Merci Nicolas pour ce retour avec tes impressions d’écoute. Au delà du plaisir de partager un bon moment entre voisins passionnés de musique et de hi-fi, cette visite de ta part, avec ta source, a été un "ear opener" pour moi.
Elle m’a en particulier permis de mesurer que les choix que j’avais faits en matière de réglages de mon système étaient optimisés pour la musique que j’écoute, essentiellement acoustique, et l’étaient moins pour de la musique amplifiée.
Parmi ces choix, et nous en avons déjà parlé dans ce fil, figure celui de la correction numérique de la pièce. D’autres choix ont été fait dans la même quête de justesse des timbres: le choix du format d’upsampling dans HQPlayer (DSD512 avec AMSDM7-512+fs comme modulateur) et celui du format de communication entre Server et Target (Sync-low) dans Diretta.
Un quatrième choix, de pure commodité, a été fait d’utiliser le volume numérique de HQPlayer, en 64bits, qui me parait facile car télé-commandable depuis n’importe où dans la maison par tablette ou téléphone portable.
Après ton départ, j’ai commencé par supprimer la correction numérique de pièce et me suis aperçu que je pouvais vivre sans… et que cette absence de correction rendait la musique plus vivante en effet.
J’ai remis ensuite le format d’upsampling de HQPlayer à DSD256 avec le modulateur EC dont Jussi Laako est si fier, et aussi la communication dans Diretta à "Sync".
La musique gagne incontestablement en micro-dynamique. En particulier, le coté “SLAM” des percussions sur AC/DC gagne en réalisme avec le modulateur EC de HQPlayer. Par ailleurs, le changement de réglage dans Diretta augmente la sensation de vibrations viscérales notamment sur les cordes (basses par exemple, et aussi par conséquent sur les contre-basses et les violoncelles)…
Est-ce suffisant pour être au niveau du Dave et de m-sampler ? Il faudrait sans doute une autre écoute comparative pour en juger.
Je garde néanmoins comme aspects positifs de cette visite le fait que la dynamique de l’amplification ne t’a pas choquée, et que la double amplification Benchmark-boXem suffit pour mettre les B&W en mouvement et en tenir les membranes dans le grave, sans avoir à rougir, même sur de la musique amplifiée. Cela me parait être un point important de cette approche “objectiviste”: pouvoir se satisfaire d’une amplification raisonnable sans concession sur le niveau de transparence et le réalisme de la restitution.
Une chose que nous n’avons pas testée est l’influence de l’horloge de précision. Au cours de mes échanges avec Patatras, je lui confiais que je trouvais cette influence moins grande à la faveur de la mise en oeuvre de Diretta. En particulier, avec le réglage sur “Sync”, il me semble que le niveau de matière qui est disponible est très largement suffisant pour se passer d’une horloge. Encore faut-il mettre en oeuvre Diretta, ce qui est presque aussi onéreux lorsque l’on compte les ordinateurs impliqués.
Prochaine étape: la recherche d’une solution élégante qui permette d’amortir les basses dans la zône 30-100 Hz. Tonton Flingueur m’a donné une piste que je suis en train d’investiguer. A suivre
Elle m’a en particulier permis de mesurer que les choix que j’avais faits en matière de réglages de mon système étaient optimisés pour la musique que j’écoute, essentiellement acoustique, et l’étaient moins pour de la musique amplifiée.
Parmi ces choix, et nous en avons déjà parlé dans ce fil, figure celui de la correction numérique de la pièce. D’autres choix ont été fait dans la même quête de justesse des timbres: le choix du format d’upsampling dans HQPlayer (DSD512 avec AMSDM7-512+fs comme modulateur) et celui du format de communication entre Server et Target (Sync-low) dans Diretta.
Un quatrième choix, de pure commodité, a été fait d’utiliser le volume numérique de HQPlayer, en 64bits, qui me parait facile car télé-commandable depuis n’importe où dans la maison par tablette ou téléphone portable.
Après ton départ, j’ai commencé par supprimer la correction numérique de pièce et me suis aperçu que je pouvais vivre sans… et que cette absence de correction rendait la musique plus vivante en effet.
J’ai remis ensuite le format d’upsampling de HQPlayer à DSD256 avec le modulateur EC dont Jussi Laako est si fier, et aussi la communication dans Diretta à "Sync".
La musique gagne incontestablement en micro-dynamique. En particulier, le coté “SLAM” des percussions sur AC/DC gagne en réalisme avec le modulateur EC de HQPlayer. Par ailleurs, le changement de réglage dans Diretta augmente la sensation de vibrations viscérales notamment sur les cordes (basses par exemple, et aussi par conséquent sur les contre-basses et les violoncelles)…
Est-ce suffisant pour être au niveau du Dave et de m-sampler ? Il faudrait sans doute une autre écoute comparative pour en juger.
Je garde néanmoins comme aspects positifs de cette visite le fait que la dynamique de l’amplification ne t’a pas choquée, et que la double amplification Benchmark-boXem suffit pour mettre les B&W en mouvement et en tenir les membranes dans le grave, sans avoir à rougir, même sur de la musique amplifiée. Cela me parait être un point important de cette approche “objectiviste”: pouvoir se satisfaire d’une amplification raisonnable sans concession sur le niveau de transparence et le réalisme de la restitution.
Une chose que nous n’avons pas testée est l’influence de l’horloge de précision. Au cours de mes échanges avec Patatras, je lui confiais que je trouvais cette influence moins grande à la faveur de la mise en oeuvre de Diretta. En particulier, avec le réglage sur “Sync”, il me semble que le niveau de matière qui est disponible est très largement suffisant pour se passer d’une horloge. Encore faut-il mettre en oeuvre Diretta, ce qui est presque aussi onéreux lorsque l’on compte les ordinateurs impliqués.
Prochaine étape: la recherche d’une solution élégante qui permette d’amortir les basses dans la zône 30-100 Hz. Tonton Flingueur m’a donné une piste que je suis en train d’investiguer. A suivre