10-12-2018, 05:53 PM
Caricature peut être pas toujours mais enfin un peu quand même en effet.
Dans mon cas, qui vis dans un quartier de bobos et qui peux vous assurer que ce que vous décrivez n’est en rien leur idéal esthétique, qui est bien pire encore à mes yeux, ce n’est pas du tout bobo et le moins possible Ikea. J’ai une tablette iPad achetée d’occase qui rame pour tout sauf pour l’application remote de musique, ouf! Mais passons sur la sociologie.
Je n’ai certainement pas autant d’albums que vous qui êtes « tombé » dans la demat il y a assez longtemps, sauf votre respect (Je n’etais moi même déjà plus un enfant à cette epoque), mais j’en ai un peu plus de 50... On va dire un peu plus de 1500, que j’ai rippés tout seul en quelques mois. Bon, c’etait pas les meilleurs moments de ma vie, mais ça se fait, bien plus facilement que de passer certains examens ou d’autres contraintes d’autoconstruction.
Et dans mon cas je trouve cela infiniment plus agréable, simple, convivial, rapide, et instructif de fonctionner avec un logiciel qui gère les métadonnées qu’on a intelligemment rentrées (cela ne concerne pas que le genre...). Bien entendu, les fichiers existent et doivent donc être classés en dossiers et sous dossiers, de manière logique également, et sauvegardés avec soin, mais ça c’est la base, ce n’est absolument pas comparable avec le potentiel qu’apporte les métadonnées.
Ceci étant, dans votre cas, vingt ans de demat (Combien d’albums en tout, 6000?) et pas de métadonnées bien mises en place, je peux comprendre que la tâche fasse peur et que vous ne vous y atteliez pas, je pense que je ne le ferais pas non plus. Mais je vous assure, en toute sincérité, que les tags bien utilisés changent énormément notre rapport à la musique, enfin aux écoutes, et en bien.
Dans mon cas, qui vis dans un quartier de bobos et qui peux vous assurer que ce que vous décrivez n’est en rien leur idéal esthétique, qui est bien pire encore à mes yeux, ce n’est pas du tout bobo et le moins possible Ikea. J’ai une tablette iPad achetée d’occase qui rame pour tout sauf pour l’application remote de musique, ouf! Mais passons sur la sociologie.
Je n’ai certainement pas autant d’albums que vous qui êtes « tombé » dans la demat il y a assez longtemps, sauf votre respect (Je n’etais moi même déjà plus un enfant à cette epoque), mais j’en ai un peu plus de 50... On va dire un peu plus de 1500, que j’ai rippés tout seul en quelques mois. Bon, c’etait pas les meilleurs moments de ma vie, mais ça se fait, bien plus facilement que de passer certains examens ou d’autres contraintes d’autoconstruction.
Et dans mon cas je trouve cela infiniment plus agréable, simple, convivial, rapide, et instructif de fonctionner avec un logiciel qui gère les métadonnées qu’on a intelligemment rentrées (cela ne concerne pas que le genre...). Bien entendu, les fichiers existent et doivent donc être classés en dossiers et sous dossiers, de manière logique également, et sauvegardés avec soin, mais ça c’est la base, ce n’est absolument pas comparable avec le potentiel qu’apporte les métadonnées.
Ceci étant, dans votre cas, vingt ans de demat (Combien d’albums en tout, 6000?) et pas de métadonnées bien mises en place, je peux comprendre que la tâche fasse peur et que vous ne vous y atteliez pas, je pense que je ne le ferais pas non plus. Mais je vous assure, en toute sincérité, que les tags bien utilisés changent énormément notre rapport à la musique, enfin aux écoutes, et en bien.