Mon très cher Jalucine
Il y a certes les goûts, mais il y a la physique, et elle assez implacable.
Il me semble qu'une saine curiosité aurait pu pousser tout un chacun à calculer où était cette satanée distance critique dans sa propre pièce.
Il te suffit des dimensions, du RT, et de la dispersion approximative horizontale et verticale de tes enceintes.
J'entends d'ici le bruit de ta mâchoire sur le sol quand tu vas voir à quelle distance elle se trouve chez toi.
En prenant l'une des nombreuses pages qui fournissent un calculateur en ligne comme il en a été donné un plus haut.
http://www.rt60.net/dist_crit.htm
Par exemple:
L 8m
l 5m
H 3m
RT 0.3
Dispersion horizontale et verticale 90°
On a une distance critique de 3.22m
Que cela soit surprenant, choquant, anti-intuitif, on est très au delà des goûts: dans cette pièce de 40 m2, 3 m de plafond et des enceintes de dispersion 90° à 3.22m des enceintes, le champ réfléchi est EGAL au champ émis.
Si la dispersion passe à 120°, la dc passe à 2.83m
Une fois tout ceci mis à plat, une écoute en champ libre ne ressemble pas du tout à une écoute dans une salle, que cela soit en hifi ou en concert acoustique.
Mon objectif en hifi est de retrouver la sensation du concert, et non pas d'écouter de la musique d'une manière impossibie à réaliser dans le monde réel par des musiciens, dans une sorte d'écoute théorique virtuelle. Je déteste l'écoute au casque pour cette raison: aucun repère du monde réel. Si on préfère l'ecoute en champ libre, il vaut peut-être mieux se tourner vers le casque plutôt que de s'emmerder avec des bass traps, des panneaux et des distances critiques.
Franz prend son pied avec de la quadriphonie. C'est son choix. Rien à dire. Mais au milieu d'un orchestre, on entend plutôt un vacarme que de la musique, et même en musique de chambre à 2 ou 3, c'est difficile d'arriver à s'écouter soi même et d'écouter l'autre. En musique acoustique, il n'y a pas de retour scène et d'oreillette.
Quant aux prises de son, on ne prend pas un orchestre depuis le 20ème rang. Ni un quatuor d'ailleurs.
Bonne nuit.
Il y a certes les goûts, mais il y a la physique, et elle assez implacable.
Il me semble qu'une saine curiosité aurait pu pousser tout un chacun à calculer où était cette satanée distance critique dans sa propre pièce.
Il te suffit des dimensions, du RT, et de la dispersion approximative horizontale et verticale de tes enceintes.
J'entends d'ici le bruit de ta mâchoire sur le sol quand tu vas voir à quelle distance elle se trouve chez toi.
En prenant l'une des nombreuses pages qui fournissent un calculateur en ligne comme il en a été donné un plus haut.
http://www.rt60.net/dist_crit.htm
Par exemple:
L 8m
l 5m
H 3m
RT 0.3
Dispersion horizontale et verticale 90°
On a une distance critique de 3.22m
Que cela soit surprenant, choquant, anti-intuitif, on est très au delà des goûts: dans cette pièce de 40 m2, 3 m de plafond et des enceintes de dispersion 90° à 3.22m des enceintes, le champ réfléchi est EGAL au champ émis.
Si la dispersion passe à 120°, la dc passe à 2.83m
Une fois tout ceci mis à plat, une écoute en champ libre ne ressemble pas du tout à une écoute dans une salle, que cela soit en hifi ou en concert acoustique.
Mon objectif en hifi est de retrouver la sensation du concert, et non pas d'écouter de la musique d'une manière impossibie à réaliser dans le monde réel par des musiciens, dans une sorte d'écoute théorique virtuelle. Je déteste l'écoute au casque pour cette raison: aucun repère du monde réel. Si on préfère l'ecoute en champ libre, il vaut peut-être mieux se tourner vers le casque plutôt que de s'emmerder avec des bass traps, des panneaux et des distances critiques.
Franz prend son pied avec de la quadriphonie. C'est son choix. Rien à dire. Mais au milieu d'un orchestre, on entend plutôt un vacarme que de la musique, et même en musique de chambre à 2 ou 3, c'est difficile d'arriver à s'écouter soi même et d'écouter l'autre. En musique acoustique, il n'y a pas de retour scène et d'oreillette.
Quant aux prises de son, on ne prend pas un orchestre depuis le 20ème rang. Ni un quatuor d'ailleurs.
Bonne nuit.