10-20-2021, 05:32 PM
+1 pour Evgeny Mravinsky...
Même ses Mozart coupants comme une lame acérée, peu amène sont absolument géniaux ! Je pense à une ouverture des Noces et une 38è de 1965
Sinon où je n'aurais pas cru que ça puisse le faire, une superbe 9 de Bruckner très cursive en 1980.
Ses Tchaikovsky ou Shostakovich dont la réputation est faite sont d'incontestables réussites. Dans une optique peu contemplative néanmoins.
Pour "La Fantastique" par Andrew Davis avec les forces de Toronto c'est effectivement une belle version (Scène au Champs très réussie pour moi) les deux derniers mouvements manquent d'engagement à moins que la prise de son n'en soit responsable.... En effet, on entend vraiment trop la grosse caisse et les cloches !! Dans le Dies Irae on n'entend que çà. Sinon, pas mal de détails orchestraux très inéressant facilement audible dans les 3 premiers mouvements (Contrepoint des différents pupitres de cordes). Maintenant, pour les grandes versions très engagées il faut aller voir ailleur. Pourquoi pas Bernstein à New York en 1963, c'est redoutable et plutôt très bien capté pour l'époque.
Musicalement.
Pierre
Même ses Mozart coupants comme une lame acérée, peu amène sont absolument géniaux ! Je pense à une ouverture des Noces et une 38è de 1965
Sinon où je n'aurais pas cru que ça puisse le faire, une superbe 9 de Bruckner très cursive en 1980.
Ses Tchaikovsky ou Shostakovich dont la réputation est faite sont d'incontestables réussites. Dans une optique peu contemplative néanmoins.
Pour "La Fantastique" par Andrew Davis avec les forces de Toronto c'est effectivement une belle version (Scène au Champs très réussie pour moi) les deux derniers mouvements manquent d'engagement à moins que la prise de son n'en soit responsable.... En effet, on entend vraiment trop la grosse caisse et les cloches !! Dans le Dies Irae on n'entend que çà. Sinon, pas mal de détails orchestraux très inéressant facilement audible dans les 3 premiers mouvements (Contrepoint des différents pupitres de cordes). Maintenant, pour les grandes versions très engagées il faut aller voir ailleur. Pourquoi pas Bernstein à New York en 1963, c'est redoutable et plutôt très bien capté pour l'époque.
Musicalement.
Pierre