01-30-2020, 12:38 PM
(Modification du message : 01-30-2020, 12:44 PM par Musicalbox.)
Quel que soit le point que l’on aborde,
on ne peut se rendre compte d’un effet que lorsqu’on l’a entendu.
C’est valable pour le traitement de l’acoustique, pour le silence des matériels, pour la qualité des résistances ou des condensateurs, etc......... etc....
Pour tous les paramètres.
_______
Concernant l’acoustique,
il faut garder à l’esprit que contrairement à tout le reste elle est liée au contexte de vie :
une pièce dédiée ou pas.
Où que soit posé un système il n’y a aucune contrainte à en travailler la qualité intrinsèque des matériels.
Les négligences sont donc moins excusables.
Le traitement de l’acoustique doit s’accommoder avec la fonctionnalité d’une pièce de vie.
On ne posera pas un panneau absorbant à trente centimètres des plaques de cuisson où il se gorgerait des odeurs culinaires.
On ne pose pas une tenture sur une fenêtre que l’on est amené à ouvrir de nombreuses fois par jour et qui reste l’été ouverte à longueur de journée.
On apprécie sur le peu de murs disponibles d’avoir un minimum de décoration personnelle non-audiophile.
Se représenter une pièce à distance n’est pas aisé, on ne se rend compte que sur place de ce qui est raisonnablement acceptable ou pas en confrontation avec le quotidien pratique.
Et puis il faut aussi savoir écouter ce que les gens disent :
lorsque quelqu’un dit qu’il ne s’investira pas plus dans des murs qu’il est appelé à laisser à échéance incertaine, on lâche du lest.
Les matériels on les emporte lorsqu’on change de lieu, tout ce qu’on y met en énergie on le garde.
Les murs on les abandonne derrière soi et tout nouveau lieu impose de recommencer la tâche à son début.
Dans l’idéal à l’avenir le préférerais aménager un auditorium dans l’atelier, car c’est le lieu où je passe quasiment tout mon temps.
Là un endroit dédié serait plus envisageable.
... il n’est pas clair du tout en l’occurrence.
car mon changement de cap est dû à une découverte qui a bouleversé mon point de vue sur le sujet.
Tout simplement.
Et à un coup de coeur pour un produit.
On ne sait jamais ce que l’on va rencontrer sur son chemin.
on ne peut se rendre compte d’un effet que lorsqu’on l’a entendu.
C’est valable pour le traitement de l’acoustique, pour le silence des matériels, pour la qualité des résistances ou des condensateurs, etc......... etc....
Pour tous les paramètres.
_______
Concernant l’acoustique,
il faut garder à l’esprit que contrairement à tout le reste elle est liée au contexte de vie :
une pièce dédiée ou pas.
Où que soit posé un système il n’y a aucune contrainte à en travailler la qualité intrinsèque des matériels.
Les négligences sont donc moins excusables.
Le traitement de l’acoustique doit s’accommoder avec la fonctionnalité d’une pièce de vie.
On ne posera pas un panneau absorbant à trente centimètres des plaques de cuisson où il se gorgerait des odeurs culinaires.
On ne pose pas une tenture sur une fenêtre que l’on est amené à ouvrir de nombreuses fois par jour et qui reste l’été ouverte à longueur de journée.
On apprécie sur le peu de murs disponibles d’avoir un minimum de décoration personnelle non-audiophile.
Se représenter une pièce à distance n’est pas aisé, on ne se rend compte que sur place de ce qui est raisonnablement acceptable ou pas en confrontation avec le quotidien pratique.
Et puis il faut aussi savoir écouter ce que les gens disent :
lorsque quelqu’un dit qu’il ne s’investira pas plus dans des murs qu’il est appelé à laisser à échéance incertaine, on lâche du lest.
Les matériels on les emporte lorsqu’on change de lieu, tout ce qu’on y met en énergie on le garde.
Les murs on les abandonne derrière soi et tout nouveau lieu impose de recommencer la tâche à son début.
Dans l’idéal à l’avenir le préférerais aménager un auditorium dans l’atelier, car c’est le lieu où je passe quasiment tout mon temps.
Là un endroit dédié serait plus envisageable.
(01-30-2020, 12:34 PM)Lawrence a écrit : Dans son "fil" récent où elle envisageait la mise au point d'enceintes en DIY, elle avait avoué: "Je suis habituée à un 30cm qui ne bouge pas et très naturel. Le but est de ne pas ajouter du travail mécanique. 30cm, pas moins, oui, c'est comme cela que part la réflexion".
Finalement, elle est partie sur deux 17cm. Je ne doute pas que le résultat soit très bon. Mais, il est clair que ce changement dans le choix a été imposé par une crainte depuis les limitations inhérentes au local d'écoute, comme beaucoup d'entre nous.
... il n’est pas clair du tout en l’occurrence.
car mon changement de cap est dû à une découverte qui a bouleversé mon point de vue sur le sujet.
Tout simplement.
Et à un coup de coeur pour un produit.
On ne sait jamais ce que l’on va rencontrer sur son chemin.