Un petit peu de musique classique ...

[padcost]

Jean-Sébastien Bach : Lang Lang sort une version des Variations Goldberg, digitale et narcissique. Bof...
Pour une version récente bien plus intéressante à mon avis : Angela Hewitt (sur piano Fazioli) p.ex.
Au clavecin, l'inoxydable approche de Gustav Leonhardt...

[patatras]

Et celle de Scott Ross... 

Pierre

[Nard]

Celle de Nicholas Angelich au piano



https://www.qobuz.com/fr-fr/album/bach-v...9907066450

[lamouette]

c'est fait pour le clavecin et ses innombrables harmoniques , au piano c'est un peu ennuyeux je trouve.
Oui Leonnardt, Pierre Hantaï , Robert Hill...

[Nard]

Chacun ses goûts...

[patatras]

Au piano avec un seul clavier au lieu de 2 au clavecin c'est très acrobatique. 

Mais au piano ça peut être remarquable. 
J'aime les grandes interprétations sur les 2 instruments. 
Bach n'hésitait pas à jouer ses œuvres sur divers instruments. Alors piano ou clavecin... 
Pierre

[lamouette]

il ne les jouait pas au piano en tout cas , peut être au piano forte?

[Muskar]

Labyrinth par Khatia Buniastishvili 



https://open.qobuz.com/album/qfiglipeedb3a

Je trouve ce disque magnifique. Tant par l'interprétation que par le son du piano. J'ai l'impression qu'elle joue dans mon salon rien que pour moi. 

Lang Lang l'aura intitulé Piano Book. La nouvelle égérie de la maison Cartier décide d'y ajouter un brin de mystère. Une nouvelle fois, surfant sur la vague d'une scène pianistique néo-classico-ambient développée par les Nils Frahm, Alexis Ffrench, etc., l’une des personnalités parmi les plus célèbres du monde classique décide de proposer à son public une collection de morceaux plus ou moins évasifs, d'allure uniment modérée et de caractère doucement mélancolique, captés dans une acoustique (Grande Salle Pierre Boulez de la Philharmonie de Paris !) dont le caractère cotonneux est volontairement augmenté : ce Labyrinth n'est autre qu'une playlist où l'on retrouve quelques-uns des plus grands tubes du répertoire classique comme la Gymnopédie No. 1 de Satie, la Badinerie de J. S. Bach, le Prelude No. 4Vocalise de Rachmaninov, Les barricades mystérieuses de Couperin ou encore la Consolation No. 3 de Liszt.
Avec les dix-huit pièces ici choisies, où sont présentes au moins deux pièces moins courues (la Valsa da dor de Villa-Lobos et le Pari intervallo de Pärt), Khatia Buniatishvili, ne forcera pas les contrastes, et compte bien plonger - sans équivoque possible - son auditeur dans un autre espace temps, sans réel horizon non plus. Le style n'est définitivement plus le souci de la pianiste géorgienne, l'émotion devient presque une donnée abstraite, il n'y a qu'un esprit, celui de son âme voyageuse, et de ses pensées lunatiques.
Rien ni personne - pourtant - ne pourra se heurter au caractère profondément philosophique de ce nouveau produit-concept, « le labyrinthe est notre destin et notre création (...) la polyphonie de la vie, des sens, des rêves réminiscents, du présent négligé, de l’avenir évasif… Le labyrinthe de notre esprit », écrit l'artiste en conclusion de sa notice.
Heureusement, aucun loup ou autre mammifère à l'horizon ! © Pierre-Yves Lascar/Qobuz

[Pat91]

Jean-Sébastien Bach : Lang Lang sort une  version des Variations Goldberg, digitale et narcissique. Bof...
Pour une version récente bien plus intéressante à mon avis : Angela Hewitt (sur piano Fazioli) p.ex.
Au clavecin, l'inoxydable approche de Gustav Leonhardt...

Pour ma part, la version que je trouve la plus admirable, celle de Zhu Xiao-Mei

[Lazar]

Celle-ci ne me semble pas mal !

Glenn Gould au piano, version de 1981.