09-11-2021, 07:17 PM
Afin de mieux situer le contexte de ce test, il s’agissait essentiellement pour moi de comparer le MK3 avec le SFD1, ce dans l’hypothèse d’un éventuel remplacement de ce dernier.
Disposant temporairement du SDA6 il m’a semblé intéressant de le rajouter au test, d’autant qu’il est très bien noté aux mesures et très apprécié par plusieurs audiophiles du forum, sa présence servant par ailleurs de repère pour situer le niveau de qualité des autres appareils.
Lorsque j’ai indiqué que le SD6 est dans le même registre que le D70, j’aurai du plutôt préciser même signature sonore type dac moderne, sans préjuger d’une hiérarchie entre les deux.
Dans le même cadre le Denafrips Terminator et autres AGD que j’ai possédés s’inscrivent aussi dans ce type de restitution tout ayant chacun leur spécificité.
L’achat du SFD1 a fait évoluer mes critères d’appréciation des dac, je suis beaucoup attentif à la qualité musicale globale qu’à la recherche de performances techniques.
Certains dac anciens limités au 16/44 sonnent mieux à mes oreilles que de nombreux dac récents offrant des possibilités de suréchantillonnages bien supérieures.
Au sujet du format de lecture il s’agit d’un paramètre parmi d’autres quant au résultat sonore, la qualité de l’étage de sortie étant à mon sens davantage déterminante.
Ceci étant ce n’est que mon avis et mes attentes personnelles.
Cette après midi nous avons réalisés d’autres tests pour vérifier nos précédents ressentis, Pascal alias PJmusique33 s’est joint à nous pour ces écoutes.
Nous avons d’abord reproduit les tests précédents en spdif avec les mêmes conclusions.
Ensuite nous avons connectés le MK3 et le SDA6 en usb, d’abord avec un cable usb no name, puis avec un cable usb haut de gamme Shunyata Alpha (>1000€), à l’évidence pas photo entre les deux, le Shunyata permettant une bien meilleure expression.
Le MK3 a montré ses limites en usb, notamment scène sonore rétrécie, timbres moins riches, limites durs, en tous cas nettement moins musical qu’en spdif.
A l’inverse le SDA6 s’est avéré plus intéressant en usb qu’en spdif, la musique était plus pleine et davantage extravertie.
En repassant le MK3 en spdif le résultat était meilleur qu’avec le SDA6 qui malgré ses qualités reste dans une signature "hifi", moins naturelle.
Le cable usb était connecté sur un port usb de la carte mère du serveur, l’utilisation d’une carte usb audiophile aurait été bénéfique mais nous n’en disposions pas.
En spdif la musique provenait de la carte Engineered alimentée par un module alim Sean Jacobs dédié, les conditions étaient donc plus abouties et favorables.
Disposant temporairement du SDA6 il m’a semblé intéressant de le rajouter au test, d’autant qu’il est très bien noté aux mesures et très apprécié par plusieurs audiophiles du forum, sa présence servant par ailleurs de repère pour situer le niveau de qualité des autres appareils.
Lorsque j’ai indiqué que le SD6 est dans le même registre que le D70, j’aurai du plutôt préciser même signature sonore type dac moderne, sans préjuger d’une hiérarchie entre les deux.
Dans le même cadre le Denafrips Terminator et autres AGD que j’ai possédés s’inscrivent aussi dans ce type de restitution tout ayant chacun leur spécificité.
L’achat du SFD1 a fait évoluer mes critères d’appréciation des dac, je suis beaucoup attentif à la qualité musicale globale qu’à la recherche de performances techniques.
Certains dac anciens limités au 16/44 sonnent mieux à mes oreilles que de nombreux dac récents offrant des possibilités de suréchantillonnages bien supérieures.
Au sujet du format de lecture il s’agit d’un paramètre parmi d’autres quant au résultat sonore, la qualité de l’étage de sortie étant à mon sens davantage déterminante.
Ceci étant ce n’est que mon avis et mes attentes personnelles.
Cette après midi nous avons réalisés d’autres tests pour vérifier nos précédents ressentis, Pascal alias PJmusique33 s’est joint à nous pour ces écoutes.
Nous avons d’abord reproduit les tests précédents en spdif avec les mêmes conclusions.
Ensuite nous avons connectés le MK3 et le SDA6 en usb, d’abord avec un cable usb no name, puis avec un cable usb haut de gamme Shunyata Alpha (>1000€), à l’évidence pas photo entre les deux, le Shunyata permettant une bien meilleure expression.
Le MK3 a montré ses limites en usb, notamment scène sonore rétrécie, timbres moins riches, limites durs, en tous cas nettement moins musical qu’en spdif.
A l’inverse le SDA6 s’est avéré plus intéressant en usb qu’en spdif, la musique était plus pleine et davantage extravertie.
En repassant le MK3 en spdif le résultat était meilleur qu’avec le SDA6 qui malgré ses qualités reste dans une signature "hifi", moins naturelle.
Le cable usb était connecté sur un port usb de la carte mère du serveur, l’utilisation d’une carte usb audiophile aurait été bénéfique mais nous n’en disposions pas.
En spdif la musique provenait de la carte Engineered alimentée par un module alim Sean Jacobs dédié, les conditions étaient donc plus abouties et favorables.
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