De l'ennui au "toujours pareil" :
La musique classique s'axe autour d'une composition mais surtout d'interprétations.
Je ne connais pas beaucoup d'interprétations d'une même œuvre qui sonnent pareil.
Si quelque chose est plat ou ne vous plait pas, magie vous pouvez changer d'interprètes même d'œuvre.
Et je trouve que c'est ça qui en fait quelque chose d'intéressant : ce n'est jamais pareil et c'est encore plus vrai en live où c'est une éternelle re-création.
Il y a aussi une notion de performance dans le classique (déjà scénique et réellement technique ou simplement dans la recherche de couleurs, d'émotion, parfois, grâce, le tout ensemble).
En tant qu'auditeur, il m'arrive de sortir de concerts où j'ai l'impression d'être passé sous un bus car j'en ai pris plein la tronche. D'autre fois, j'ai eu les yeux mouillés et parfois, rien.
Dans ce qui est dit plus haut également: il y a peut-être beaucoup de pièces qui n'auraient pas été pressées à l'époque de leur compositeur (des études, panoplie complète pour petit claviériste du père Jean-Seb, les kreisler ou autres tortures paganinesques , etc)
Tout n'avait sans doute pas vocation à être écouté.
Après, j'imagine qu'il est plus facile "d'écouter du classique" si on a mis un doigt dedans assez tôt et que ça vient titiller des choses intérieures. Chez moi, ça a commencé en primaire, il n'y en avait pas à la maison. C'était un... nouveau monde.
La musique classique s'axe autour d'une composition mais surtout d'interprétations.
Je ne connais pas beaucoup d'interprétations d'une même œuvre qui sonnent pareil.
Si quelque chose est plat ou ne vous plait pas, magie vous pouvez changer d'interprètes même d'œuvre.
Et je trouve que c'est ça qui en fait quelque chose d'intéressant : ce n'est jamais pareil et c'est encore plus vrai en live où c'est une éternelle re-création.
Il y a aussi une notion de performance dans le classique (déjà scénique et réellement technique ou simplement dans la recherche de couleurs, d'émotion, parfois, grâce, le tout ensemble).
En tant qu'auditeur, il m'arrive de sortir de concerts où j'ai l'impression d'être passé sous un bus car j'en ai pris plein la tronche. D'autre fois, j'ai eu les yeux mouillés et parfois, rien.
Dans ce qui est dit plus haut également: il y a peut-être beaucoup de pièces qui n'auraient pas été pressées à l'époque de leur compositeur (des études, panoplie complète pour petit claviériste du père Jean-Seb, les kreisler ou autres tortures paganinesques , etc)
Tout n'avait sans doute pas vocation à être écouté.
Après, j'imagine qu'il est plus facile "d'écouter du classique" si on a mis un doigt dedans assez tôt et que ça vient titiller des choses intérieures. Chez moi, ça a commencé en primaire, il n'y en avait pas à la maison. C'était un... nouveau monde.