Il y a 7 heures
Merci
Bon, il faudra visiblement que j’offre une casquette à Papy
Les Goldberg, je les ai travaillées il y a bien longtemps. Les reprendre serait un chantier trop « lourd » et trop « long » à mon âge où j’ai besoin d’un peu de « satisfactions » sans attendre 6 mois en bossant comme un dératé.
Rendez-vous avec Martha, j’aurais bien aimé…
Le costume.. c’est volontaire. Une sorte de mise en conditions psychologique pour Bach, ce qui j’espère n’a occulté ni le rythme ni certains aspects dansants de cette fugue. Mais bon, on ne va pas gravir l’Everest en tongs, ni à la plage avec un anorak…
Pour tout vous dire, je me suis « imposé » d’avoir un petit programme en permanence dans les doigts et la tête. Le nocturne de Chopin n’est pas encore dans la tête, cette fugue, si, ainsi que le Lacrymosa Mozart-Liszt et le premier mvt de la sonate 14 de Beethoven.
En chantier, le prélude qui précède cette fugue, le premier mvt de l’opus 110 de Beethoven, et peut être l’intégralité de la sonate 8 de Mozart.
Si je n’ai pas explosé avant, Bruyères de Debussy.
Évidemment, l’expérience est une lanterne accrochée dans le dos, la hifi me sert beaucoup moins qu’avant et est sans doute surdimensionnée.
D’un autre côté, sans l’enchaînement hifi-pièce-piano et la découverte sous une frite de ce B211, tout ceci ne serait pas arrivé.
Sans parler des nombreux amis rencontrés grâce à la hifi…
Bon, il faudra visiblement que j’offre une casquette à Papy
Les Goldberg, je les ai travaillées il y a bien longtemps. Les reprendre serait un chantier trop « lourd » et trop « long » à mon âge où j’ai besoin d’un peu de « satisfactions » sans attendre 6 mois en bossant comme un dératé.
Rendez-vous avec Martha, j’aurais bien aimé…
Le costume.. c’est volontaire. Une sorte de mise en conditions psychologique pour Bach, ce qui j’espère n’a occulté ni le rythme ni certains aspects dansants de cette fugue. Mais bon, on ne va pas gravir l’Everest en tongs, ni à la plage avec un anorak…
Pour tout vous dire, je me suis « imposé » d’avoir un petit programme en permanence dans les doigts et la tête. Le nocturne de Chopin n’est pas encore dans la tête, cette fugue, si, ainsi que le Lacrymosa Mozart-Liszt et le premier mvt de la sonate 14 de Beethoven.
En chantier, le prélude qui précède cette fugue, le premier mvt de l’opus 110 de Beethoven, et peut être l’intégralité de la sonate 8 de Mozart.
Si je n’ai pas explosé avant, Bruyères de Debussy.
Évidemment, l’expérience est une lanterne accrochée dans le dos, la hifi me sert beaucoup moins qu’avant et est sans doute surdimensionnée.
D’un autre côté, sans l’enchaînement hifi-pièce-piano et la découverte sous une frite de ce B211, tout ceci ne serait pas arrivé.
Sans parler des nombreux amis rencontrés grâce à la hifi…