Quelques nouvelles en cette rentrée avec la suite des améliorations du second système.
J'ai reçu la télécommande de chez Audio Analogue, pas donnée pour une télécommande plastique, mais c'est quand même bien pratique. Et en plus, elle est indispensable pour gérer certains paramètres de l'ampli comme la balance par exemple.
En revanche, j'aurais bien voulu la cloner, mais pas réussi à le faire avec une Seki que j'ai déjà utilisé à plusieurs reprises avec succès : l'apprentissage semble bien se faire (séquences lumineuses comme sur le mode d'emploi), mais la clone n'est pas reconnue par l'ampli, étonnant. Audio Analogue semble utiliser des séquences de codes IR bien particuliers : j'avais essayé avec plusieurs télécommandes (Sony, Teac, Philips, Oppo) et une dite universelle avec une bibliothèque de plus de 150 codes, rien n'y avait fait.
Auriez-vous une idée ?
Ensuite, un peu plus important : sur la base d'informations trouvées sur un forum en Italie, j'ai procédé à quelques modifications internes de l'ampli Verdi Cento. Ça fait partie des évolutions proposées par la marque AirTech créée par Claudio Bertini (co-fondateur d’Audio Analogue) en 2013. Ils proposent d'ailleurs toujours l'upgrade du Verdi Cento qui comprend également le changement de la carte préampli pour accepter d'autres tubes (ECC88), pour 1.250 €.
Donc : démontage du châssis pour pouvoir accéder à la carte principale. Le gros transfo torique ne simplifie pas la tâche (je n'ai pas voulu dessouder tous les fils - nombreux - du primaire et des secondaires, il m'a donc fallu faire avec et jongler entre le transfo, la carte, le fer à souder, la soudure.... Au menu : changement des embases HP (ETI BP-20C Cuivre pur plaqué or, j'y reviendrai plus loin), des fils de raccordement entre les embases HP et la carte (Neotech SOCT-14 Cuivre monobrin AWG14) et des condensateurs de liaisons (Mundorf MCAP Evo Oil 2,2 uF).
Puis remontage du châssis, très bien pensé, sans difficulté particulière.
Concernant les embases HP ETI, malheureusement une erreur sur le diamètre de perçage dans la description chez Audiophonics a fait que les embases ne rentraient pas dans les trous du châssis. Le choix d'embases HP qualitatives étant réduit en combinant les différents paramètres (diamètre, longueur derrière la face arrière / radiateur, matériau cuivre), j'ai finalement choisi de les garder et de repercer les trous du châssis ; j'aurais préféré éviter cette intervention, mais finalement ça s'est bien passé.
Comme à chaque modification de ce genre, la période du rodage est faite de montagnes russes : début bouché, suivi quelques heures plus tard d'un haut médium/aigu désagréable avec quasi de la distorsion, puis au bout d'une vingtaine d'heures, un déséquilibre avec un haut médium mis en avant, qui mange l'assise de la musique. Et ensuite ça reste comme ça (ça parait durer durer...) jusqu'aux environs de 80 heures où ça se décide enfin à s'ouvrir complètement.
Par ailleurs, il me fallait un bon câble secteur pour cet ampli et voilà que je vois l'annonce de Nicoben pour un ifi Audio Nova qui semblait bien pensé sur le papier. Suite à des essais comparatifs avec un FaDièse et un WhyNot Power2, le Nova est le plus équilibré et fluide avec un léger surcroit de transparence. Il est donc resté.
Et depuis hier, changement des tubes 6922 d'origine (Sovtek) de 2010 par des 6N23P-EV NOS-NIB appairés (voir les bonnes mesures sur les boites vs les specs : 15 mA et 12,5 mA/V), très belle restitution
Le résultat, après 90 h de rodage (pas encore terminé, encore une centaine d'heures je pense) est très convaincant, ça me plait bien. Gain net dans le haut du spectre, en extension, transparence et incarnation. Des belles inflexions et de la richesse harmonique. Sans exagérer, je trouve que l'ampli a changé de catégorie.
J'attends encore les adaptateurs de filetage M6 > M8 pour pouvoir monter les PEL Trilogue sur les Superspikes M6 que j'ai en stock.
J'ai reçu la télécommande de chez Audio Analogue, pas donnée pour une télécommande plastique, mais c'est quand même bien pratique. Et en plus, elle est indispensable pour gérer certains paramètres de l'ampli comme la balance par exemple.
