05-14-2021, 10:55 AM
(05-13-2021, 06:13 PM)pda0 a écrit : Je viens de faire ce que demandait Fred et d’écouter la 8ème symphonie de Shoshtakovich par Kitayenko en DSD, sur les Aelius et sur le Boxem en mode gain High, ce qui ramène l’écart de gain entre les 2 amplis à 3dB seulement en faveur de l’Ypsilon.
Le DR de ce DSD est de 25 et même 27 sur le dernier mouvement. Le Tambaqui était sur -10dB avec les Aelius et -7dB avec le Boxem pour obtenir un niveau « réaliste ». Le 3ème mouvement Allegro non troppo, suivi du 4ème Largo sont parmi les plus impressionnants qui soient (enfin pour moi) et il vaut mieux s’assurer du niveau auquel on règle le son car ça monte très fort, notamment au tout début du 4ème mouvement. Je suis fan de Chostakovich et en particulier de cette Symphonie que je connais bien pour l’avoir écoutée très souvent.
J’avoue que la performance du Boxem dans cette configuration m’a vraiment impressionné ! Les Aelius me paraissent avoir un soupçon de crédibilité supérieure mais c’était quand même magnifique de maîtrise et de finesse de la part du Boxem.
A vrai dire j’avais commencé à écouter en gain médium avant de me souvenir de la demande de Fred, et de basculer en mode high. Bien m’en a pris car en mode médium, on était en limite de gain sur le Tambaqui (j’étais monté à 0dB), et le passage en high a redonné un peu de marge, mais surtout, me semble-t-il, un peu plus de maîtrise au Boxem.
La tenue des impacts (et ça pète vraiment !) est remarquable avec une articulation du grave au niveau de ce que fait le Devialet, et la variété des timbres m’a semblé se rapprocher des Aelius.
Je vais continuer à écouter dans cette configuration un panel plus large de musiques pour voir.
Voilà une communication que j'ai aimé lire. Pas parce qu'elle compare des amplificateurs dont je n'ai aucune idée (les marques ne m'intéressent guère; mes amplis sont sortis de mes mains) mais parce qu'elle donne une façon de comparer, la seule qui soit véritablement transmissible, en écoutant une oeuvre musicale et en cherchant à objectiver ce que l'on ressent dans cette écoute. L'oeuvre musicale est pour moi seul point de repère objectif dans l'incertitude que génèrent les façons divergentes d'analyser la qualité d'une installation, que cette analyse soit personnelle ou appuyée sur des tests dont l'objectivité n'est établie que parce qu'elle correspond à ce que l'on croit bien entendre. Ce n'est que mon avis. Cordialement Olivier
La haute-fidélité est la servante de la musique et pas une fin en soi