Prenons un ampli avec un transfo de puissance P. Comme vous jouez avec les transfos symétriseurs, vous êtes dans l'optimisation de votre super matos. Partons alors du principe que ce transfo est correctement dimensionné par le fabriquant. On traduit cela techniquement par le fait que le transfo fournit les pics de courant à l'alim de l'ampli sans saturation ni autre problème. Autrement dit, il peut fournir une puissance crête Pc correspondant à un pic de courant et un pic de tension, dont les valeurs sont liés à la techno en aval... Mais tout cela en s'en fiche car le fabriquant de votre super matos a mis le "bon transfo" d'alim pour gérer tout ça...
Au final, on ne retient qu'une chose : le transfo d'alim fournit une puissance crête Noté Pc et pour cela le fabricant à choisi un transfo d'alim d'une puissance P (en VA).
Vous savez tous que la puissance transmise par un transfo est indépendante du rapport de transformation. Donc seule la puissance compte dans cette affaire...
Le transfo symétriseur doit juste pouvoir passer cette même puissance crête. On devrait donc théoriquement le choisir à une puissance P égale à celle du transfo dans l'ampli : si dans l'ampli il y a un unique transfo de 500VA, le transfo symétriseur fera 500VA.
Maintenant, imaginons le pire : on a des pertes en ligne par ci par là. Alors prenons une marge confortable : 50%.
La procédure est finalement simple : on ouvre les boitiers. on regarde le ou les transfos et on note les puissances (VA). On additionne tous les VA. On multiplie par 1.5 et on obtient la puissance du transfo symétriseur.
Et la puissance de l'ampli, la classe A, la classe AB, les gros condos et les pont de diodes, les tensions, les courant ? on zappe
Au final, on ne retient qu'une chose : le transfo d'alim fournit une puissance crête Noté Pc et pour cela le fabricant à choisi un transfo d'alim d'une puissance P (en VA).
Vous savez tous que la puissance transmise par un transfo est indépendante du rapport de transformation. Donc seule la puissance compte dans cette affaire...
Le transfo symétriseur doit juste pouvoir passer cette même puissance crête. On devrait donc théoriquement le choisir à une puissance P égale à celle du transfo dans l'ampli : si dans l'ampli il y a un unique transfo de 500VA, le transfo symétriseur fera 500VA.
Maintenant, imaginons le pire : on a des pertes en ligne par ci par là. Alors prenons une marge confortable : 50%.
La procédure est finalement simple : on ouvre les boitiers. on regarde le ou les transfos et on note les puissances (VA). On additionne tous les VA. On multiplie par 1.5 et on obtient la puissance du transfo symétriseur.
Et la puissance de l'ampli, la classe A, la classe AB, les gros condos et les pont de diodes, les tensions, les courant ? on zappe
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