..Bonsoir
Pour m'en expliquer mieux vaut lire ce lien complétement (à défaut l'extrait que j'en ai tiré )
désolé pour la pub BMC à nouveau (j'en avais déjà parlé dans un autre fil .. )
Il se trouve que cet intégré CS 2 n'as pratiquement pas de gain dans la section pre -ampli car tout se passe virtuellement comme s'il n'y en avait pas a proprement parlé de pre-ampli .
Vu que:
Le signal d'entre n’est pas traité comme traditionnellement dans la majorité des amplis du commerce
dans la mesure ou il n'est pas atténué par le potentiomètre implante en tête de circuit d'entré comme habituellement pour être ensuite relevé (avec du gain donc )
vu de cette façon on peut extrapoler que son gain est voisin de 0 puisqu'il n'existe pas !
le potard dans ce schéma atypique mais oh combien économique (électriquement car complexe à mettre au point et réaliser ) et intelligent se trouve être reporté en extrémité de la section amplificatrice juste avant l’étage ultime (en amont du LEF buffer) juste avant l’étage de puissance pratiquement virtuellement comme situe aux plus prés des bornes des enceintes pratiquement ..
le gain n'est donc plus fixe et fixé au départ mais devient celui que tu lui demande en montant ou descendant le volume à l’entrée du buffer ..(brevet DIGM ) => voir les schémas
Ceci présente bcp d'avantages audibles et de nature à réduire les distos et déphasages de toutes nature ainsi que le bruit de fond qui se trouve à des niveaux plutôt plus bas que généralement .
Et ça s'entend (sic !)
(l'alimentation en mode différentielle symétrique participe à le fête aussi c'est un tout !)
l'ampli fonctionnant alors dans une forme de classe A mais qui serait comme assisté et donc ne présenterai pas les inconvénients de mauvais rendement (chaleur à dissiper en pure perte accélérateur à fond ) mais comme"ajustée " en temps réel en fonction de la demande en courant que tu lui demande d'envoyer aux enceintes qui du coup vu des bornes de l'ampli ne présente plus cette charge importante pour l'ampli ( brevet LEF ) du second coup ..Adieu au passage l'influence du FA (la charge de l'enceinte est comme "flottante" .et ne charge plus l'ampli comme de coutume .. génial non?
Les transistors de puissance sont moins sollicités (pas de courant de repos élevé en permanence alors que l'ont à mis le pieds sur les freins en amont avec le potard ..Un non sens ? )
ils vieillissent ainsi donc moins vite ,travaillent dans une plage ideale . l'ampli chauffe moins (bon il y a tout de même deux ventilos qui soufflent le froid en permanence en dessous vers le dessus .. )
Cette bestiole atypique sur laquelle j'ai craquée n'a plus grand chose en commun avec le " traditionnel ".
Pour en revenir à l'influence du gain que je qualifiais de "néfaste " lorsqu'il y en a trop !!
Et qui affecte bcp trop d'ampli pour des raisons qui m’échappent encore ..
j'avais réalise cela une fois chez ATOLL lors de la mise au point de l'IN 400 ou stephane avait une nouvelle fois invité le groupe de fada du fofo pour une présentation prive au cours de la quelle on cherchait a trouver le bon compromis sonore en faisant justement varier le gain ,le courant de polarisation et plein d'autre petites choses (je ne suis pas électronicien pour détailler et expliciter la chose amplement )mais rien que par un changement de valeur de résistance ici et la dans le circuit (Stephane Dubreuil avait préparé à l'avance plein de valeurs de résistances qu'il suffisait judicieusement d'implanter sur des cavaliers enfichables... un jeu de valeurs devant être retenu au final .c'etait l'enjeu )
..le résultat de ces manips étaient des plus évidentes ..il ne faut pas grand chose pour change la " couleur" et la typicité d'un ampli ..
Le malheur voulant hélas ..que lorsque l'on gagnait dans un secteur ( chaleur par exemple ) on perdait dans un autre ( dynamique ou clarté ou spatialisation ..)
tout est donc objet de compromis pour avoir le moyen meilleur ou délibérément forcer dans un secteur au détriment d'un autre ..c'est de l'alchimie fine !
