10-18-2016, 07:14 PM
J’ai reçu mon D220 hier. Un petit essai dans la nuit histoire de sentir le produit, mais je l’ai laissé tourner à bas volume 15 heures. Avant de renvoyer le D200, je l’avais recomparé au D800 sur les 24, histoire d’avoir un repère pour apprécier à peu près les différences. Pas de surprises à ce niveau, le 800 a plus d’aisance, de facilité, d’absence de distorsion subjective, de transparence, pour reproduire n’importe quel instrument ou ensemble. L’image est plus précise et profonde. L’équilibre est meilleur ainsi que l’homogénéité des timbres. Bye-bye le D200, t’as pas démérité, mais ça pousse derrière. Pourtant, tu en as vexé des célébrités ! Adieu. Snif.
Après la découverte du D900, et le pas qu’il marquait clairement sur le D800, j’étais curieux de savoir ce que pourrait donner la nouvelle gamme Devialet. Il était bien évident que les progrès techniques et musicaux constatés avec le D900 « Original d’Atelier » ne pouvait pas ne pas se retrouver un jour sur le reste de leurs produits. Le D220 était la bonne occasion de le savoir. C’est surtout un produit stratégique qualitatif à un prix encore relativement raisonnable, en tant que DAC+(super) préampli+ampli. Essai toujours sur les 24, avec comparaison au D800.
Il ne faut pas longtemps pour constater que le 220 se joue du 800 avec autant de facilité que l’avait fait le 900. Le progrès par rapport au D200 est considérable, plus que la différence 800-900. C’est d’abord l’homogénéité des timbres, des voix, des instruments facilement acides comme les flutes qui saute aux oreilles. La répartition de la dynamique est sans reproche. Quand ça monte et ça monte avec une sacrée facilité, le bas du spectre ne reste pas en route, la puissance des forti impressionne, sans casser les tympans. C’était déjà le cas, mais on va encore plus loin. Bon, avec le rendement des 24, on est à 108 db avec 2 x 8 watts, donc ce n’est pas trop la puissance qui joue, mais autre chose difficile à définir et que l’on ne fait que constater d’un ampli à l’autre. Je n’ai jamais compris d’ailleurs pourquoi les Dual Devialet gardait un avantage sur les singles alors que je n’en utilise qu’une fraction de watts en général et que la complexité d’un système a rarement donné un avantage patent.
Puis on constate que l’aigu est vraiment remarquable, fin, soyeux, mais pas éthéré, capable de donner du corps aux cymbales et un suivi impressionnant. Il détaille les ensembles de cordes avec souplesse, nuances et détails sans la moindre agressivité. Au début, on peut penser que le bas du spectre n’est pas en progrès, pas plus détaillé ni transparent, puis on se rend compte que l’on entend vraiment beaucoup de choses dans la zone, avec une mise en valeur encore plus marquée des résonances de caisses, des matières, des détails d’ambiance, des réverbérations.
L’association avec les 24 marche vraiment très bien sur tous les critères d’écoute. On peut reconnaître que les premières séries n’étaient pas vraiment faciles à mettre en oeuvre. Là, si la source est correcte, les nouveaux venus devraient donner facilement un grand plaisir.
Une comparaison 220-900 s’impose. Je n’ai pas d’idée préconçue quant au résultat.
Après la découverte du D900, et le pas qu’il marquait clairement sur le D800, j’étais curieux de savoir ce que pourrait donner la nouvelle gamme Devialet. Il était bien évident que les progrès techniques et musicaux constatés avec le D900 « Original d’Atelier » ne pouvait pas ne pas se retrouver un jour sur le reste de leurs produits. Le D220 était la bonne occasion de le savoir. C’est surtout un produit stratégique qualitatif à un prix encore relativement raisonnable, en tant que DAC+(super) préampli+ampli. Essai toujours sur les 24, avec comparaison au D800.
Il ne faut pas longtemps pour constater que le 220 se joue du 800 avec autant de facilité que l’avait fait le 900. Le progrès par rapport au D200 est considérable, plus que la différence 800-900. C’est d’abord l’homogénéité des timbres, des voix, des instruments facilement acides comme les flutes qui saute aux oreilles. La répartition de la dynamique est sans reproche. Quand ça monte et ça monte avec une sacrée facilité, le bas du spectre ne reste pas en route, la puissance des forti impressionne, sans casser les tympans. C’était déjà le cas, mais on va encore plus loin. Bon, avec le rendement des 24, on est à 108 db avec 2 x 8 watts, donc ce n’est pas trop la puissance qui joue, mais autre chose difficile à définir et que l’on ne fait que constater d’un ampli à l’autre. Je n’ai jamais compris d’ailleurs pourquoi les Dual Devialet gardait un avantage sur les singles alors que je n’en utilise qu’une fraction de watts en général et que la complexité d’un système a rarement donné un avantage patent.
Puis on constate que l’aigu est vraiment remarquable, fin, soyeux, mais pas éthéré, capable de donner du corps aux cymbales et un suivi impressionnant. Il détaille les ensembles de cordes avec souplesse, nuances et détails sans la moindre agressivité. Au début, on peut penser que le bas du spectre n’est pas en progrès, pas plus détaillé ni transparent, puis on se rend compte que l’on entend vraiment beaucoup de choses dans la zone, avec une mise en valeur encore plus marquée des résonances de caisses, des matières, des détails d’ambiance, des réverbérations.
L’association avec les 24 marche vraiment très bien sur tous les critères d’écoute. On peut reconnaître que les premières séries n’étaient pas vraiment faciles à mettre en oeuvre. Là, si la source est correcte, les nouveaux venus devraient donner facilement un grand plaisir.
Une comparaison 220-900 s’impose. Je n’ai pas d’idée préconçue quant au résultat.