Je reprends ici le CR que j'avais fait du câble de modulation VAN DEN HUL "THE SECOND" sur le forum Audiophile en août 2015. J'avais eu la bonne idée de conserver la copie du brouillon (sur le moment je ne savais pas à quel point cette idée était bonne, sinon j'aurais conservé les traces de mes CR suivant ) Bref...
Honnêtement, même si pour certain ce câble doit avoir des défauts, à aucun moment je n'ai ressenti la moindre frustration depuis quatre mois qu'il est en place chez moi. Pour peu que l'on choisisse bien ses autres câbles, tout est là.
En complément, voici le CR de Lionel SCHMITT sur l'Audiophile.fr
Citation :VAN DEN HUL THE SECOND
Alors voilà...
J'ai enfin eu l'opportunité de tester l'un des deux câbles VAN DEN HUL qui m'avaient conduit à ouvrir ce sujet. Cela a pu se faire grâce à l'épatant Michel, alias Euraudio, qui m'a prêté un exemplaire de THE SECOND (il n'avait pas de THE FIRST sous le coude). Et comme l'individu n'est pas pingre, il y a joint trois autres câbles de modulation VAN DEN HUL afin que je compare un échantillon varié de ce câblier de renom: THE ORCHID, THE NAME et THE WATERFALL.
J'étais excité en ouvrant le colis et en découvrant ces quatre câbles sobrement vêtus de leurs gaines Huliflex. Ça m'a sauté immédiatement aux yeux qu'on ne cherchait pas à impressionner par une présentation flatteuse ou prétentieuse (à ce stade, trois suppositions pointent leurs museaux: on peut se dire que c'est bon signe; On peut se dire, au contraire, qu'ils sont diablement malins les types de chez VDH affectés au service "réclame et promotion" en faisant exprès des câbles sans chichi esthétique dans le but ignoble, salement empreint du sceau pernicieux du lucre et du commerce dit "à l'américaine", de se distinguer des câbles de la concurrence, aux gaines tressées chics et bigarrées, en escomptant que l'éventuel client - que dis-je, la victime! - pensera que cette sobriété est le gage infaillible du sérieux de la maison et que le rendu sonore du câble parle éloquemment pour lui sans avoir besoin de le déguiser comme une call girl de Las Vegas qui veut lui soutirer un maximum d'argent à un cave pour un minimum de service; Et enfin, on peut ne rien se dire du tout, ce qui est fort sage, on va donc faire comme ça).
Donc, après avoir déballé mes câbles VDH, j'ai procédé à des écoutes comparatives sur des morceaux classiques (surtout) et rock (un peu) que je connaissais parfaitement, histoire de saisir les plus subtiles différences. A chaque fois, je revenais à du MOGAMI 2549 que je possède de longue date pour me faire une idée en comparaison avec un câble bon marché et généralement apprécié (voire loué) sur les forums.
Je dois d'abord dire qu'aucun de ces câbles ne m'a déplu par le rendu obtenu sur mon matériel. Sur le plan de la taille de la scène sonore, deux se distinguent nettement par l'amélioration qu'ils apportent sur ce point par rapport au MOGAMI: THE ORCHID et THE SECOND. C'est tout à fait remarquable dès les premières écoutes. La scène est bien plus large et surtout bien plus profonde.
Bon, je ne vais pas tourner autour du pot plus longtemps. Même si THE ORCHID m'a beaucoup plu, j'ai eu un véritable choc avec THE SECOND. Un coup de foudre en constatant les miracles qu'il a immédiatement opéré sur mon matériel.
Avec lui, la scène sonore s'étend en largeur et en profondeur de manière notable. L'orchestre est plus étagé, on mesure nettement les distances qui séparent les différents instruments. La mise en place devient bien plus précise qu'auparavant. Comme on dit actuellement, "la restitution est holographique". Une sensation d'ampleur a fait son apparition chez moi.
L'impression générale de naturel est confondant. Tout parait plus juste. Il n'y a plus aucune "métallisation" intempestive du son. L'aigu est là mais il n'y a plus aucune dureté, tout est fluide et délié. On dirait que ce câble nettoie le son et le débarrasse des distorsions parasites. Les graves sont très propres et semblent descendre plus bas. Tout devient plus lisible aussi, chaque son se distingue aisément, sans impression artificielle de brillance cependant. Dans les masses orchestrales ou les emballements musicaux, il n'y plus aucune confusion. La beauté des voix est incroyable. J'ai une impression de présence jamais connue jusqu'alors. La différence la plus spectaculaire avec le MOGAMI 2549 se situe sur les chœurs. Toutes les qualités précitées jouent en leur faveur. C'est mieux étagé, chaque voix se distingue de sa voisine, on situe parfaitement chacune d'elles, les aigus ne ferraillent pas, bref, je n'avais encore jamais eu une telle qualité de restitution sur les grands ensembles vocaux. Auparavant, je ressentais une frustration à l'écoute de pas mal de CD de chœurs car cela manquait de lisibilité et d'ampleur.
En fin mélomane, en audiophile avisé et en homme délicat que je suis, je me suis dis: "P..... de M....! que c'est beau! Je le veux ce câble!"
Honnêtement, même si pour certain ce câble doit avoir des défauts, à aucun moment je n'ai ressenti la moindre frustration depuis quatre mois qu'il est en place chez moi. Pour peu que l'on choisisse bien ses autres câbles, tout est là.
En complément, voici le CR de Lionel SCHMITT sur l'Audiophile.fr
SOURCE AURA VIVID AMPLI REGA BRIO R ENCEINTES JMR EUTERPE VINYL LENCO L80 CELLULE ORTOFON 2M RED
CÂBLES MODUL VAN DEN HUL THE SECOND CÂBLES HP AUDIOQUEST TYPE 4 SECTEUR PANGEA AC 14 SE MKII
CÂBLES MODUL VAN DEN HUL THE SECOND CÂBLES HP AUDIOQUEST TYPE 4 SECTEUR PANGEA AC 14 SE MKII