03-13-2025, 01:28 PM
Bien le bonjour à tous,
Je prends le temps de prendre ma « plume » à la faveur d’une réflexion à froid et d’une crise d’allergie carabinée qui me confine au fond du canapé avec le tomahawk bien planté.
Visite du 11 Mars.
J’obtiens une autorisation de sortie de l’hôpital…
Une galère pour trouver un bon pâtissier à Dax à 13:30…
Arrivée chez notre ami, KF, sucreries en attendant notre troisième larron.
Depuis ma dernière visite, qui doit dater de quelques 5-6 mois, tout à changé (ampli, dac, software hifi, streamer, horloge, câbles CS), mais aussi l’implantation du set hifi dans la pièces, sans parler des quelques éléments de traitement passifs…
On n’ira donc pas chercher qui fait quoi ! Ni le pourquoi. Et, je m’attacherais au résultat. Avec une petite analyse personnelle tout de même.
On ne va pas se mentir, c’est toujours très bon.
La musique est là, mais pas seulement, nous sommes dans la musique. Comme je l’ai dit à Dom, on a l’impression d’être dans le studio d’enregistrement.
C’est énorme, l’ambiance, le mastering sont très perceptibles. Ce qui laisse très peu de place à des enregistrements de piètre qualité.
Autre point, les dernières évolutions de la démat. Il me semble que le C19 avec la FLR jouent un rôle qui est très très loin d’être négligeable.
Je m’explique, la précision, l’étagement des pupitres sont remarquables. Mais. Car il i a un mais. Ce qui m’a bouleversé, ce sont les silences, rien ne traîne, rien n’est flou. Le silence entre les notes et les instruments participe à la qualité du rendu global du rendu de la musique. De fait, à la respiration de la musique.
Donc un grand bravo à la combinaison des talents que forme le duo gagnant, FLR-LeDom… car ces deux protagonistes sont en passe d’être à l’origine de la guilde des sorciers de la hifi française. Je pèse mes mots. Car il se passe des choses sues et non sues dans ces deux laboratoires que la décence m’interdît de dévoiler.
La véracité des timbres, le réalisme des certains instruments sont tout simplement incroyables. Bien que peu amateur de superlatifs, j’ai du mal à l’exprimer autrement.
Revenons à nos moutons. Ces évolutions ont eu pour effet de remettre tout le monde à sa place dans les morceaux qui ont défilé. Des plans très très lointains de certains enregistrements sont revenus à leur place au niveau spécial et au niveau de l’audibilité. C’est saisissant.
Pourtant, comme nous nous le sommes dit entre nous, bits are bits, mais comment ont-ils fait pour bouger dans la musique alors !?
Afin de poursuivre nos incursions dans la musique, nous avons challengé notre hôte à nous faire écouter une autre diablerie et passant à memoryplay.
Cela ne s’est pas fait sans mal. De même, l’interface n’est pas friendster du tout. Mais, me concernant, peu m’importe…
Ce memoryplay est un peu comme si l’on se levait du fauteuil pour changer de LP. Il faut du temps pour trouver l’album puis il faut du temps pour charger l’album (on ne peut pas sélectionner un seul morceau), cela tombe bien, car j’aime bien écouter une œuvre complète.
L’analogie avec le LP ne s’arrête pas là, car j’ai le sentiment que l’on a enfin réussi à sortir un son analogique de fichiers numériques. De sorte que le Maverick se baladait plus dans la zone de -23/-13db qu’en dessous et ce, sans fatigue auditive.
Ça file haut, ça file bas, ça file fort sans problème.
Ce fût comme d’habitude, trop court car je devais quitter nos amis vers 18:00…
Je me suis promis que mon prochain passage se ferait sur une journaliste complète, avec mon ampli et mon serveur sous les bras afin de mieux comprendre ce qu’il se passait et mieux comprendre qui faisait quoi… ce sera vraisemblablement sous quinzaine.
Comme j’étais parti comme un voleur, j’ai dû repasser chez LeDom récupérer une paire de ficelles pour faire des essais sur mes enceintes. Ce qui nous a valu de nouveaux échanges sur l’expérience de l’avant-veille, les commentaires des uns et des autres. Même, si je ne partage pas certaines remarques, cela a éveillé un point de vigilance à repos de ce que nous avions vécu.
Même si l’on est dans la musique, même si tout joue mieux, même si le système est d’un transparence indéniable, il pourrait y avoir une perte de ce que j’appellerais, l’émotion, mais cela reste à confirmer par une prochaine écoute.
C’est un peu comme le mythe de la recherche de la femme parfaite avec qui l’on pourrait finir par s’ennuyer. Mais comme nous sommes au début d’une relation tout va bien.
Nul doute que notre Dominique saura garder l’esprit vif, critique afin de poursuivre sa quête vers SON système et SES goûts…
A très bientôt pour de nouvelles aventures.
Je prends le temps de prendre ma « plume » à la faveur d’une réflexion à froid et d’une crise d’allergie carabinée qui me confine au fond du canapé avec le tomahawk bien planté.
Visite du 11 Mars.
