05-18-2020, 10:46 AM
Si on en croit le texte que tu as cité
L'éditeur fournit un WAV et toi tu reçois un FLAC, il y a bien eu changement de conteneur.
Et à l'intérieur du WAV il y avait un PCM qui se retrouve compressé Lossless chez Qobuz et Tidal dans un conteneur FLAC
Tu te poses la question de la conversion "à la volée", à la demande disons :
Cette conversion est faite en amont et pas à la volée, ce qui transite par ton réseau c'est du FLAC, ça m'étonnerait qu'il soit converti "à la demande" à l'interrogation de la plateforme Qobuz, Spotify, Tidal.
Ca me semble même impossible en ressource de calcul à la demande de tous les utilisateurs simultanés.
Le flux que tu reçois ne vient pas du stockage de l'éditeur, mais de celui de la plateforme. Il est mis au format de la plateforme avec les tags associés et la protection pour ne pas se le faire piquer sans payer.
Pour Spotify on peut supposer la même chose. Ils doivent mettre le brut sous format Ogg Vorbis 320 pour stockage dans leur plateforme prêt à diffusion.
Ce que je pense c'est qu'il est possible que ça se fasse de manière "transparente", juste avec les indications données sur le libellé du conteneur fourni par l'éditeur. Le flux/conteneur converti est alors juste stocké sur la plateforme pour ton usage.
Pour Qobuz, là encore si on en croit ton texte, il doivent recevoir les 2 flux de manières séparées dans 2 conteneurs différents :
- un flux 16/44 (CD ou CD-MQA) dans un WAV qu'ils te diffusent à la même résolution dans un FLAC (mais compressé Lossless
- un flux "high Res" 24/44,1 24/48 24/96 ou je ne sais quoi dans un conteneur inconnu (on n'a pas encore trouvé l'information) et qu'il te balance en flux compressé lossless dans un conteneur FLAC
L'extraction "à la volée" de ces FLAC elle est faite chez toi
- soit ta solution matérielle la fait, ton lecteur réseau ou ton DAC extraient le flux du conteneur et le remettent à la forme finale
- soit l'extraction se fait par une solution logicielle
Audirvana, par exemple, fait l'extraction du flux compressé lossless dans le FLAC de Qobuz, le décompresse, le remet dans un WAV en "plein débit" (1411kbps pour le CD) et l'envoie à ton DAC quelque soit la solution choisie (ordi USB, UPnP, avec bridge intermédiaire ou pas) qui n'a pas à faire la conversion, juste à ouvrir le conteneur ou à digérer le flux brut comme le ferait un lecteur CD, si c'est possible.
Dans mes expérimentations passées sur les flux Airplay en plein débit entre 2010 et 2012, on faisait une "porteuse" PCM plein débit (1411kbps) sans conversion ALAC (protocole Airtunes1) et on injectait la musique dans ce flux. La lecture était donc proche du CD puisqu'il y avait toujours une information PCM en lecture, même quand une piste n'était pas injectée dans le flux.
Il est possible qu'Audirvana pratique de la sorte avec un buffer qui n'est pas forcément compris par les steamers en UPnP d'où les problèmes rencontrés par les utilisateurs avec leurs lecteurs réseau et le renvoi d'Audirvana de la balle au "firmware constructeur"
Il est possible aussi que ton streamer/lecteur soit capable d'extraire aussi bien le flux dans le FLAC que la solution logicielle, convertisse le flux plein débit et le stream alors avec un buffer tampon en plein débit dans ton DAC aussi bien que le ferait Audirvana.
Dans ce cas, il faut revenir aux applications desktop des providers comme Tidal et Qobuz. Je l'ai fait, et autant sur Qobuz il n'y a pas de mode captif du DAC (mode exclusif qui coupe l'accès au DAC pour les autres ressources de l'ordi) ni de désactivation de la gestion logicielle du volume, autant sur Tidal il y a bien ces 2 modes et on arrive au même niveau de liaison avec le DAC qu'avec Audirvana. La différence se faisant alors sur la seule décompression à la volée du flux par le DAC versus celle faite par Audirvana et injectée plein débit. Je suis très étonné du rendu Tidal desktop /Audirvana qui fonctionne très bien alors qu'Audirvana est clairement valable par rapport à Qobuz desktop. J'ai même l'impression que si on a un DAC full MQA la solution exclusive Tidal desktop -> DAC est meilleure que celle d'Audirvana DAC qui de toute manière laisse quand même un travail de décompression à faire au DAC.
