07-10-2023, 10:07 PM
Après une présentation par Joseph, des câbles de Robert, ma curiosité fut émoustillée et 96 heures plus tard, ils étaient miens. Du lourd, du costaud. Ça c’est de la fiche et le câble en lui même paraît indestructible tant les gaines sont qualitatives.
N’ayant ni votre expertise, ni des oreilles de chauve-souris, voici après 12 heures d’écoute mon premier ressenti.
Première chose évidente, un voile se lève, optimisant la sensation de gain en netteté et fluidité que mon passage en symétrique avait provoqué. Le tout sans aucune acidité. La suavité de mon système est conservée tout en gagnant en précision et rapidité. Ainsi les voix féminines sont particulièrement bien reproduites. L’album Character’s de Friend’n Fellow en est le parfait exemple. La voix conserve son grain en étant détourée sans pour autant prendre le pas sur la musique. Aucune sensation de « bidouillage de studio ».
Tout est équilibre et netteté. Ainsi, sur « Life goes on », le piano de Carla Bley respire entre des extinctions de notes majestueuses et des notes aiguës très « filées ». Je ne crois pas avoir jamais entendu un piano sonner ainsi. Une précision extrême qui lors de « Where you wish here » vous projette, en gros plan, l’image des cordes de la guitare de Gilmour comme cela se faisait beaucoup sur les pochettes des années 70. Sur « Les Marquises » on a l’impression, sur certaines notes, d’entendre l’effort que fournissent les poumons et les bronches de Brel. Et donc une émotion palpable.
Précision, liant mais aussi étagement dans l’espace sont de la partie. Sur du symphonique, chaque instrument est à sa place avec les qualités décrites ci-dessus. Sur la cinquième de Malher, l’orchestre révèle sa taille, sa richesse tout en respectant chaque pupitre.
Précision et équilibre, bravo ! Contrepartie de cela, une attention décuplée en écoute attentive qui, après quelques heures, peut être fatigante. Mais cela est très subjectif et sensible à l’état de forme de l’auditeur.
Voici, de manière touffue et maladroite, mes premières impressions sur un système tout Atoll, Robert s’interrogeant sur le rendu de ces matériels.
N’ayant ni votre expertise, ni des oreilles de chauve-souris, voici après 12 heures d’écoute mon premier ressenti.
Première chose évidente, un voile se lève, optimisant la sensation de gain en netteté et fluidité que mon passage en symétrique avait provoqué. Le tout sans aucune acidité. La suavité de mon système est conservée tout en gagnant en précision et rapidité. Ainsi les voix féminines sont particulièrement bien reproduites. L’album Character’s de Friend’n Fellow en est le parfait exemple. La voix conserve son grain en étant détourée sans pour autant prendre le pas sur la musique. Aucune sensation de « bidouillage de studio ».
Tout est équilibre et netteté. Ainsi, sur « Life goes on », le piano de Carla Bley respire entre des extinctions de notes majestueuses et des notes aiguës très « filées ». Je ne crois pas avoir jamais entendu un piano sonner ainsi. Une précision extrême qui lors de « Where you wish here » vous projette, en gros plan, l’image des cordes de la guitare de Gilmour comme cela se faisait beaucoup sur les pochettes des années 70. Sur « Les Marquises » on a l’impression, sur certaines notes, d’entendre l’effort que fournissent les poumons et les bronches de Brel. Et donc une émotion palpable.
Précision, liant mais aussi étagement dans l’espace sont de la partie. Sur du symphonique, chaque instrument est à sa place avec les qualités décrites ci-dessus. Sur la cinquième de Malher, l’orchestre révèle sa taille, sa richesse tout en respectant chaque pupitre.
Précision et équilibre, bravo ! Contrepartie de cela, une attention décuplée en écoute attentive qui, après quelques heures, peut être fatigante. Mais cela est très subjectif et sensible à l’état de forme de l’auditeur.
Voici, de manière touffue et maladroite, mes premières impressions sur un système tout Atoll, Robert s’interrogeant sur le rendu de ces matériels.
Hifi : Qobuz Studio / Atoll ST 300 / Mc MA352 / Sonus faber Olympica III / cables JSV Audio, Razmote
HC : Sony XW5000 - Lumene Movie Palace 270C - Panasonic UB 820 / Yamaha DSP Z7 / Mc MA352 / Sonus faber Olympica III, Center 2, Focal Sib 2.0 / Logitech Touch
HC : Sony XW5000 - Lumene Movie Palace 270C - Panasonic UB 820 / Yamaha DSP Z7 / Mc MA352 / Sonus faber Olympica III, Center 2, Focal Sib 2.0 / Logitech Touch