01-21-2019, 03:49 PM
J'ai réagit au début du sujet en faisant remarquer que parler de sonorité des appareils, c'était parler non fidélité.
Je maintiens que je ne participerai pas dans une discussion qui part dans ce sens.
La chaîne Hi-Fi doit être vue globalement, en intégrant le goût de l'auditeur, la pièce d'écoute, les corrections, le budget et le degré d'exigence.
En fonction des interactions de chaque parties, vous n'avez pas la même chaîne...
En passant d'un ampli FDA à une amplification analogique + DAC, j'ai modifié mon degré d'exigence.
L'ampli FDA a pu tenir jusque là, parce que les corrections apportaient un important gain à l'écoute : J'avais une bien meilleure écoute avec l'ampli FDA et les corrections, qu'avec une meilleure amplification sans correction.
Et dans ce choix, le budget rentre en ligne de compte : Avec la musique dématérialisée avec un PC, les corrections ne coûtent rien...
Dans les corrections, il y a la façon de les faire, à partir d'une mesure au point d'écoute ou à 3.5 D, avec ou sans courbe cible, en corrigeant la phase acoustique, la phase minimum ou l'excess phase.
Pour la simple correction de la courbe de réponse, il y a plusieurs solutions avec des mesures précises au 1/24e d'octave ou lissée au 1/3 d'octave ou à l'octave, avec des Q de correction élevé ou pas.
Il a fallut faire la part des choses à l'écoute, ce qui prend du temps, mais qui permet aussi d'avoir des gains sans dépenser le moindre centime. Retour au budget...
Le gout de l'auditeur se trouve dans la courbe cible, la pièce d'écoute dans les corrections initiales avant la courbe cible, j'ai bien pris en compte les critères importants, pour moi.
Vous pouvez ne pas partager mon approche, mais au moins j'aurai essayé de l'expliquer le mieux possible. Et s'il faut y revenir, je le ferai.
Cordialement, Dominique
Je maintiens que je ne participerai pas dans une discussion qui part dans ce sens.
La chaîne Hi-Fi doit être vue globalement, en intégrant le goût de l'auditeur, la pièce d'écoute, les corrections, le budget et le degré d'exigence.
En fonction des interactions de chaque parties, vous n'avez pas la même chaîne...
En passant d'un ampli FDA à une amplification analogique + DAC, j'ai modifié mon degré d'exigence.
L'ampli FDA a pu tenir jusque là, parce que les corrections apportaient un important gain à l'écoute : J'avais une bien meilleure écoute avec l'ampli FDA et les corrections, qu'avec une meilleure amplification sans correction.
Et dans ce choix, le budget rentre en ligne de compte : Avec la musique dématérialisée avec un PC, les corrections ne coûtent rien...
Dans les corrections, il y a la façon de les faire, à partir d'une mesure au point d'écoute ou à 3.5 D, avec ou sans courbe cible, en corrigeant la phase acoustique, la phase minimum ou l'excess phase.
Pour la simple correction de la courbe de réponse, il y a plusieurs solutions avec des mesures précises au 1/24e d'octave ou lissée au 1/3 d'octave ou à l'octave, avec des Q de correction élevé ou pas.
Il a fallut faire la part des choses à l'écoute, ce qui prend du temps, mais qui permet aussi d'avoir des gains sans dépenser le moindre centime. Retour au budget...
Le gout de l'auditeur se trouve dans la courbe cible, la pièce d'écoute dans les corrections initiales avant la courbe cible, j'ai bien pris en compte les critères importants, pour moi.
Vous pouvez ne pas partager mon approche, mais au moins j'aurai essayé de l'expliquer le mieux possible. Et s'il faut y revenir, je le ferai.
Cordialement, Dominique