10-13-2024, 12:15 PM
Salut
La nuit transfigurée est tonale, avec des références à Brahms ou Wagner.
Quant à l’atonalisme, quand on peut changer une note sur deux, ou que l’on fasse jouer certains instruments un demi ton au dessus et d’autres un demi ton en dessous, sans que personne ne s’en rende compte, en dehors du compositeur parce que sa composition n’obéit qu’à une logique purement interne et non partageable, est-ce encore de la musique ?
Certes, certaines ambiances peuvent séduire, voire « parler ». Mais bon, le temps nous étant compté, pas envie de m’y attarder quand on a Bach, Rameau, Haendel, Haydn, Mozart, Beethoven, Schubert, Schuman, Chopin, Liszt, Stravinsky, Debussy, Ravel, Fauré, Poulenc, et j’en omets un paquet.
Inutile de dire que je suis encore plus extrémiste que Jérôme Ducros dans sa conférence indiquée plus haut.
À l’origine de la conférence (qui a déclenché une polémique odieuse), la quasi intégralité des fonds publics consacrés à la recherche musicale trustée par l’atonalisme à travers le monde. En France, Ircam et Pierre Boulez, paix à son âme, en tête.
Mais dans ce qui suit, il y en a forcément un des deux qui est dans l’erreur grossière, et pas uniquement le tempo. Articulation, pulsation, rhythmique, bref, bêtement la partition et le contexte et les « effets » sur les auditeurs. À chacun de décider qui.
Amicalement
La nuit transfigurée est tonale, avec des références à Brahms ou Wagner.
Quant à l’atonalisme, quand on peut changer une note sur deux, ou que l’on fasse jouer certains instruments un demi ton au dessus et d’autres un demi ton en dessous, sans que personne ne s’en rende compte, en dehors du compositeur parce que sa composition n’obéit qu’à une logique purement interne et non partageable, est-ce encore de la musique ?
Certes, certaines ambiances peuvent séduire, voire « parler ». Mais bon, le temps nous étant compté, pas envie de m’y attarder quand on a Bach, Rameau, Haendel, Haydn, Mozart, Beethoven, Schubert, Schuman, Chopin, Liszt, Stravinsky, Debussy, Ravel, Fauré, Poulenc, et j’en omets un paquet.
Inutile de dire que je suis encore plus extrémiste que Jérôme Ducros dans sa conférence indiquée plus haut.
À l’origine de la conférence (qui a déclenché une polémique odieuse), la quasi intégralité des fonds publics consacrés à la recherche musicale trustée par l’atonalisme à travers le monde. En France, Ircam et Pierre Boulez, paix à son âme, en tête.
Mais dans ce qui suit, il y en a forcément un des deux qui est dans l’erreur grossière, et pas uniquement le tempo. Articulation, pulsation, rhythmique, bref, bêtement la partition et le contexte et les « effets » sur les auditeurs. À chacun de décider qui.
Amicalement