10-10-2024, 10:33 PM
Mes plates excuses pour l’anglicisme du making of.
Je n’ai rien trouvé de mieux.
Le processus créatif est dans la tête du compositeur, et là, mystère absolu.
Coulisses, analyses, appropriation, échos personnels et même intimes, travail de la « technique », j’avais tout ça en tête côté interprète. Autant au service du compositeur que des auditeurs. C’est un rôle de « passeur », de sage femme.
Mais absolument insignifiant par rapport aux compositeurs.
Allez, une dernière pour la route, parmi les choses égarées en chemin. L’ornementation, la variation et l’improvisation que seuls les musiciens de jazz pratiquent encore.
Qui ose jouer la marche turque de Mozart comme ça? Le fait que cela soit joué sur un piano forte contemporain de Mozart et non un piano moderne est un détail sans importance.
On est loin de la « jupe plissée queue de cheval » des interprétations habituelles.
Amicalement
Je n’ai rien trouvé de mieux.
Le processus créatif est dans la tête du compositeur, et là, mystère absolu.
Coulisses, analyses, appropriation, échos personnels et même intimes, travail de la « technique », j’avais tout ça en tête côté interprète. Autant au service du compositeur que des auditeurs. C’est un rôle de « passeur », de sage femme.
Mais absolument insignifiant par rapport aux compositeurs.
Allez, une dernière pour la route, parmi les choses égarées en chemin. L’ornementation, la variation et l’improvisation que seuls les musiciens de jazz pratiquent encore.
Qui ose jouer la marche turque de Mozart comme ça? Le fait que cela soit joué sur un piano forte contemporain de Mozart et non un piano moderne est un détail sans importance.
On est loin de la « jupe plissée queue de cheval » des interprétations habituelles.
Amicalement