08-10-2016, 03:46 PM
@MrLoco= Un ampli classe D a pour principe de moduler des largeurs d'impulsions haute fréquence (par ex 250khz). Pour recupérer le signal amplifié, les impulsions hf sont atténuées grace à un filtre, il reste donc le signal envoyé aux hp's.
Ce procédé n'a STRICTEMENT RIEN DE DIGITAL, du fait qu'il n'utilise aucun "digit" ou dit autrement aucun traitement de nombres 1 et 0..
Ce type d'ampli est de plus en plus fréquemment utilisé , même sur les enceintes actives haut de gamme, et aussi pour quasiment toutes les applications professionnelles.
Il n'existe pas un seul site de concert comprenant une installation avec micros, dans lequel tu n'entends pas des amplis classe D !
Pour moduler la largeur de ces impulsions hf, il faut obligatoirement un "modulateur", c'est à dire un processeur.On l'appelle "processeur PWM".Toutes les grandes marques de processeurs font celà, par exemple Texas Instruments, International Rectifier, et bien d'autres.
Les processeurs PWM classiques transforment donc le signal analogique pour lui permettre de moduler les impulsions.
Le signal digital qu'on appelle "PCM",est donc nécessairement d'abord converti en analogique grace à un DAC, puis converti d'analogique pour moduler les largeurs d'impulsions, par le processeur classique PWM.
L'idée qui me parait logique fut de développer de nouveaux processeurs transformant directement le "digital " qu'on appelle "PCM"(PCM veut dire échantillonage à la fréquence de, par ex, 44,1khz sous ,par ex.,16bits),DIRECTEMENT en modulation de largeur d'impulsions sans passer par le décodage digital analogique d'un DAC.Ce sont donc des processeurs PCM>PWM.
Je ne sais pas quels sont les constructeurs de processeurs qui ont développé ces nouveaux processeurs,et d'ailleurs on ne connait pas bien les PERFORMANCES de ces nouveaux processeurs, si quelqu'un a des données, notamment comparatives sur les divers processeurs de ce type..., ce serait intéressant qu'il les produise....(les premiers il y a plusieurs années a faire ça furent, sauf erreur, TACT et LYNGDORF)
Ce qui précède ne change RIEN au principe de fonctionnement de l'ampli.
La différence est qu'on attaque l'ampli en SPDIF ou AES, au lieu de l'attaquer en analogique.
Voilà ce que j'ai compris,....à parfaire bien entendu grace à ceux qui disposeraient de compléments d'information.
Cordialement
Ce procédé n'a STRICTEMENT RIEN DE DIGITAL, du fait qu'il n'utilise aucun "digit" ou dit autrement aucun traitement de nombres 1 et 0..
Ce type d'ampli est de plus en plus fréquemment utilisé , même sur les enceintes actives haut de gamme, et aussi pour quasiment toutes les applications professionnelles.
Il n'existe pas un seul site de concert comprenant une installation avec micros, dans lequel tu n'entends pas des amplis classe D !
Pour moduler la largeur de ces impulsions hf, il faut obligatoirement un "modulateur", c'est à dire un processeur.On l'appelle "processeur PWM".Toutes les grandes marques de processeurs font celà, par exemple Texas Instruments, International Rectifier, et bien d'autres.
Les processeurs PWM classiques transforment donc le signal analogique pour lui permettre de moduler les impulsions.
Le signal digital qu'on appelle "PCM",est donc nécessairement d'abord converti en analogique grace à un DAC, puis converti d'analogique pour moduler les largeurs d'impulsions, par le processeur classique PWM.
L'idée qui me parait logique fut de développer de nouveaux processeurs transformant directement le "digital " qu'on appelle "PCM"(PCM veut dire échantillonage à la fréquence de, par ex, 44,1khz sous ,par ex.,16bits),DIRECTEMENT en modulation de largeur d'impulsions sans passer par le décodage digital analogique d'un DAC.Ce sont donc des processeurs PCM>PWM.
Je ne sais pas quels sont les constructeurs de processeurs qui ont développé ces nouveaux processeurs,et d'ailleurs on ne connait pas bien les PERFORMANCES de ces nouveaux processeurs, si quelqu'un a des données, notamment comparatives sur les divers processeurs de ce type..., ce serait intéressant qu'il les produise....(les premiers il y a plusieurs années a faire ça furent, sauf erreur, TACT et LYNGDORF)
Ce qui précède ne change RIEN au principe de fonctionnement de l'ampli.
La différence est qu'on attaque l'ampli en SPDIF ou AES, au lieu de l'attaquer en analogique.
Voilà ce que j'ai compris,....à parfaire bien entendu grace à ceux qui disposeraient de compléments d'information.
Cordialement