Après le CR secteur passons aux HP.
Situation de gamme :
Vu ce que j'ai écouté chez Nathalie, je serai tenté de dire ... où est la limite ?
Plus on met ces câbles sur un système performant plus il en sort,
il n'y a pas pour moi de positionnement de gamme avec ces câbles vers le haut, ils passent tout ce qu'on leur donne, et suivent les capacités.
Par contre attention, le positionnement dans l'autre sens c'est la technique qui le donne, c'est du HDG, on doit rappeler que comme la version normale Speaker la version polarisée fait 13mm2 de section.
Donc interdit aux amplis et enceintes qui ne tolèrent pas ça, care ça de noie.
l'Aria y arrive parce que c'est à tubes.
Mais dès qu'on passe au Gryphon on sent bien qu'il est à l'aise, lui, que la limitation n'est pas à négliger : tout ne se branche pas sur tout.
C'est encore une fois dans une perspective d'avenir que j'ai forcé pour l'instant, ça sera plus à l'aise avec un ampli costaud.
Rodage :
Le mot n'est pas le bon mais tant pis.
Pour avoir lu d'autres commentaires, comme le Speaker il faut un peu de patience.
Je ne m'en suis pas rendu compte à la première écoute vu le gap, c'est le lendemain que je me suis aperçu que le premier jour c'est voilé, un peu fermé.
Le deuxième jour immédiatement tout s'éclaire.
Constats :
C'est un câble qui s'efface complètement.
Pas physiquement.....
La sensation que tout est là, parfaitement tenu, une maîtrise totale sur tous les registres.
Et en même temps tout est libre de s'exprimer.
Les écarts dynamiques sont réalistes,
tout est réaliste.
Je ne sais pas dire plus, c'est juste toute la musique et on oublie le système.
Ce qui prédomine c'est une énorme tranquillité qualitative, c'est du THDG discret quoi.
C'est ça, du THDG qui n'en fait pas étalage, mais bétonné, rien ne lâche, et tout s'exprime jusqu'au plus fin.
Situation de gamme :
Vu ce que j'ai écouté chez Nathalie, je serai tenté de dire ... où est la limite ?
Plus on met ces câbles sur un système performant plus il en sort,
il n'y a pas pour moi de positionnement de gamme avec ces câbles vers le haut, ils passent tout ce qu'on leur donne, et suivent les capacités.
Par contre attention, le positionnement dans l'autre sens c'est la technique qui le donne, c'est du HDG, on doit rappeler que comme la version normale Speaker la version polarisée fait 13mm2 de section.
Donc interdit aux amplis et enceintes qui ne tolèrent pas ça, care ça de noie.
l'Aria y arrive parce que c'est à tubes.
Mais dès qu'on passe au Gryphon on sent bien qu'il est à l'aise, lui, que la limitation n'est pas à négliger : tout ne se branche pas sur tout.
C'est encore une fois dans une perspective d'avenir que j'ai forcé pour l'instant, ça sera plus à l'aise avec un ampli costaud.
Rodage :
Le mot n'est pas le bon mais tant pis.
Pour avoir lu d'autres commentaires, comme le Speaker il faut un peu de patience.
Je ne m'en suis pas rendu compte à la première écoute vu le gap, c'est le lendemain que je me suis aperçu que le premier jour c'est voilé, un peu fermé.
Le deuxième jour immédiatement tout s'éclaire.
Constats :
C'est un câble qui s'efface complètement.
Pas physiquement.....
La sensation que tout est là, parfaitement tenu, une maîtrise totale sur tous les registres.
Et en même temps tout est libre de s'exprimer.
Les écarts dynamiques sont réalistes,
tout est réaliste.
Je ne sais pas dire plus, c'est juste toute la musique et on oublie le système.
Ce qui prédomine c'est une énorme tranquillité qualitative, c'est du THDG discret quoi.
C'est ça, du THDG qui n'en fait pas étalage, mais bétonné, rien ne lâche, et tout s'exprime jusqu'au plus fin.
Audiomat Aria (en sursis), JMR Offrande Suprême, démat + Audiomat Maestro, câblage WhyNot Opus18