Hum, c'est dans le post #1
"L'analyseur de jitter compte la fréquence exacte de chacune des neuf ondes sinusoïdales et trace ensuite un graphique de la distribution de leurs fréquences. La distribution est gaussienne, la plupart des longueurs de pit et de land étant très proches de la valeur idéale. Sur le disque qui sonait inférieur, la distribution était extrêmement large, avec de grandes variations dans les longueurs de pit et de land. Sur le disque de meilleure qualité sonore, la distribution était clairement définie et la courbe était très étroite. En d'autres termes, le premier disque avait une plus grande quantité de jitter ancrée dans les structures physiques qui représentent les données numériques. On peut s'en rendre compte en observant le signal du photodétecteur ; le " diagramme en œil" est un peu plus irrégulier sur le premier disque que sur le second"
A part ça, bits are bits, of course
"L'analyseur de jitter compte la fréquence exacte de chacune des neuf ondes sinusoïdales et trace ensuite un graphique de la distribution de leurs fréquences. La distribution est gaussienne, la plupart des longueurs de pit et de land étant très proches de la valeur idéale. Sur le disque qui sonait inférieur, la distribution était extrêmement large, avec de grandes variations dans les longueurs de pit et de land. Sur le disque de meilleure qualité sonore, la distribution était clairement définie et la courbe était très étroite. En d'autres termes, le premier disque avait une plus grande quantité de jitter ancrée dans les structures physiques qui représentent les données numériques. On peut s'en rendre compte en observant le signal du photodétecteur ; le " diagramme en œil" est un peu plus irrégulier sur le premier disque que sur le second"
A part ça, bits are bits, of course
Pluie du matin n'arrête pas le sous-marin