(08-07-2016, 10:54 PM)FS31 a écrit :(08-07-2016, 10:35 PM)Bkg2k a écrit : Après, je pense que tout a été dit sur le sujet originel du fil.
On va donc conclure:
- que l'effet de peau n'a qu'un impact extrêmement négligeable dès lors que l'on reste dans le domaine des fréquences audio (20 à 20 000 Hz)
- qu'en mode courant alternatif, les électrons se déplacent très peu et de moins en moins au fur et à mesure que la fréquence augmente (en revanche, ils sont de plus en plus agités); ils vibrent plutôt autour d'un point "quasi fixe". Donc, le fait de dire que les impuretés situées dans les conducteurs que nous utilisons seraient un frein au déplacement des électrons n'a aucune justification (cf mes échanges avec Meloman sur ce fil et les compléments apportés sur l'exemple de l'eau par Bkg2k)
Je regrette également que notre ami Maxitonus refuse les mesures .... lorsqu'il affirme que l'équilibre de la réponse en fréquence d'un système peut être modifiée de façon très audible, donc mesurable
Je suis désolé, mais l'exemple de l'eau n'est pas concluant, il prend en compte la fréquence seule et trouve sa limite justement quand il fait référence à la dynamique. Pour compléter cet exemple, je dirais que toute perturbation dans un milieu liquide dont le contenant serait poreux (simple illustration d'un câble qui rayonne), trouve une porosité accentuée et une intercommunication des milieux augmentée par cette perturbation. En gros, quelque accentuation de fuite que ce soit n'est pas envisageable comme une solution optimisée de transport.
Et l'électricité est bien plus touche à tout que l'eau sur son passage...
Mais je suis d'accord pour dire que l'effet de peau n'est pas un facteur premier de correction du câblage. Il ne peut être ignoré trop longtemps cependant.
A un moment, dans le processus il faut s'en préoccuper. Après vanter des câbles commercialement sur ce seul argument ce serait assez grossier pour ne pas dire pire.
Musicalement