02-25-2023, 11:18 AM
Voici deux disques pour l'île déserte: Haydn et le premier Beethoven.
Si l'art sophistiqué de Brendel ne convient pas toujours aux grandes pages métaphysiques, il est incomparable pour extraire le suc de ces absolus bijoux: malice, poésie, lyrisme, art de suspendre le temps, dimension ludique, emballement digital extrême, quelle palette !
Et des prises de son Philips d'anthologie... où quelques légers grognements trahissent l'engagement de l'interprète au service de cette forme de perfection. A écouter un million de fois !
Si l'art sophistiqué de Brendel ne convient pas toujours aux grandes pages métaphysiques, il est incomparable pour extraire le suc de ces absolus bijoux: malice, poésie, lyrisme, art de suspendre le temps, dimension ludique, emballement digital extrême, quelle palette !
Et des prises de son Philips d'anthologie... où quelques légers grognements trahissent l'engagement de l'interprète au service de cette forme de perfection. A écouter un million de fois !