10-22-2020, 12:09 PM
C'est vrai que l'attrait d'un systeme performant et compact est réel, c'est une piste que j'ai essayé de suivre avec un Golmund metis 7, un Innuos Zenith et des enceintes grand cru audio horizon. Juste deux électroniques avec quelques bons cables HP, secteurs et USB (mais qui ont une influence énorme). J'avais aussi expérimenté les enceintes amplifiées PSI Audio qui sont une autre piste pour simplifier un systeme.
Avec un "tout en un", estimer a l'avance jusqu’où le systeme sera capable d'aller est une veritable gageure
Par ailleurs, plus le systeme est discriminant (et pas forcement plus cher), plus des optimisations quasiment inaudibles sur un autre systeme, deviennent influentes et importantes (salle, filtre secteur, lignes dédiées, découplage, etc.)
Donc, même un systeme "simplifié" devra être optimisé avec soin pour en tirer le meilleur.
Évidemment, il y a beaucoup de voies et de possibilités pour optimiser un systeme, a condition de mettre de coté ses aprioris et de faire sérieusement des écoutes comparatives. Je ne compte plus les "fameux" coups de buzz qui se sont dégonflés a l’épreuve de la réalité face a des solutions soi-disant "dépassés". Ainsi que des "certitudes" qui se sont avérés fort discutables (la soi-disante supériorité d'enceintes de monitoring réputées par exemple)
Mais pour revenir au sujet, déterminer la "part du dac" dans un systeme me semble donc délicat, tout dépendra du reste pour que ce maillon puisse s'exprimer (ou plutot s'effacer) au mieux.
Par exemple, j'ai eu l'occasion de faire des écoutes du Weiss 202 assez insignifiantes et d'autres impressionnantes de réalisme, c'est la définition même de la transparence pour moi. Des appareils qui s'effacent et révèlent avec acuité les défauts ou les caractéristiques des autres maillons.
Ce n'est pas forcement évident, voir meme contre-intuitif au premier abord, mais lors d'un test d'un nouveau dac, si on note une plus grande profondeur de scene et des silences, un réalisme globalement accru, mais que des duretés gênantes subsistent, il y a de fortes chances pour que le dac n'en soit pas la cause, juste le revelateur.
Avec un "tout en un", estimer a l'avance jusqu’où le systeme sera capable d'aller est une veritable gageure
Par ailleurs, plus le systeme est discriminant (et pas forcement plus cher), plus des optimisations quasiment inaudibles sur un autre systeme, deviennent influentes et importantes (salle, filtre secteur, lignes dédiées, découplage, etc.)
Donc, même un systeme "simplifié" devra être optimisé avec soin pour en tirer le meilleur.
Évidemment, il y a beaucoup de voies et de possibilités pour optimiser un systeme, a condition de mettre de coté ses aprioris et de faire sérieusement des écoutes comparatives. Je ne compte plus les "fameux" coups de buzz qui se sont dégonflés a l’épreuve de la réalité face a des solutions soi-disant "dépassés". Ainsi que des "certitudes" qui se sont avérés fort discutables (la soi-disante supériorité d'enceintes de monitoring réputées par exemple)
Mais pour revenir au sujet, déterminer la "part du dac" dans un systeme me semble donc délicat, tout dépendra du reste pour que ce maillon puisse s'exprimer (ou plutot s'effacer) au mieux.
Par exemple, j'ai eu l'occasion de faire des écoutes du Weiss 202 assez insignifiantes et d'autres impressionnantes de réalisme, c'est la définition même de la transparence pour moi. Des appareils qui s'effacent et révèlent avec acuité les défauts ou les caractéristiques des autres maillons.
Ce n'est pas forcement évident, voir meme contre-intuitif au premier abord, mais lors d'un test d'un nouveau dac, si on note une plus grande profondeur de scene et des silences, un réalisme globalement accru, mais que des duretés gênantes subsistent, il y a de fortes chances pour que le dac n'en soit pas la cause, juste le revelateur.