Merci à vous, oui oui on va passer à autre chose, je finalise ici là où je voulais en venir. Mais pour la suite, pas aux cables usb, je réserve ça au fil MSB et éventuelle particularité du Pro USB qui est alimenté par sa source usb 
120db en pics c’est conséquent, la limite de l’oreille humaine… et cela ne doit pas être présent dans nos enregistrements vu l’écart dynamique que cela représenterait avec le niveau « moyen » de la piste. Enfin je suppose.
Après le « risque » d’un niveau vraiment trop bas c’est de manquer de loudness avec un rendu axé médium, non lié au systeme mais bien au non respect du niveau de restitution envisagé par l’ingé son dans son mix vis à vis des courbes isotoniques. On peut aussi avoir un système dont l’équilibre est adapté aux bas niveaux et donc donne trop de grave et d’aigu à haut niveau. Autre limite bien sûr, celle de nos amplis tube de 25 à 50 watts qui au delà d’un certain volume sonore feront de façon insidieuse de la compression dynamique dans notre dos, avec des pics qui ne passent pas et un niveau sonore moyen qui se tasse à la hausse comme du MP3, et donc cette configuration se doit de donner un résultat satisfaisant en terme de présence subjective à niveau moins élevé pour être appréciés, voir même utilisables
Bref aucun souci avec de l’écoute à niveau plus bas, nous avons chacun nos habitudes et de ce coté je suis plutot satisfait du résultat dynamique même si je monte le son quand l’envie s’en fait sentir, ce qui est obligatoire sur du symphonique pour avoir un minimum de crédibilité et les pointes sont au dessus de 80db évidemment.
https://www.suva.ch/fr-ch/download/docum...e--84001.F
Je me réponds donc à moi même en complément si vous permettez
avec le document ci dessus:
- le niveau à prendre en compte principalement est le niveau continu équivalent (Leq) qui sera donc le niveau moyen, intégré en mode lent sur les sonomètres qui en sont capables, et j’imagine dans Rew ou autres avec un micro calibré. C’est ce point que je n’avais pas en tête, la bonne reprensentation d’un niveau moyen avec une acquisition en mode lent.
- les applis de téléphone c’est de la merde de par l’absence de calibration, il peut y avoir jusqu’à 12db d’écart avec un sonomètre étalonné donc valeur zero.
- temps d'exposition illimité jusqu’à 83db de Leq, au delà faut réduire de plus en plus drastiquement le temps d’exposition.
- la musique « actuelle » ou remasters compressés proposent le niveau sonore moyen le plus élevé avec le plus de risques vu qu’on est sur des niveaux sonores continus, qui durent.
- On est 5 à 10db plus bas en niveau moyen sur de la musique non compressée (bon jazz etc)
- La musique classique est un cas à part, avec des niveaux Leq moyens nettement plus bas ne faisant pas courir de risques (avec un bon réglage pour les fortés).
A défaut de diffuseurs pour le moment, montage de mon petit meuble à vinyle en cours avec mes chutes de plans de travail
et hélas reprise du boulot proche
…

120db en pics c’est conséquent, la limite de l’oreille humaine… et cela ne doit pas être présent dans nos enregistrements vu l’écart dynamique que cela représenterait avec le niveau « moyen » de la piste. Enfin je suppose.
Après le « risque » d’un niveau vraiment trop bas c’est de manquer de loudness avec un rendu axé médium, non lié au systeme mais bien au non respect du niveau de restitution envisagé par l’ingé son dans son mix vis à vis des courbes isotoniques. On peut aussi avoir un système dont l’équilibre est adapté aux bas niveaux et donc donne trop de grave et d’aigu à haut niveau. Autre limite bien sûr, celle de nos amplis tube de 25 à 50 watts qui au delà d’un certain volume sonore feront de façon insidieuse de la compression dynamique dans notre dos, avec des pics qui ne passent pas et un niveau sonore moyen qui se tasse à la hausse comme du MP3, et donc cette configuration se doit de donner un résultat satisfaisant en terme de présence subjective à niveau moins élevé pour être appréciés, voir même utilisables

https://www.suva.ch/fr-ch/download/docum...e--84001.F
Je me réponds donc à moi même en complément si vous permettez


- le niveau à prendre en compte principalement est le niveau continu équivalent (Leq) qui sera donc le niveau moyen, intégré en mode lent sur les sonomètres qui en sont capables, et j’imagine dans Rew ou autres avec un micro calibré. C’est ce point que je n’avais pas en tête, la bonne reprensentation d’un niveau moyen avec une acquisition en mode lent.
- les applis de téléphone c’est de la merde de par l’absence de calibration, il peut y avoir jusqu’à 12db d’écart avec un sonomètre étalonné donc valeur zero.
- temps d'exposition illimité jusqu’à 83db de Leq, au delà faut réduire de plus en plus drastiquement le temps d’exposition.
- la musique « actuelle » ou remasters compressés proposent le niveau sonore moyen le plus élevé avec le plus de risques vu qu’on est sur des niveaux sonores continus, qui durent.
- On est 5 à 10db plus bas en niveau moyen sur de la musique non compressée (bon jazz etc)
- La musique classique est un cas à part, avec des niveaux Leq moyens nettement plus bas ne faisant pas courir de risques (avec un bon réglage pour les fortés).
A défaut de diffuseurs pour le moment, montage de mon petit meuble à vinyle en cours avec mes chutes de plans de travail


La hifi est femme. Imparfaite par nature, on la choisit pour ce qu'elle a, pas pour ce qu'elle dit avoir. Mais si on voit ses défauts avant ses qualités, on est pas fait pour en avoir une, mieux vaut se soulager sous la douche, en écoutant la radio.
Ventes à venir ou en cours (MP si intéressé pour en discuter): Leedh E2 Glass + caisson 20.1, Coincident Statement Linestage, blocs mono Coincident SE845 Turbo
Ventes à venir ou en cours (MP si intéressé pour en discuter): Leedh E2 Glass + caisson 20.1, Coincident Statement Linestage, blocs mono Coincident SE845 Turbo