12-19-2024, 05:43 PM
Bonjour,
Je suis très étonné par les derniers commentaires. Après six mois d’écoute critique quotidienne en vue du remplacement définitif de toute mon installation 12 fois plus chère et surtout plus imposante, je me permets d’affirmer, sans peur d’une éventuelle polémique, que le Benchmark AHB2 est tout sauf « plat et fade, manquant d’émotions », mais au contraire plutôt exubérant, très. (trop?) La différence entre Vinyl et CD, entre photo argentique et numérique.
Il a bien absolument toutes les qualités qui lui sont attribuées dans les commentaires professionnels ou idiophiles : j’en fais le constat jour après jour, avec toujours le même sourire et découvre à chacun d’entre eux une surprise dans les écoutes.
Je ne dis pas que c’est LA 7è merveille du monde, mais il tient parfaitement tête à beaucoup d’appareils prestigieux et mérite pleinement son classement depuis des années en Class A chez Stereophile.
La perception très négative rencontré par certains de nos amis ne peut qu’être générée par une inadéquation entre composants… et éventuellement son coté impitoyable pour les enregistrements écoutés (J’ai jusqu’à 6db d’écart entre deux lectures).
Une bonne occasion pour se poser des questions sur l’installation et l’analyser: le problème ne vient pas du Benchmark AHB2.
Mon installation en attente de comparaison avec le couple Benchmark AHB2-LA4
(+ DAC Ayre QB9 Twenty / Enceintes Spendor BC3 ou KEF LS50, en alternance):
Pré:
- Jadis JP200
- Cayin SC6L
Amplis:
- Musical Fidelity AMS50 Classe A 2x50 vrais watts (65 kg)
- Blocs monos Beard M70 Classe A 2x70 watts
Je suis très étonné par les derniers commentaires. Après six mois d’écoute critique quotidienne en vue du remplacement définitif de toute mon installation 12 fois plus chère et surtout plus imposante, je me permets d’affirmer, sans peur d’une éventuelle polémique, que le Benchmark AHB2 est tout sauf « plat et fade, manquant d’émotions », mais au contraire plutôt exubérant, très. (trop?) La différence entre Vinyl et CD, entre photo argentique et numérique.
Il a bien absolument toutes les qualités qui lui sont attribuées dans les commentaires professionnels ou idiophiles : j’en fais le constat jour après jour, avec toujours le même sourire et découvre à chacun d’entre eux une surprise dans les écoutes.
Je ne dis pas que c’est LA 7è merveille du monde, mais il tient parfaitement tête à beaucoup d’appareils prestigieux et mérite pleinement son classement depuis des années en Class A chez Stereophile.
La perception très négative rencontré par certains de nos amis ne peut qu’être générée par une inadéquation entre composants… et éventuellement son coté impitoyable pour les enregistrements écoutés (J’ai jusqu’à 6db d’écart entre deux lectures).
Une bonne occasion pour se poser des questions sur l’installation et l’analyser: le problème ne vient pas du Benchmark AHB2.
Mon installation en attente de comparaison avec le couple Benchmark AHB2-LA4
(+ DAC Ayre QB9 Twenty / Enceintes Spendor BC3 ou KEF LS50, en alternance):
Pré:
- Jadis JP200
- Cayin SC6L
Amplis:
- Musical Fidelity AMS50 Classe A 2x50 vrais watts (65 kg)
- Blocs monos Beard M70 Classe A 2x70 watts