(Mr JCT dans sa version n'en a sans doute pas manqué )
Désole pour l'anglais ..
l'ex importateur kapraudio (il ne l'est plus à ce jour et d'ailleurs il n'y en a plus ) en avait fait une traduction mais plus accessible ..
j'ai eu le temps de m'en faire une copie pour comprendre un peu ce que je tente de t'expliquer ici avec le minimum de crédibilité dans ce que j'ai compris ..
http://bmc-audio.com/tl_files/bmc_audio/pdfs/BMC_Amp_amplification_redefined.pdf#page=1&zoom=110,-6,773
A quick comparison: The constant, very high amplification of traditional amplifiers is so
inflated, that in those very rarely occurring
cases even weak signals can be adjusted to the
maximum output power. In other words, traditional amplifiers have an extremely high fixed
gain that is (almost) never needed in practice and would, with a full input signal, result in
pitiless clipping. Even when the volume is turned down, this maximum amplification is always
there. What happens is this: The input signal is attenuated to such an extent that the output is
reduced to the wanted level despite the over-amplification. This attenuation of the input signal
is necessary even when maximum output is asked for in connection with a standardized input
level. At moderate volume levels the input signal is attenuated to one hundredth or less. Does it
really make any sense to reduce an obtained signal level so far that the output stage can only
provide a suitable volume by over-amplification?
Does it really make any sense to expend all ?
this effort to amplify an MC signal from, let’s say, 0.5 mV to 4 V, only to again reduce it to 40
mV, then amplify it again to 2 V, just to get 1 Watt with a 4 Ohm speaker in the end?
Our innovative technology provides a more intelligent solution.
Ben vouis cela me semble tellement evident..[b][i]dans ma petite tête de vieux
Que j'en suis à me demander ..
Pourquoi faire autrement ?[/i][/b]
Pour m'en expliquer mieux vaut lire ce lien complétement (à défaut l'extrait que j'en ai tiré )
désolé pour la pub BMC à nouveau (j'en avais déjà parlé dans un autre fil .. )
Il se trouve que cet intégré CS 2 n'as pratiquement pas de gain dans la section pre -ampli car tout se passe virtuellement comme s'il n'y en avait pas a proprement parlé de pre-ampli .
Vu que:
Le signal d'entre n’est pas traité comme traditionnellement dans la majorité des amplis du commerce
dans la mesure ou il n'est pas atténué par le potentiomètre implante en tête de circuit d'entré comme habituellement pour être ensuite relevé (avec du gain donc )
vu de cette façon on peut extrapoler que son gain est voisin de 0 puisqu'il n'existe pas !
le potard dans ce schéma atypique mais oh combien économique (électriquement car complexe à mettre au point et réaliser ) et intelligent se trouve être reporté en extrémité de la section amplificatrice juste avant l’étage ultime (en amont du LEF buffer) juste avant l’étage de puissance pratiquement virtuellement comme situe aux plus prés des bornes des enceintes pratiquement ..
le gain n'est donc plus fixe et fixé au départ mais devient celui que tu lui demande en montant ou descendant le volume à l’entrée du buffer ..(brevet DIGM ) => voir les schémas
Ceci présente bcp d'avantages audibles et de nature à réduire les distos et déphasages de toutes nature ainsi que le bruit de fond qui se trouve à des niveaux plutôt plus bas que généralement .
Et ça s'entend (sic !)
(l'alimentation en mode différentielle symétrique participe à le fête aussi c'est un tout !)
l'ampli fonctionnant alors dans une forme de classe A mais qui serait comme assisté et donc ne présenterai pas les inconvénients de mauvais rendement (chaleur à dissiper en pure perte accélérateur à fond ) mais comme"ajustée " en temps réel en fonction de la demande en courant que tu lui demande d'envoyer aux enceintes qui du coup vu des bornes de l'ampli ne présente plus cette charge importante pour l'ampli ( brevet LEF ) du second coup ..Adieu au passage l'influence du FA (la charge de l'enceinte est comme "flottante" .et ne charge plus l'ampli comme de coutume .. génial non?
