05-15-2021, 03:08 PM
(05-15-2021, 01:19 PM)pda0 a écrit : Donc je crois que le plus important c’est de se fier à ses oreilles même avec toutes les faiblesses psycho-acoustiques qu’elles peuvent avoir
Aghhhhhhh.
Ce faisant, tu te heurtes à un point sensible, entre autres: la vue.
Je suis sensible, hélas, à cet aspect.
En me déplaçant beaucoup, je réalise à quel point le visuel compte.
Il faudrait pouvoir écouter les yeux fermés pour s’affranchir de certaines limites que construit notre cerveau, par exemple s’agissant de la « scène sonore » qu’on « voit » devant nos systèmes.
Mais écouter les yeux fermés me frustre. J’ai du mal à expliquer pourquoi.
Je n’oserai pas me plaindre de la taille de ma zone d’écoute mais elle n’est pas immense non plus et j’apprécie beaucoup la contribution visuelle qu’apporte un environnement dégagé et vaste à la perception sonore chez certains copains, quand bien même la restitution pure elle même ne serait pas supérieure.
J’aimerais reculer mon canapé d’1 mètre (je suis à 3,2m des enceintes) mais je me trouve alors dans une zone de léger creux dans le grave alors pour l’instant, n’ayant pas solutionné cela en passif, je m’abstiens de le faire et reste à 3,2m des enceintes…
J’ai fait confiance à mes oreilles et les mesures ont parfaitement confirmé ce creux alors que j’ai une belle linéarité à ma position actuelle.
Du coup, je renonce à reculer et à chercher une écoute/distance type concert classique-symphonique…
Philippe, quel est l’espacement de tweeter à tweeter chez toi ?
Et tu écoutes à quelle distance ?
Je trouve le triangle équilatéral trop « casque » comme écoute. Il n’y a que moi ?
Laurent