Je pense que Pascal64 fait partie de ceux qui pensent que ce qui est "sale" ne peut être nettoyé, et donc qu'il ne faut pas salir dès le départ, d'où la course à l'armement dès le serveur.
Personnellement, je pense que ce raisonnement qui reste absolument vrai avec des signaux analogiques, (c'est comme essayer séparer le jaune du blanc dans des oeufs brouillés, ou pour rester sur des signaux analogiques, chaque copie d'un signal analogique dégrade le signal (exemple la recopie de cassettes qui réalisée à plusieurs reprises dégrade massivement le signal)), ne tient plus du tout avec le numérique.
Tant que ce qui est transporté est un fichier numérique et uniquement ça, on peut toujours éliminer les pollutions électriques quelles que soient leurs origines, avec un filtrage adéquat sans avoir aucun impact sur l'information à véhiculer. En d'autres termes, si l'isolation (interne ou externe) est bien faite, le DAC pourra faire son job à partir de données numériques parfaites.
Ceci n'est vrai qu'avec une sortie USB ou RJ45, car en SPDIF ou AES, on transporte aussi un signal d'horloge, et donc on est dépendant de ce que fait le DAC ensuite de cette horloge (soit il l'utilise et dans ce cas on dépend de la qualité de l'horloge utilisée en amont, soit il ne l'utilise pas et on dépend de la façon dont le DAC reconstitue les données numériques avant conversion, donc on ajoute des opérations supplémentaires à réaliser dans le DAC ce qui peut ne pas être l'optimum de son fonctionnement).
Et évidemment, si on branche le DAC directement sur le serveur en USB, ou même en RJ45, dans ce cas, il vaut mieux avoir un serveur optimisé sur le bruit car sinon il va arriver jusqu'au DAC. Par contre, si l'entrée USB ou RJ45 du DAC est parfaitement isolée (en interne ou en externe), il est fort à parier que tout ce qui se passe en amont n'aura aucun impact audible autre que l"expectation bias"...
Personnellement, je pense que ce raisonnement qui reste absolument vrai avec des signaux analogiques, (c'est comme essayer séparer le jaune du blanc dans des oeufs brouillés, ou pour rester sur des signaux analogiques, chaque copie d'un signal analogique dégrade le signal (exemple la recopie de cassettes qui réalisée à plusieurs reprises dégrade massivement le signal)), ne tient plus du tout avec le numérique.
Tant que ce qui est transporté est un fichier numérique et uniquement ça, on peut toujours éliminer les pollutions électriques quelles que soient leurs origines, avec un filtrage adéquat sans avoir aucun impact sur l'information à véhiculer. En d'autres termes, si l'isolation (interne ou externe) est bien faite, le DAC pourra faire son job à partir de données numériques parfaites.
Ceci n'est vrai qu'avec une sortie USB ou RJ45, car en SPDIF ou AES, on transporte aussi un signal d'horloge, et donc on est dépendant de ce que fait le DAC ensuite de cette horloge (soit il l'utilise et dans ce cas on dépend de la qualité de l'horloge utilisée en amont, soit il ne l'utilise pas et on dépend de la façon dont le DAC reconstitue les données numériques avant conversion, donc on ajoute des opérations supplémentaires à réaliser dans le DAC ce qui peut ne pas être l'optimum de son fonctionnement).
Et évidemment, si on branche le DAC directement sur le serveur en USB, ou même en RJ45, dans ce cas, il vaut mieux avoir un serveur optimisé sur le bruit car sinon il va arriver jusqu'au DAC. Par contre, si l'entrée USB ou RJ45 du DAC est parfaitement isolée (en interne ou en externe), il est fort à parier que tout ce qui se passe en amont n'aura aucun impact audible autre que l"expectation bias"...