Les transistors de puissance sont moins sollicités (pas de courant de repos élevé en permanence alors que l'ont à mis le pieds sur les freins en amont avec le potard ..Un non sens ? )
ils vieillissent ainsi donc moins vite ,travaillent dans une plage ideale . l'ampli chauffe moins (bon il y a tout de même deux ventilos qui soufflent le froid en permanence en dessous vers le dessus .. )
Cette bestiole atypique sur laquelle j'ai craquée n'a plus grand chose en commun avec le " traditionnel ".
Pour en revenir à l'influence du gain que je qualifiais de "néfaste " lorsqu'il y en a trop !!
Et qui affecte bcp trop d'ampli pour des raisons qui m’échappent encore ..
j'avais réalise cela une fois chez ATOLL lors de la mise au point de l'IN 400 ou stephane avait une nouvelle fois invité le groupe de fada du fofo pour une présentation prive au cours de la quelle on cherchait a trouver le bon compromis sonore en faisant justement varier le gain ,le courant de polarisation et plein d'autre petites choses (je ne suis pas électronicien pour détailler et expliciter la chose amplement )mais rien que par un changement de valeur de résistance ici et la dans le circuit (Stephane Dubreuil avait préparé à l'avance plein de valeurs de résistances qu'il suffisait judicieusement d'implanter sur des cavaliers enfichables... un jeu de valeurs devant être retenu au final .c'etait l'enjeu )
..le résultat de ces manips étaient des plus évidentes ..il ne faut pas grand chose pour change la " couleur" et la typicité d'un ampli ..
Le malheur voulant hélas ..que lorsque l'on gagnait dans un secteur ( chaleur par exemple ) on perdait dans un autre ( dynamique ou clarté ou spatialisation ..)
tout est donc objet de compromis pour avoir le moyen meilleur ou délibérément forcer dans un secteur au détriment d'un autre ..c'est de l'alchimie fine !
(Mr JCT dans sa version n'en a sans doute pas manqué )
Désole pour l'anglais ..
l'ex importateur kapraudio (il ne l'est plus à ce jour et d'ailleurs il n'y en a plus ) en avait fait une traduction mais plus accessible ..
j'ai eu le temps de m'en faire une copie pour comprendre un peu ce que je tente de t'expliquer ici avec le minimum de crédibilité dans ce que j'ai compris ..
http://bmc-audio.com/tl_files/bmc_audio/pdfs/BMC_Amp_amplification_redefined.pdf#page=1&zoom=110,-6,773
A quick comparison: The constant, very high amplification of traditional amplifiers is so
inflated, that in those very rarely occurring
cases even weak signals can be adjusted to the
maximum output power. In other words, traditional amplifiers have an extremely high fixed
gain that is (almost) never needed in practice and would, with a full input signal, result in
pitiless clipping. Even when the volume is turned down, this maximum amplification is always
there. What happens is this: The input signal is attenuated to such an extent that the output is
reduced to the wanted level despite the over-amplification. This attenuation of the input signal
is necessary even when maximum output is asked for in connection with a standardized input
level. At moderate volume levels the input signal is attenuated to one hundredth or less. Does it
really make any sense to reduce an obtained signal level so far that the output stage can only
provide a suitable volume by over-amplification?
Does it really make any sense to expend all ?
this effort to amplify an MC signal from, let’s say, 0.5 mV to 4 V, only to again reduce it to 40
mV, then amplify it again to 2 V, just to get 1 Watt with a 4 Ohm speaker in the end?
Our innovative technology provides a more intelligent solution.
Ben vouis cela me semble tellement evident..[b][i]dans ma petite tête de vieux
Que j'en suis à me demander ..
Pourquoi faire autrement ?[/i][/b]
Il m'arrive rarement d'admettre des choses sans les comprendre totalement ..
Mais cela m'arrive !
Mais cela m'arrive !