09-13-2020, 07:19 AM
@coolsound
la radio existe toujours, la SACEM existe toujours, le GUSO toujours et les artistes savent que le revenu est proportionnel au travail.
Ok l'age d'or du disque est derrière, mais l'industrie de la musique continue de tourner et a rattrapé son niveau des années 2000, le streaming étant maintenant à 50% des revenus de cette industrie.
Un auteur compositeur touche toujours, un interprète... pas grand chose.... comme avant.
La triche des Tidal sur les écoutes de disque ne date pas d'aujourd'hui, les maisons de disque faisaient pareil.
Il suffit de regarder les chiffres de ventes de Tino Rossi pour "petit papa noël" pour s'en convaincre.
Bref, ça va plutôt pas mal pour l'industrie de la musique au global, toujours bien pour les auteurs et pour les interprètes, là c'est variable... en ce moment avec la COVID c'est difficile, la course au cacheton n'est pas aisée...
L'autre jour je discutais avec le chanteur d'un groupe qui a eu son succès dans les années 80. Peut-être 4 titres au Top 50 dont un bien placé. Lui n'est qu'interprète... pourtant c'est l'identité du groupe, il n'a pas son nom comme auteur ou compositeur et ça change tout. Alors il touche de temps en temps un petit truc, mais il doit bosser à mort. Pour les autres... ils touchent plus.
Un truc qui me marque : s'il y a 10-20 ans on était dans la musique "jetable" ça semble moins vrai maintenant. On n'a peut-être pas les goûts pour ce qui sort, mais il y a un retour aux interprètes "durables". Dans les jetable tu avais quelques auteurs qui écrivaient pour chaque clampin qui émergeait (ou qui était fabriqué), là il se pourrait que ça revienne vers une forme d'authenticité. Certes pas beaucoup de scènes en ce moment, mais ça fait aussi partie du jeu.
la radio existe toujours, la SACEM existe toujours, le GUSO toujours et les artistes savent que le revenu est proportionnel au travail.
Ok l'age d'or du disque est derrière, mais l'industrie de la musique continue de tourner et a rattrapé son niveau des années 2000, le streaming étant maintenant à 50% des revenus de cette industrie.
Un auteur compositeur touche toujours, un interprète... pas grand chose.... comme avant.
La triche des Tidal sur les écoutes de disque ne date pas d'aujourd'hui, les maisons de disque faisaient pareil.
Il suffit de regarder les chiffres de ventes de Tino Rossi pour "petit papa noël" pour s'en convaincre.
Bref, ça va plutôt pas mal pour l'industrie de la musique au global, toujours bien pour les auteurs et pour les interprètes, là c'est variable... en ce moment avec la COVID c'est difficile, la course au cacheton n'est pas aisée...
L'autre jour je discutais avec le chanteur d'un groupe qui a eu son succès dans les années 80. Peut-être 4 titres au Top 50 dont un bien placé. Lui n'est qu'interprète... pourtant c'est l'identité du groupe, il n'a pas son nom comme auteur ou compositeur et ça change tout. Alors il touche de temps en temps un petit truc, mais il doit bosser à mort. Pour les autres... ils touchent plus.
Un truc qui me marque : s'il y a 10-20 ans on était dans la musique "jetable" ça semble moins vrai maintenant. On n'a peut-être pas les goûts pour ce qui sort, mais il y a un retour aux interprètes "durables". Dans les jetable tu avais quelques auteurs qui écrivaient pour chaque clampin qui émergeait (ou qui était fabriqué), là il se pourrait que ça revienne vers une forme d'authenticité. Certes pas beaucoup de scènes en ce moment, mais ça fait aussi partie du jeu.
En analogik' : Mange-disque Fisher-Price, bras Mentonb, cellule Crado scotchée 3
En démat' iPhone double sim SD Wish, Alim semi régulée compacte 5V 2A AmazonBasic, câble USB rose Boulanger
Enceinte Ikea Symfonisk, découplage feutre Castorama, ampoule variable
Cables secteur 220v, prises Legrand Mosaic, pots ElectoDepot (moins de bruit que les Akrapovic)
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