L'éditeur fournit un WAV et toi tu reçois un FLAC, il y a bien eu changement de conteneur.
Et à l'intérieur du WAV il y avait un PCM qui se retrouve compressé Lossless chez Qobuz et Tidal dans un conteneur FLAC
Tu te poses la question de la conversion "à la volée", à la demande disons :
Cette conversion est faite en amont et pas à la volée, ce qui transite par ton réseau c'est du FLAC, ça m'étonnerait qu'il soit converti "à la demande" à l'interrogation de la plateforme Qobuz, Spotify, Tidal.
Ca me semble même impossible en ressource de calcul à la demande de tous les utilisateurs simultanés.
Le flux que tu reçois ne vient pas du stockage de l'éditeur, mais de celui de la plateforme. Il est mis au format de la plateforme avec les tags associés et la protection pour ne pas se le faire piquer sans payer.
Pour Spotify on peut supposer la même chose. Ils doivent mettre le brut sous format Ogg Vorbis 320 pour stockage dans leur plateforme prêt à diffusion.
Ce que je pense c'est qu'il est possible que ça se fasse de manière "transparente", juste avec les indications données sur le libellé du conteneur fourni par l'éditeur. Le flux/conteneur converti est alors juste stocké sur la plateforme pour ton usage.
Pour Qobuz, là encore si on en croit ton texte, il doivent recevoir les 2 flux de manières séparées dans 2 conteneurs différents :
- un flux 16/44 (CD ou CD-MQA) dans un WAV qu'ils te diffusent à la même résolution dans un FLAC (mais compressé Lossless
- un flux "high Res" 24/44,1 24/48 24/96 ou je ne sais quoi dans un conteneur inconnu (on n'a pas encore trouvé l'information) et qu'il te balance en flux compressé lossless dans un conteneur FLAC
L'extraction "à la volée" de ces FLAC elle est faite chez toi
- soit ta solution matérielle la fait, ton lecteur réseau ou ton DAC extraient le flux du conteneur et le remettent à la forme finale
- soit l'extraction se fait par une solution logicielle
Audirvana, par exemple, fait l'extraction du flux compressé lossless dans le FLAC de Qobuz, le décompresse, le remet dans un WAV en "plein débit" (1411kbps pour le CD) et l'envoie à ton DAC quelque soit la solution choisie (ordi USB, UPnP, avec bridge intermédiaire ou pas) qui n'a pas à faire la conversion, juste à ouvrir le conteneur ou à digérer le flux brut comme le ferait un lecteur CD, si c'est possible.
Dans mes expérimentations passées sur les flux Airplay en plein débit entre 2010 et 2012, on faisait une "porteuse" PCM plein débit (1411kbps) sans conversion ALAC (protocole Airtunes1) et on injectait la musique dans ce flux. La lecture était donc proche du CD puisqu'il y avait toujours une information PCM en lecture, même quand une piste n'était pas injectée dans le flux.
Il est possible qu'Audirvana pratique de la sorte avec un buffer qui n'est pas forcément compris par les steamers en UPnP d'où les problèmes rencontrés par les utilisateurs avec leurs lecteurs réseau et le renvoi d'Audirvana de la balle au "firmware constructeur"
Il est possible aussi que ton streamer/lecteur soit capable d'extraire aussi bien le flux dans le FLAC que la solution logicielle, convertisse le flux plein débit et le stream alors avec un buffer tampon en plein débit dans ton DAC aussi bien que le ferait Audirvana.
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En analogik' : Mange-disque Fisher-Price, bras Mentonb, cellule Crado scotchée 3
En démat' iPhone double sim SD Wish, Alim semi régulée compacte 5V 2A AmazonBasic, câble USB rose Boulanger
Enceinte Ikea Symfonisk, découplage feutre Castorama, ampoule variable
Cables secteur 220v, prises Legrand Mosaic, pots ElectoDepot (moins de bruit que les Akrapovic)
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