Toujours difficile d'intervenir dans ce type de débat entre les tenants du bit are bit qui ont raison d'un point de vue informatique, et ceux qui entendent à juste titre l'influence d'un câble, d'une alimentation, d'un switch, d'une interface.
IMHO il faut croire ses oreilles, les différences existent, et il faut alors se poser la question de leur origine.
Certaines causes sont connues, documentées et font consensus. Parmi elles, on va trouver les EMI et les courants de fuite, dont le mode commun est particulièrement invasi et nocif pour les horloges, ainsi que les problèmes d'impédance et d'échos que cela entraîne.
N'oublions pas qu'au coeur du dac, là où se produit la conversion, les niveaux d'exigences sont drastiques en SNR si l'on veut retranscrire les signaux faibles, indispensables à une reconstruction précise du signal analogique.
D'autres causes de perturbation font l'objet d'âpres débats et tournent essentiellement autour des problèmes de jitter. Ses causes en sont multiples, matérielles, logicielles, mais sa capacité à se propager interroge, malgré les nombreux reclockings du signal numérique lors de son cheminement jusqu'au dac.
Une explication en a été donnée par John Swenson, qui postule que les commutations des transistors modifient le potentiel des plans de masse, entraînant une altération des temps de montée des signaux créant ainsi du jitter qui se répercute d'un dispositif à l'autre, fut-il optique ou interfacé par des buffers.
On peut aussi imaginer que les transistors agissant comme des relais, la qualité du front d'onde qui déclenche leur commutation ait une influence.
Bref, le bit ne serait pas seulement bit, mais aussi quantum d'énergie. Il a alors intérêt à être bien formé et synchro s'il veut réjouir nos esgourdes
IMHO il faut croire ses oreilles, les différences existent, et il faut alors se poser la question de leur origine.
Certaines causes sont connues, documentées et font consensus. Parmi elles, on va trouver les EMI et les courants de fuite, dont le mode commun est particulièrement invasi et nocif pour les horloges, ainsi que les problèmes d'impédance et d'échos que cela entraîne.
N'oublions pas qu'au coeur du dac, là où se produit la conversion, les niveaux d'exigences sont drastiques en SNR si l'on veut retranscrire les signaux faibles, indispensables à une reconstruction précise du signal analogique.
D'autres causes de perturbation font l'objet d'âpres débats et tournent essentiellement autour des problèmes de jitter. Ses causes en sont multiples, matérielles, logicielles, mais sa capacité à se propager interroge, malgré les nombreux reclockings du signal numérique lors de son cheminement jusqu'au dac.
Une explication en a été donnée par John Swenson, qui postule que les commutations des transistors modifient le potentiel des plans de masse, entraînant une altération des temps de montée des signaux créant ainsi du jitter qui se répercute d'un dispositif à l'autre, fut-il optique ou interfacé par des buffers.
On peut aussi imaginer que les transistors agissant comme des relais, la qualité du front d'onde qui déclenche leur commutation ait une influence.
Bref, le bit ne serait pas seulement bit, mais aussi quantum d'énergie. Il a alors intérêt à être bien formé et synchro s'il veut réjouir nos esgourdes
Pluie du matin n'arrête pas le sous-marin