05-23-2020, 08:00 PM
Retour d'expérience sur mes péripéties quand au choix du nouvel ampli.
Ce sera finalement un Accuphase E308, trouvé d'occasion. Je me suis décidé par opportunité et par rapport aux différents retours. L'ensemble YBA étant plus dur à composer et peut être plus compliqué à revendre. Je n'ai pas pu trouver le bloc de puissance adéquate.
Alors, ce E308 (après seulement 2 jours d'écoute)... et bien c'est du tout bon. :-). Il faudra prendre un peu de recul après plusieurs semaines pour confirmer.
On démarre par la qualité de fabrication rien à redire la dessus tous les témoignages sont unanimes c'est réalisé à la perfection. Les assemblages, le choix des matériaux, les usinages, les détails... rien ne trahit un à peu près dans la conception. Des borniers aux commandes, en passant par la facade et les vu-mètres rien n'est à reprendre.
Petite remarque, tous les constructeurs devraient prétendre à ce niveau de finition et de qualité. On est dans le très bon et pourtant sur une conception qui reste assez simple. A y réfléchir, c'est un peu honteux, en 2020, de vendre des appareils à plusieurs milliers d'euros qui ne sont pas à ce niveau de finition. C'est totalement abordable pour n'importe quel concepteur.
Par rapport à mon ex ensemble Naim (Nova puis 82/HC/250) celui-ci est beaucoup plus précis et transparent (et je pèse le beaucoup). Le Naim était coloré mais je ne pensais pas à ce point.
J'ai enfin retrouvé une écoute fouillée, prenante et incarnée. Ce qui ressort c'est que je n'ai pas perdu en dynamique, au contraire, l'ensemble est plus rapide sur toute la bande avec une excellente précision et une capacité d'analyse beaucoup plus étendu. Le Naim pousse plus, est plus physique mais perd beaucoup en transparence. Analyse oui, transparence oui, mais écoute global au top tout joue ensemble et rien n'est mis en avant systématiquement. On peut se pencher à analyser un passage ou un extrait et en meme temps appréhender les oeuvres dans leurs ensembles.
Un grave qui descend un poil moins bas, peut être moins surligné mais avec un panel de variation beaucoup plus interessant.
Le médium est transparent, lié et précis, juste.
Les aigus beaucoup plus fins, avec une micro dynamique et une infinité de variations. Les aiguës ne vrillent pas mais peuvent claquer fort quand cela est nécessaire, les Dynaudio n'y sont certainement pas étrangèrent. On se rapproche d'une écoute avec un très bon tube.
L'ampli est d'une rapidité et d'une transparence impressionante sans s'emmêler les pinceaux. Un des test que je fais depuis plusieurs années, c'est le disque de Hugh Laurie, Let them talk, avec une reprise de St. James infirmary (track 1), la descente de piano et la reverb sont très durs à tenir tant c'est rapide et les note s'enchainent. Beaucoup d'ampli bouffent des notes, ou de la dynamique ou bien font l'impasse sur un registre (grave notamment), là tout tiens.
L'association avec le Auralic Aries mini + Dac chord Hugo est particulièrement convaincante. J'étais déjà très optimiste sur cette config lors de différents essais et cela ne fait que confirmer l'association. Toutes les nuances et la capacité dynamique du Hugo permettent certainement de tirer parti du e308. Une source plus lente pourrai devenir un peu chiante à la longue je suppose. Dans un autre registre, la Linn Axis + AT OC9 s'en sort également bien avec un peu plus de délié et un équilibre tonal légèrement différent. Les deux sont interessants.
Testé pour le moment avec du YBA Diamond et Ocos double en HP, ma préférence va sur le YBA qui ouvre plus et accroit encore la transparence. Le Ocos n'est pas en reste, l'équilibre légèrement différent avec un haut du spectre qui file un peu moins haut et un poil moins raffiné mais par contre un médium avec un poil plus de matière. Pour le moment, difficile de faire un choix définitif. A noter, une option qui ne servira pas longtemps mais au combien pratique pour comparer : les quadruples borniers et la sélection des sorties HP (et l'occasion bientôt de ressortir mes vieilles Mission m71i pour un comparatif direct). Point "négatif", pas de fiches bananes acceptées, uniquement du fil nu.
En ce qui concerne les enceintes, l'association Dynaudio contour / Accuphase et top. L'ampli réveille les HP et leur permet d'atteindre un autre niveau de précision, le tweeter Esotar et toujours au top... Le but recherché était de réveiller justement ces enceintes et de profiter des HP d'exception, c'est chose faite et avec brio. Une bonne réserve de puissance pour l'accuphase meme s'il pousse moins que le Naim dans les haut volume, pas grave ce n'est pas mon écoute principale. Une série 4xx serait peut être plus à l'aise à ce niveau.
Ce sera finalement un Accuphase E308, trouvé d'occasion. Je me suis décidé par opportunité et par rapport aux différents retours. L'ensemble YBA étant plus dur à composer et peut être plus compliqué à revendre. Je n'ai pas pu trouver le bloc de puissance adéquate.
