02-11-2016, 07:54 PM
Après les hommages successifs et obligatoires à Lemmy (voisin excédé niveau 4/5 sur l'échelle emmerdatoire en vigueur dans les environs de mon salon soit jet de prospectus enflammés de sa part, appel à la maréchaussée et j'en passe), Pierre Boulez (3/5, peu de boulons lancés, un signe de tête en guise de bonjour) et David Bowie (1/5, le voisin retrouve la parole et s'encanaille drôlement en osant une remarque concernant le fait "qu'y'a pu d'saison" (trois siècles après Vivaldi, faut oser... (en même temps le voisin à une tête à penser que "le quattro staggioni" est une pizza))), il est temps de célébrer les vivants et donc de se réjouir qu'un grand monsieur comme Charles Lloyd soit encore de ce monde et sorte ce magnifique Wild Man Dance chez Blue Note :
Un live dans le plus pur style "post-modal-spiritual-indian-coltranifiant" (?!?) où la musique semble reliée directement à l'âme de son interprète et où l'espace laissé aux accompagnateurs est suffisamment important pour que l'on puisse savourer un stupéfiant batteur qui doit être un peu fan d'Elvin.
Pour info, cette pépite existe en 24/96
ps : cet album bénéficie en outre d'un niveau emmerdatoire peu élevé et saura protéger vos relations de bon voisinage.
Un live dans le plus pur style "post-modal-spiritual-indian-coltranifiant" (?!?) où la musique semble reliée directement à l'âme de son interprète et où l'espace laissé aux accompagnateurs est suffisamment important pour que l'on puisse savourer un stupéfiant batteur qui doit être un peu fan d'Elvin.
Pour info, cette pépite existe en 24/96
ps : cet album bénéficie en outre d'un niveau emmerdatoire peu élevé et saura protéger vos relations de bon voisinage.