Pour moi il y a un truc qui fait vraiment une différence (objective au moins). C'est la qualité de l'entrée du préamp. Il y a quelques temps j'ai fait des travaux d'étude sur ce sujet et je me suis rendu compte que ce qui se passait entre la source et le préamp pouvait conditionner le résultat en sortie au moins autant sinon plus que la qualité de transfert du circuit lui-même. En gros, le préamp (ou l'ampli) crée de la distorsion non pas en sortie mais à l'entrée. Ceci d'autant plus que l'impédance de la source est grande. Le pire des cas étant évidemment un potentiomètre de valeur élevée collé aux fesses du circuit.
Le truc terrible : comme la disto est ajoutée à l'interface source / entrée (ou plus exactement : (source+filtre+potard) / circuit actif) il n'y absolument aucun moyen de corriger après, même si le circuit actif ne fait aucune distorsion. J'ai mesuré des configurations pour lesquelles les distorsions à l'entrée et la sortie étaient du même ordre de grandeur, c'est à dire que le circuit actif faisait une disto interne quasi nulle par rapport à la grouille qui mettait en amont.
Personnellement, je pense qu'une des caractéristiques des grandes réalisations est de traiter correctement ce problème d'interface.
Le truc terrible : comme la disto est ajoutée à l'interface source / entrée (ou plus exactement : (source+filtre+potard) / circuit actif) il n'y absolument aucun moyen de corriger après, même si le circuit actif ne fait aucune distorsion. J'ai mesuré des configurations pour lesquelles les distorsions à l'entrée et la sortie étaient du même ordre de grandeur, c'est à dire que le circuit actif faisait une disto interne quasi nulle par rapport à la grouille qui mettait en amont.
Personnellement, je pense qu'une des caractéristiques des grandes réalisations est de traiter correctement ce problème d'interface.
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