Alors, ce E308 (après seulement 2 jours d'écoute)... et bien c'est du tout bon. :-). Il faudra prendre un peu de recul après plusieurs semaines pour confirmer.
On démarre par la qualité de fabrication rien à redire la dessus tous les témoignages sont unanimes c'est réalisé à la perfection. Les assemblages, le choix des matériaux, les usinages, les détails... rien ne trahit un à peu près dans la conception. Des borniers aux commandes, en passant par la facade et les vu-mètres rien n'est à reprendre.
Petite remarque, tous les constructeurs devraient prétendre à ce niveau de finition et de qualité. On est dans le très bon et pourtant sur une conception qui reste assez simple. A y réfléchir, c'est un peu honteux, en 2020, de vendre des appareils à plusieurs milliers d'euros qui ne sont pas à ce niveau de finition. C'est totalement abordable pour n'importe quel concepteur.
Par rapport à mon ex ensemble Naim (Nova puis 82/HC/250) celui-ci est beaucoup plus précis et transparent (et je pèse le beaucoup). Le Naim était coloré mais je ne pensais pas à ce point.
J'ai enfin retrouvé une écoute fouillée, prenante et incarnée. Ce qui ressort c'est que je n'ai pas perdu en dynamique, au contraire, l'ensemble est plus rapide sur toute la bande avec une excellente précision et une capacité d'analyse beaucoup plus étendu. Le Naim pousse plus, est plus physique mais perd beaucoup en transparence. Analyse oui, transparence oui, mais écoute global au top tout joue ensemble et rien n'est mis en avant systématiquement. On peut se pencher à analyser un passage ou un extrait et en meme temps appréhender les oeuvres dans leurs ensembles.
Un grave qui descend un poil moins bas, peut être moins surligné mais avec un panel de variation beaucoup plus interessant.
Le médium est transparent, lié et précis, juste.
Les aigus beaucoup plus fins, avec une micro dynamique et une infinité de variations. Les aiguës ne vrillent pas mais peuvent claquer fort quand cela est nécessaire, les Dynaudio n'y sont certainement pas étrangèrent. On se rapproche d'une écoute avec un très bon tube.
L'ampli est d'une rapidité et d'une transparence impressionante sans s'emmêler les pinceaux. Un des test que je fais depuis plusieurs années, c'est le disque de Hugh Laurie, Let them talk, avec une reprise de St. James infirmary (track 1), la descente de piano et la reverb sont très durs à tenir tant c'est rapide et les note s'enchainent. Beaucoup d'ampli bouffent des notes, ou de la dynamique ou bien font l'impasse sur un registre (grave notamment), là tout tiens.
L'association avec le Auralic Aries mini + Dac chord Hugo est particulièrement convaincante. J'étais déjà très optimiste sur cette config lors de différents essais et cela ne fait que confirmer l'association. Toutes les nuances et la capacité dynamique du Hugo permettent certainement de tirer parti du e308. Une source plus lente pourrai devenir un peu chiante à la longue je suppose. Dans un autre registre, la Linn Axis + AT OC9 s'en sort également bien avec un peu plus de délié et un équilibre tonal légèrement différent. Les deux sont interessants.
Testé pour le moment avec du YBA Diamond et Ocos double en HP, ma préférence va sur le YBA qui ouvre plus et accroit encore la transparence. Le Ocos n'est pas en reste, l'équilibre légèrement différent avec un haut du spectre qui file un peu moins haut et un poil moins raffiné mais par contre un médium avec un poil plus de matière. Pour le moment, difficile de faire un choix définitif. A noter, une option qui ne servira pas longtemps mais au combien pratique pour comparer : les quadruples borniers et la sélection des sorties HP (et l'occasion bientôt de ressortir mes vieilles Mission m71i pour un comparatif direct). Point "négatif", pas de fiches bananes acceptées, uniquement du fil nu.
En ce qui concerne les enceintes, l'association Dynaudio contour / Accuphase et top. L'ampli réveille les HP et leur permet d'atteindre un autre niveau de précision, le tweeter Esotar et toujours au top... Le but recherché était de réveiller justement ces enceintes et de profiter des HP d'exception, c'est chose faite et avec brio. Une bonne réserve de puissance pour l'accuphase meme s'il pousse moins que le Naim dans les haut volume, pas grave ce n'est pas mon écoute principale. Une série 4xx serait peut être plus à l'aise à ce niveau.
Enceintes : Harbeth M30.1
Ampli : LFD NCSE MK2
Démat : Auralic Aries mini + Alim + Audiomat Tempo 2.8
Vinyl : Linn Axis + AT OC9 + Pré Cambridge P651
Cables : HP > LFD Hybrid ; Modulation > Nordost Heimdall ; CS > Furutech, HMS
Ampli : LFD NCSE MK2
Démat : Auralic Aries mini + Alim + Audiomat Tempo 2.8
Vinyl : Linn Axis + AT OC9 + Pré Cambridge P651
Cables : HP > LFD Hybrid ; Modulation > Nordost Heimdall ; CS > Furutech, HMS