J’obtiens une autorisation de sortie de l’hôpital…
Une galère pour trouver un bon pâtissier à Dax à 13:30…
Arrivée chez notre ami, KF, sucreries en attendant notre troisième larron.
Depuis ma dernière visite, qui doit dater de quelques 5-6 mois, tout à changé (ampli, dac, software hifi, streamer, horloge, câbles CS), mais aussi l’implantation du set hifi dans la pièces, sans parler des quelques éléments de traitement passifs…
On n’ira donc pas chercher qui fait quoi ! Ni le pourquoi. Et, je m’attacherais au résultat. Avec une petite analyse personnelle tout de même.
On ne va pas se mentir, c’est toujours très bon.
La musique est là, mais pas seulement, nous sommes dans la musique. Comme je l’ai dit à Dom, on a l’impression d’être dans le studio d’enregistrement.
C’est énorme, l’ambiance, le mastering sont très perceptibles. Ce qui laisse très peu de place à des enregistrements de piètre qualité.
Autre point, les dernières évolutions de la démat. Il me semble que le C19 avec la FLR jouent un rôle qui est très très loin d’être négligeable.
Je m’explique, la précision, l’étagement des pupitres sont remarquables. Mais. Car il i a un mais. Ce qui m’a bouleversé, ce sont les silences, rien ne traîne, rien n’est flou. Le silence entre les notes et les instruments participe à la qualité du rendu global du rendu de la musique. De fait, à la respiration de la musique.
Donc un grand bravo à la combinaison des talents que forme le duo gagnant, FLR-LeDom… car ces deux protagonistes sont en passe d’être à l’origine de la guilde des sorciers de la hifi française. Je pèse mes mots. Car il se passe des choses sues et non sues dans ces deux laboratoires que la décence m’interdît de dévoiler.
La véracité des timbres, le réalisme des certains instruments sont tout simplement incroyables. Bien que peu amateur de superlatifs, j’ai du mal à l’exprimer autrement.
Revenons à nos moutons. Ces évolutions ont eu pour effet de remettre tout le monde à sa place dans les morceaux qui ont défilé. Des plans très très lointains de certains enregistrements sont revenus à leur place au niveau spécial et au niveau de l’audibilité. C’est saisissant.
Pourtant, comme nous nous le sommes dit entre nous, bits are bits, mais comment ont-ils fait pour bouger dans la musique alors !?
Afin de poursuivre nos incursions dans la musique, nous avons challengé notre hôte à nous faire écouter une autre diablerie et passant à memoryplay.
Cela ne s’est pas fait sans mal. De même, l’interface n’est pas friendster du tout. Mais, me concernant, peu m’importe…
Ce memoryplay est un peu comme si l’on se levait du fauteuil pour changer de LP. Il faut du temps pour trouver l’album puis il faut du temps pour charger l’album (on ne peut pas sélectionner un seul morceau), cela tombe bien, car j’aime bien écouter une œuvre complète.
L’analogie avec le LP ne s’arrête pas là, car j’ai le sentiment que l’on a enfin réussi à sortir un son analogique de fichiers numériques. De sorte que le Maverick se baladait plus dans la zone de -23/-13db qu’en dessous et ce, sans fatigue auditive.
Ça file haut, ça file bas, ça file fort sans problème.
Ce fût comme d’habitude, trop court car je devais quitter nos amis vers 18:00…
Je me suis promis que mon prochain passage se ferait sur une journaliste complète, avec mon ampli et mon serveur sous les bras afin de mieux comprendre ce qu’il se passait et mieux comprendre qui faisait quoi… ce sera vraisemblablement sous quinzaine.
Comme j’étais parti comme un voleur, j’ai dû repasser chez LeDom récupérer une paire de ficelles pour faire des essais sur mes enceintes. Ce qui nous a valu de nouveaux échanges sur l’expérience de l’avant-veille, les commentaires des uns et des autres. Même, si je ne partage pas certaines remarques, cela a éveillé un point de vigilance à repos de ce que nous avions vécu.
Même si l’on est dans la musique, même si tout joue mieux, même si le système est d’un transparence indéniable, il pourrait y avoir une perte de ce que j’appellerais, l’émotion, mais cela reste à confirmer par une prochaine écoute.
C’est un peu comme le mythe de la recherche de la femme parfaite avec qui l’on pourrait finir par s’ennuyer. Mais comme nous sommes au début d’une relation tout va bien.
Nul doute que notre Dominique saura garder l’esprit vif, critique afin de poursuivre sa quête vers SON système et SES goûts…
A très bientôt pour de nouvelles aventures.
Serveur à la sauce Bordelaise sous Euphony.
ClearAudio Émotion (DL103) - JCT Neith.
D250 EP - MPC Mélodie - Atlantis Acoustique Argentera.
Mibox 4. Benq 1070 - Visivo Lusso.
Installation : Home Sweet Home
ClearAudio Émotion (DL103) - JCT Neith.
D250 EP - MPC Mélodie - Atlantis Acoustique Argentera.
Mibox 4. Benq 1070 - Visivo Lusso.
Installation : Home Sweet Home