Je te vend mon ST2 si tu veux, je ne le garde que pour mesurer et « sentir » ma future pièce, et pas de souci pour « bidouiller à la main » au delà des programmes de base, c’est accessible aux érudits de la correction active dans le Trinnov, on peut y passer ses nuits et journées d’hiver Mais quand on aime la musique, en toute franchise, ça n’a rien de fun, c’est plus un tue l’amour, mais si on aime bidouiller dans la correction numérique plus qu’écouter la musique, c’est top. De toute façon dès qu’on a mis une convolution dans la boucle, on écoute de la convolution en essayant de la rendre la plus crédible, naturelle possible, comme en retouche photographie au fond peut être
Certains pensent ou ont senti au fil du temps que la retouche aussi bonne soit elle ne peut que garder une forme d’éloignement à la sensibilité d’une prise directe fut elle imparfaite par certains aspects, un peu comme on soigne une prise de son en dsd parce que le format ne permet plus le mastering ensuite, la prise de son donnant plus l’authenticité de la musique que le format dsd lui même. Tout est compromis, mais seul le plaisir compte, d’où qu’il vienne.
Au feeling et pour avoir vécu un peu avec mes Tronnov autant que sans, la précision de la scène sonore reste à mon humble avis le point fort de la convolution, et le compromis en son absence, puisque toute pièce est perfectible et que tout choix est un compromis, autant en passif qu’en actif d’ailleurs. Puis vient le plaisir auditif, qui est plus propre à chacun, mais est facile à compromettre avec la convolution quand la pièce sonne pas trop mal, selon le système et son propriétaire. Parfois l’on doit compromettre quelques distorsions flatteuses, parfois quelques fidélité au signal d’origine capté par les micros, pour expliquer ce qui au niveau sensoriel pose la question du plaisir à l’écoute, je suppose.
Certains pensent ou ont senti au fil du temps que la retouche aussi bonne soit elle ne peut que garder une forme d’éloignement à la sensibilité d’une prise directe fut elle imparfaite par certains aspects, un peu comme on soigne une prise de son en dsd parce que le format ne permet plus le mastering ensuite, la prise de son donnant plus l’authenticité de la musique que le format dsd lui même. Tout est compromis, mais seul le plaisir compte, d’où qu’il vienne.
Au feeling et pour avoir vécu un peu avec mes Tronnov autant que sans, la précision de la scène sonore reste à mon humble avis le point fort de la convolution, et le compromis en son absence, puisque toute pièce est perfectible et que tout choix est un compromis, autant en passif qu’en actif d’ailleurs. Puis vient le plaisir auditif, qui est plus propre à chacun, mais est facile à compromettre avec la convolution quand la pièce sonne pas trop mal, selon le système et son propriétaire. Parfois l’on doit compromettre quelques distorsions flatteuses, parfois quelques fidélité au signal d’origine capté par les micros, pour expliquer ce qui au niveau sensoriel pose la question du plaisir à l’écoute, je suppose.
Du transistor, du tube, de l’hybride…. Des petites, des grosses…. Tout démat.
Ventes à venir ou en cours (MP si intéressé pour en discuter): panneaux acoustiques GIK, Modulation RCA 1877Phono Silverdart, Cables HP Coincident Statement bicablage 3m, Enceintes Scanspeak Maxima, Ayon Odin, Kinki EX-M7
Ventes à venir ou en cours (MP si intéressé pour en discuter): panneaux acoustiques GIK, Modulation RCA 1877Phono Silverdart, Cables HP Coincident Statement bicablage 3m, Enceintes Scanspeak Maxima, Ayon Odin, Kinki EX-M7