06-18-2021, 12:26 AM
Papytechnofil, Bachman, Fidermaus, merci, merci, merci, d'avoir pris une heure pour écouter cette "conférence".
Même s'il n'y avait eu qu'une seule personne à l'écouter, ce fil de discussion aura été utile à quelque chose.
Au delà et en dehors du dézinguage en règle de l'atonalisme, je pense que tout le reste, tous ceux qui aiment la musique, de quelque style que ce soit (baroque, classique, romantique, rock, pop, jazz, blues...), le savaient sans en être conscient, et c'est cela que je trouve le plus fabuleux. Réécoutez des bouts de cette conférence dans quelque temps, et vous verrez qu'on se dit "ben oui".
Quand dans cette conférence, on écoute l'impromptu de Schubert et son passage en une note de la plus grande noirceur à une douce lumière apaisée, je crois qu'il n'est besoin d'aucune connaissance musicale particulière pour ressentir quelque chose. Percevoir le génie de ce passage en termes musicaux est un +, un peu comme le making of en même temps que l'oeuvre, mais ce n'est pas indispensable.
Mozart l'a écrit en son temps, 1782.
Il manque encore deux concertos à ma souscription. Ils tiennent juste le milieu entre trop difficile et trop facile; ils sont très brillants, agréables à l'oreille, naturels, sans tomber dans la platitude; seuls les connaisseurs y trouveront satisfaction, mais de telle sorte que les non connaisseurs puissent en être contents sans savoir pourquoi.
Je ne remercierai jamais assez Mélaudiophile de m'avoir fourni quelques clés pour entrer dans l'univers du Blues il y a une dizaine d'années. Je n'en avais jamais vraiment écouté. Parfois il faut peu de choses pour être initié. A présent, les albums Original American Folk Blues Festival sont régulièrement joués.
Se laisser "balader" par le compositeur (j'ai le même sentiment avec Another one Bites the Dust de Queen où je rêve de savoir jouer de la guitare basse) demande un état mental à des années lumière de l'évaluation d'un système Hifi.
Je conçois très bien que l'immense satisfaction d'avoir réussi à mettre en place et régler un système Hifi très haut de gamme en terme de restitution devienne en soit une source d'émotion, et que son absence stérilise toute possibilité d'émotion.
Mais en toute franchise et honnêteté, c'est bien pauvre par rapport au passage de la noirceur à la lumière en une note de notre ami Schubert.
Amitiés
Même s'il n'y avait eu qu'une seule personne à l'écouter, ce fil de discussion aura été utile à quelque chose.
Au delà et en dehors du dézinguage en règle de l'atonalisme, je pense que tout le reste, tous ceux qui aiment la musique, de quelque style que ce soit (baroque, classique, romantique, rock, pop, jazz, blues...), le savaient sans en être conscient, et c'est cela que je trouve le plus fabuleux. Réécoutez des bouts de cette conférence dans quelque temps, et vous verrez qu'on se dit "ben oui".
Quand dans cette conférence, on écoute l'impromptu de Schubert et son passage en une note de la plus grande noirceur à une douce lumière apaisée, je crois qu'il n'est besoin d'aucune connaissance musicale particulière pour ressentir quelque chose. Percevoir le génie de ce passage en termes musicaux est un +, un peu comme le making of en même temps que l'oeuvre, mais ce n'est pas indispensable.
Mozart l'a écrit en son temps, 1782.
Il manque encore deux concertos à ma souscription. Ils tiennent juste le milieu entre trop difficile et trop facile; ils sont très brillants, agréables à l'oreille, naturels, sans tomber dans la platitude; seuls les connaisseurs y trouveront satisfaction, mais de telle sorte que les non connaisseurs puissent en être contents sans savoir pourquoi.
Je ne remercierai jamais assez Mélaudiophile de m'avoir fourni quelques clés pour entrer dans l'univers du Blues il y a une dizaine d'années. Je n'en avais jamais vraiment écouté. Parfois il faut peu de choses pour être initié. A présent, les albums Original American Folk Blues Festival sont régulièrement joués.
Se laisser "balader" par le compositeur (j'ai le même sentiment avec Another one Bites the Dust de Queen où je rêve de savoir jouer de la guitare basse) demande un état mental à des années lumière de l'évaluation d'un système Hifi.
Je conçois très bien que l'immense satisfaction d'avoir réussi à mettre en place et régler un système Hifi très haut de gamme en terme de restitution devienne en soit une source d'émotion, et que son absence stérilise toute possibilité d'émotion.
Mais en toute franchise et honnêteté, c'est bien pauvre par rapport au passage de la noirceur à la lumière en une note de notre ami Schubert.
Amitiés