07-08-2020, 10:49 AM
Petoin dit en effet qu’il ne faut pas depasser 1 sur Q mais avec une telle contrainte on ne peut pas corriger les modes d’une pièce normale, où les pics d’amplitude sont très marqués.
Personnellement, je n’ai jamais vu le moindre impact à utiliser des Q bien plus élevés (8 et au delà si besoin était) dans le grave uniquement bien entendu, et avec parcimonie car il convient de traiter au strict minimum.
Par contre, je ne suis pas favorable à l’utilisation d’une correction pour l’obtention d’une pente car toutes les corrections numériques au delà du grave me semblent destructrices (et donc audibles) même avec un Q<1, et bien sûr, il ne faut surtout pas corriger le moindre pic en dehors du grave car contrairement au grave, la mesure varie considérablement d’un point à un autre dans l’aigu.
D’ailleurs, lorsqu’on fait la moyenne des 9 mesures, on se rend compte (sauf problème sérieux avec les enceintes ou le local) que la réponse au delà de 200-300Hz est peu accidentée.
Et avec un RT60 stable sur l’ensemble du spectre (100-20000Hz) et pas trop élevé (fonction du volume de la pièce), et des enceintes correctes, on obtient naturellement la bonne pente sans besoin de la moindre correction numérique au delà du grave.
Et de plus, je reste très réservé sur le rapport bénéfice/perte de la correction de la phase. Il est clair qu’avoir une phase parfaite (visible sur le STEP) donc avec des HPs bien alignés temporellement, est un plus en théorie, mais suivant comment on y arrive, on peut avoir plus d’inconvénients que d’avantages.
Je recommande aujourd’hui de commencer par corriger l’amplitude dans le grave uniquement et avec modération (RePhase est idéal pour cela) et une fois cela optimisé de regarder le sujet de la phase afin de juger si c’est bénéfique ou néfaste.
En résumé, je ne suis pas vraiment d’accord avec les recommendations de notre ami Pétoin sur ce sujet, mais chacun est libre d’experimenter.
Personnellement, je n’ai jamais vu le moindre impact à utiliser des Q bien plus élevés (8 et au delà si besoin était) dans le grave uniquement bien entendu, et avec parcimonie car il convient de traiter au strict minimum.
Par contre, je ne suis pas favorable à l’utilisation d’une correction pour l’obtention d’une pente car toutes les corrections numériques au delà du grave me semblent destructrices (et donc audibles) même avec un Q<1, et bien sûr, il ne faut surtout pas corriger le moindre pic en dehors du grave car contrairement au grave, la mesure varie considérablement d’un point à un autre dans l’aigu.
D’ailleurs, lorsqu’on fait la moyenne des 9 mesures, on se rend compte (sauf problème sérieux avec les enceintes ou le local) que la réponse au delà de 200-300Hz est peu accidentée.
Et avec un RT60 stable sur l’ensemble du spectre (100-20000Hz) et pas trop élevé (fonction du volume de la pièce), et des enceintes correctes, on obtient naturellement la bonne pente sans besoin de la moindre correction numérique au delà du grave.
Et de plus, je reste très réservé sur le rapport bénéfice/perte de la correction de la phase. Il est clair qu’avoir une phase parfaite (visible sur le STEP) donc avec des HPs bien alignés temporellement, est un plus en théorie, mais suivant comment on y arrive, on peut avoir plus d’inconvénients que d’avantages.
Je recommande aujourd’hui de commencer par corriger l’amplitude dans le grave uniquement et avec modération (RePhase est idéal pour cela) et une fois cela optimisé de regarder le sujet de la phase afin de juger si c’est bénéfique ou néfaste.
En résumé, je ne suis pas vraiment d’accord avec les recommendations de notre ami Pétoin sur ce sujet, mais chacun est libre d’experimenter.