant place librement à la musique sans aucune coloration et sans retenue.
Malgré le volume assez imposant de ces enceintes, aucun "bruit de boîte" n'est perçu, chaque musicien est à sa place dans une très bonne spacialisation de la scène sonore.
La voix de Diana Krall est sublime, beaucoup de présence et une différence de plan sonore très nette avec la musique.
Sur des morecaux complexes de Direstrait ou Ledzepplin 4 (plage 4), tout est à sa place sans confusion ni effet "brouillon".
Le morceau Time du célèbre album Darke side des Pink Floyd est saisissant de réalisme, jamais je n'avais entendu avec tant de clarté les premiers sons, juste avant le tintement des horloges dont les timbres s'envolent sans limites.
Mon fils guitariste joue de la Fender Stratocaster et je suis souvent spectateur en répétition en salle de musique ou dans sa chambre.
Quand j'ai entenu le jeu de la Stratocaster de Gilmour sur le système de Nathalie, j'aurais pu croire qu'il était dans la pièce.
Au fil des morceaux à fort volume, beaucoup de réalisme sans jamais d'agressivité, ce qui est assez incroyable.
Un système très réussi, fruit du travail d'une passionnée et perfectionné par les câbles de sa conception.
Câbles que j'ai hâte de pouvoir écouter sur mon système qui, j'espère me donneront l'aération et la limpidité lui manquant.
Bref, j'ai passé un très bon moment qui m'a permis, plus qu'avec des mots, de faire évoluer mes idées sur mes critères de choix d'enceintes pour remplacer mes Rega Ela.
Merci encore à Nathalie.
Rega P3 / Atoll PH100 - BlueSound node2
LFD LE MK6 / Harbeth P3ESR
LFD LE MK6 / Harbeth P3ESR