03-26-2022, 09:08 AM
K
Je pense que ça dépend de la conception. Les DAC NOS doivent filtrer « court » en 16/44, donc ça se traduit mécaniquement par une atténuation de l’aigu.
La sortie à tubes n’implique pas forcément cette atténuation, c’est une question de choix de conception. En 1995, je pense que pour rendre le son plus « analogique » dans un monde où le numérique était encore très controversé et le vinyl encore la référence des systèmes les plus ambitieux, une sortie à tubes qui atténue l’aigu faisait du sens.
(03-26-2022, 12:21 AM)Olivier a écrit :(03-25-2022, 07:53 PM)pda0 a écrit : Tout à fait d’accord avec toi Olivier.
Je ne suis pas surpris que tu trouves le SF mou du genou et manquant de transparence car l’étage de sortie est typé tubes pour donner un rendu « analogique » mais en pratique ça veut aussi dire qu’il rabote l’aigu (comme le font souvent aussi les R2R NOS).
C’est pas un défaut majeur car ça met en avant le médium et c’est sûrement une bonne option lorsqu’on a une pièce un peu trop réverbérante.
Alors "Mou du genou", ça reste aussi et surtout mon appréciation très personnelle. J'ai un gout très prononcé pour une écoute très analytique, transparente et bourrée de dynamique (surtout micro). Par contre j'ai l'impression que ce rabotage n'est pas une généralité à appliquer à tous les DAC à sortie tube. A l'oreille (donc tout sauf une grande vérité inébranlable), je n'ai pas l'impression que le Musical Paradise le fasse et j'ai en mémoire un Lampizator tweaké assez clair dans le haut... Mais je ferai bien les mesures... Cependant, je comprend le calcul de rabotage et de mise en avant du médium, pour éviter ce que certains nomment le coté "trop transparent" ou "trop rapide" (ce que je ne comprends personnellement pas, mais bon...). De plus, je suis aussi d'accord que par le jeu de compensation, qui nous est très cher, on finisse aussi par trouver un équilibre plaisant.
Je pense que ça dépend de la conception. Les DAC NOS doivent filtrer « court » en 16/44, donc ça se traduit mécaniquement par une atténuation de l’aigu.
La sortie à tubes n’implique pas forcément cette atténuation, c’est une question de choix de conception. En 1995, je pense que pour rendre le son plus « analogique » dans un monde où le numérique était encore très controversé et le vinyl encore la référence des systèmes les plus ambitieux, une sortie à tubes qui atténue l’aigu faisait du sens.