En revanche, j'aurais bien voulu la cloner, mais pas réussi à le faire avec une Seki que j'ai déjà utilisé à plusieurs reprises avec succès : l'apprentissage semble bien se faire (séquences lumineuses comme sur le mode d'emploi), mais la clone n'est pas reconnue par l'ampli, étonnant. Audio Analogue semble utiliser des séquences de codes IR bien particuliers : j'avais essayé avec plusieurs télécommandes (Sony, Teac, Philips, Oppo) et une dite universelle avec une bibliothèque de plus de 150 codes, rien n'y avait fait.
Auriez-vous une idée ?
Ensuite, un peu plus important : sur la base d'informations trouvées sur un forum en Italie, j'ai procédé à quelques modifications internes de l'ampli Verdi Cento. Ça fait partie des évolutions proposées par la marque AirTech créée par Claudio Bertini (co-fondateur d’Audio Analogue) en 2013. Ils proposent d'ailleurs toujours l'upgrade du Verdi Cento qui comprend également le changement de la carte préampli pour accepter d'autres tubes (ECC88), pour 1.250 €.
Donc : démontage du châssis pour pouvoir accéder à la carte principale. Le gros transfo torique ne simplifie pas la tâche (je n'ai pas voulu dessouder tous les fils - nombreux - du primaire et des secondaires, il m'a donc fallu faire avec et jongler entre le transfo, la carte, le fer à souder, la soudure.... Au menu : changement des embases HP (ETI BP-20C Cuivre pur plaqué or, j'y reviendrai plus loin), des fils de raccordement entre les embases HP et la carte (Neotech SOCT-14 Cuivre monobrin AWG14) et des condensateurs de liaisons (Mundorf MCAP Evo Oil 2,2 uF).
Puis remontage du châssis, très bien pensé, sans difficulté particulière.
Concernant les embases HP ETI, malheureusement une erreur sur le diamètre de perçage dans la description chez Audiophonics a fait que les embases ne rentraient pas dans les trous du châssis. Le choix d'embases HP qualitatives étant réduit en combinant les différents paramètres (diamètre, longueur derrière la face arrière / radiateur, matériau cuivre), j'ai finalement choisi de les garder et de repercer les trous du châssis ; j'aurais préféré éviter cette intervention, mais finalement ça s'est bien passé.
Comme à chaque modification de ce genre, la période du rodage est faite de montagnes russes : début bouché, suivi quelques heures plus tard d'un haut médium/aigu désagréable avec quasi de la distorsion, puis au bout d'une vingtaine d'heures, un déséquilibre avec un haut médium mis en avant, qui mange l'assise de la musique. Et ensuite ça reste comme ça (ça parait durer durer...) jusqu'aux environs de 80 heures où ça se décide enfin à s'ouvrir complètement.
Par ailleurs, il me fallait un bon câble secteur pour cet ampli et voilà que je vois l'annonce de Nicoben pour un ifi Audio Nova qui semblait bien pensé sur le papier. Suite à des essais comparatifs avec un FaDièse et un WhyNot Power2, le Nova est le plus équilibré et fluide avec un léger surcroit de transparence. Il est donc resté.
Et depuis hier, changement des tubes 6922 d'origine (Sovtek) de 2010 par des 6N23P-EV NOS-NIB appairés (voir les bonnes mesures sur les boites vs les specs : 15 mA et 12,5 mA/V), très belle restitution
Le résultat, après 90 h de rodage (pas encore terminé, encore une centaine d'heures je pense) est très convaincant, ça me plait bien. Gain net dans le haut du spectre, en extension, transparence et incarnation. Des belles inflexions et de la richesse harmonique. Sans exagérer, je trouve que l'ampli a changé de catégorie.
J'attends encore les adaptateurs de filetage M6 > M8 pour pouvoir monter les PEL Trilogue sur les Superspikes M6 que j'ai en stock.
S1 : Teac UD701N > Brinkmann Intégré > PeLéon Caprice
S2 : En construction pour fin 2025 (source démat à définir > Audio Analogue Verdi Cento+ > PeLéon Trilogue+)
A vendre : 3 tubes 6B4G black bottle, 2 paires de 6SN7, tuner Sansui TU-717
S2 : En construction pour fin 2025 (source démat à définir > Audio Analogue Verdi Cento+ > PeLéon Trilogue+)
A vendre : 3 tubes 6B4G black bottle, 2 paires de 6SN7, tuner Sansui TU-717