03-14-2019, 09:31 PM
En fait on en revient toujours à la même question qui reste non résolue à ce jour, du pourquoi on entend des différences.
Gulistan dit que ce sont des illusions car il n'y a rien à entendre puisque les fichiers transmis et reçus sont identiques.
D'autres, dont je fais partie, entendent des différences plus ou moins marquées selon les configurations, mais ne contestent pas le fait que les fichiers transmis sont identiques (c'est d'ailleurs une évidence dont je me demande bien qui pourrait la contester, mais sait-on jamais).
Puisque les fichiers sont identiques au départ et à l'arrivée dans le DAC, et que le nombre de personnes entendant des différences est quand même significatif, on peut imaginer qu'il y a une cause à ces différences.
Jusqu'ici les seules idées avancées tournent autour de la "pollution" électrique générée par le réseau et qui se propage jusqu'aux étages analogiques du DAC. Même si les DAC modernes se protègent peut-être de ces pollutions (ça reste à démontrer), nous sommes nombreux à avoir des DAC de différentes générations et marques et il y a plus de chances qu'ils ne soient pas à l'abri de ces pollutions, plutôt que l'inverse.
Toutes les idées qui tendent à réduire les sources potentielles de "pollutions" (alimentations linéaires, isolations galvaniques, réduction de la puissance informatique nécessaire, séparation serveur/lecteur,...) tendent à montrer que cela améliore le résultat (en tous cas, c'est le cas chez moi et je ne suis pas un cas isolé).
Pourquoi donc chercher à démontrer que "bits are bits", puisque le problème n'a rien à voir avec le fait que "bits are bits" ?
Gulistan dit que ce sont des illusions car il n'y a rien à entendre puisque les fichiers transmis et reçus sont identiques.
D'autres, dont je fais partie, entendent des différences plus ou moins marquées selon les configurations, mais ne contestent pas le fait que les fichiers transmis sont identiques (c'est d'ailleurs une évidence dont je me demande bien qui pourrait la contester, mais sait-on jamais).
Puisque les fichiers sont identiques au départ et à l'arrivée dans le DAC, et que le nombre de personnes entendant des différences est quand même significatif, on peut imaginer qu'il y a une cause à ces différences.
Jusqu'ici les seules idées avancées tournent autour de la "pollution" électrique générée par le réseau et qui se propage jusqu'aux étages analogiques du DAC. Même si les DAC modernes se protègent peut-être de ces pollutions (ça reste à démontrer), nous sommes nombreux à avoir des DAC de différentes générations et marques et il y a plus de chances qu'ils ne soient pas à l'abri de ces pollutions, plutôt que l'inverse.
Toutes les idées qui tendent à réduire les sources potentielles de "pollutions" (alimentations linéaires, isolations galvaniques, réduction de la puissance informatique nécessaire, séparation serveur/lecteur,...) tendent à montrer que cela améliore le résultat (en tous cas, c'est le cas chez moi et je ne suis pas un cas isolé).
Pourquoi donc chercher à démontrer que "bits are bits", puisque le problème n'a rien à voir avec le fait que "bits are bits" ?