Bonjour à tous,
A l’époque où j’avais les Harbeth dans une pièce à l’acoustique chaleureuse type salon anglais, j’adorais vraiment ce que j’entendais.
J’étais en full câbles basiques y compris pour les HP, en modulation rien de fou, de l’Audioquest entrée de gamme.
La barrette venait de Leroy Merlin, pas la blanche basique mais un truc en simili-aluminium qui pourrait ressembler à un truc de qualité.
Les copains qui passaient etaient séduits par la cohérence globale et la magie qui se dégageait. Les timbres n’étaient étonnamment pas éteints, les détails foisonnaient et la bulle sonore était très marquée. En gros il n’y avait absolument rien de ce qu’on attribue aux lacunes des câbles basiques, bien contraire.
La chose que je n’ai plus jamais ré-entendu, c’est ce sentiment que de monter ou descendre le volume sonore n’avait absolument aucune incidence sur le résultat, pire, il n’y avait aucun sweet point au point que le plaisir était équivalent partout dans la pièce.
Je pense qu’à l’époque j’avais une façon d’écouter la musique moins galvaudée ou disons plus naïve qu’aujourd’hui. J’écoutais sans trop me poser de questions, je me connectais ou pas.
Les potes me prêtaient leurs câbles secteurs « audiophiles » et je n’ai jamais aimé le résultat. C’était différent, pas trop de souvenirs pour en faire une description précise mais la magie disparaissait.
La suite, vous la connaissez puisque je pense que nous la vivons à peu près tous un jour où l’autre, on enclenche le processus de perdition…
Je crois aussi que ce qui est fondamental, c’est la synergie entre les câbles et les divers supports (enceintes, électroniques, sol, barrette).
Ne pas négliger les supports… Pas sûr que l’enjeu se limite à la simple maitrise des vibrations.
J’ai l’impression que, comme n’importe quel instrument de musique, il doit y avoir une histoire d’accords d’harmoniques où tout se fait à l’oreille avec du savoir faire, et pour le coup cela se complique considérablement.
Si cette théorie est juste, la conception d’un système de ferait exactement de la même manière que la conception d’un instrument de musique et finalement la pièce ne devient que l’environnement dans lequel cet instrument vient jouer. Pour moi, cela change beaucoup de choses.
Je vais désormais étudier cette piste.
PS : Merci Olivier 44 pour toutes ces informations à méditer en effet.
Paul, je n’ai pas encore essayé le Théorème et Amplitude, je le ferai plus tard.
Francis, ton message me conforte dans ma nouvelle piste de travail.
A l’époque où j’avais les Harbeth dans une pièce à l’acoustique chaleureuse type salon anglais, j’adorais vraiment ce que j’entendais.
J’étais en full câbles basiques y compris pour les HP, en modulation rien de fou, de l’Audioquest entrée de gamme.
La barrette venait de Leroy Merlin, pas la blanche basique mais un truc en simili-aluminium qui pourrait ressembler à un truc de qualité.
Les copains qui passaient etaient séduits par la cohérence globale et la magie qui se dégageait. Les timbres n’étaient étonnamment pas éteints, les détails foisonnaient et la bulle sonore était très marquée. En gros il n’y avait absolument rien de ce qu’on attribue aux lacunes des câbles basiques, bien contraire.
La chose que je n’ai plus jamais ré-entendu, c’est ce sentiment que de monter ou descendre le volume sonore n’avait absolument aucune incidence sur le résultat, pire, il n’y avait aucun sweet point au point que le plaisir était équivalent partout dans la pièce.
Je pense qu’à l’époque j’avais une façon d’écouter la musique moins galvaudée ou disons plus naïve qu’aujourd’hui. J’écoutais sans trop me poser de questions, je me connectais ou pas.
Les potes me prêtaient leurs câbles secteurs « audiophiles » et je n’ai jamais aimé le résultat. C’était différent, pas trop de souvenirs pour en faire une description précise mais la magie disparaissait.
La suite, vous la connaissez puisque je pense que nous la vivons à peu près tous un jour où l’autre, on enclenche le processus de perdition…
Je crois aussi que ce qui est fondamental, c’est la synergie entre les câbles et les divers supports (enceintes, électroniques, sol, barrette).
Ne pas négliger les supports… Pas sûr que l’enjeu se limite à la simple maitrise des vibrations.
J’ai l’impression que, comme n’importe quel instrument de musique, il doit y avoir une histoire d’accords d’harmoniques où tout se fait à l’oreille avec du savoir faire, et pour le coup cela se complique considérablement.
Si cette théorie est juste, la conception d’un système de ferait exactement de la même manière que la conception d’un instrument de musique et finalement la pièce ne devient que l’environnement dans lequel cet instrument vient jouer. Pour moi, cela change beaucoup de choses.
Je vais désormais étudier cette piste.
PS : Merci Olivier 44 pour toutes ces informations à méditer en effet.
Paul, je n’ai pas encore essayé le Théorème et Amplitude, je le ferai plus tard.
Francis, ton message me conforte dans ma nouvelle piste de travail.
Système 1 : preamp Audiophile Technologie Theoreme 12AU7WA + Amplitude EL84 + EBM L5EX
Système 2 : Kallyste Quasar + Albedo One + Mulidine Allegretto V1
Sources : Marantz SA10, Aurorasound Vida Prima + VPI Scoutmaster II
Mon installation : http://forum-hifi.fr/thread-19470.html
Système 2 : Kallyste Quasar + Albedo One + Mulidine Allegretto V1
Sources : Marantz SA10, Aurorasound Vida Prima + VPI Scoutmaster II
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