D'accord avec vous deux. Il me semblait néanmoins important d'attirer notre attention sur ce sujet.
Sur le sujet de la calibration, il serait intéressant d'échanger nos fichiers de calibration, pour voir si celle-ci n'est pas faite par lot ou par type de micro plutôt que par numéro de série comme veulent nous le faire croire les fabricants. Compte tenu du prix de vente d'un tel micro, on peut se poser la question me semble-t-il.
Un autre point qui mérite attention est de prendre conscience qu'un micro USB tel que nous l'utilisons est en fait un capteur qui transforme une différence de pression acoustique en signal électrique comme n'importe quel micro, auquel on a adjoint, dans un volume extrêmement petit, un convertisseur analogique-digital, pour le brancher directement sur le port USB d'un ordinateur.
C'est donc un concentré de technologie, dans la conception duquel on a vraisemblablement fait des compromis. L'un de ces compromis est le rapport signal/bruit qui n'est guère supérieur à 70db et donc très inférieur aux rapports signal/bruit de nos systèmes. Rien d'embêtant me semble-t-il, sauf si on se met à essayer de mesurer des distorsions. Car celles-ci se situant souvent à -50db/-60db par rapport signal, on n'est plus trop loin des seuils de signification des mesures.
Enfin, un sujet qu'il m'intéresserait de creuser avec vous tous est la nature et le seuil de signification des mesures des composants de nos systèmes, tels qu'ils sont affichés ou documentés par les fabricants.
On observe par exemple que la communication de
Tous prétendent gérer le jitter de façon astucieuse mais personne n'en donne de mesure.
Alors, outre ses oreilles, qui confirment aisément que les DAC Totaldac sont une véritable magie de musicalité et de naturel, quelles sont les mesures intéressantes et adaptées et quels sont les ordres de grandeur significatifs pour juger des composants de nos systèmes ?
Sur le sujet de la calibration, il serait intéressant d'échanger nos fichiers de calibration, pour voir si celle-ci n'est pas faite par lot ou par type de micro plutôt que par numéro de série comme veulent nous le faire croire les fabricants. Compte tenu du prix de vente d'un tel micro, on peut se poser la question me semble-t-il.
Un autre point qui mérite attention est de prendre conscience qu'un micro USB tel que nous l'utilisons est en fait un capteur qui transforme une différence de pression acoustique en signal électrique comme n'importe quel micro, auquel on a adjoint, dans un volume extrêmement petit, un convertisseur analogique-digital, pour le brancher directement sur le port USB d'un ordinateur.
C'est donc un concentré de technologie, dans la conception duquel on a vraisemblablement fait des compromis. L'un de ces compromis est le rapport signal/bruit qui n'est guère supérieur à 70db et donc très inférieur aux rapports signal/bruit de nos systèmes. Rien d'embêtant me semble-t-il, sauf si on se met à essayer de mesurer des distorsions. Car celles-ci se situant souvent à -50db/-60db par rapport signal, on n'est plus trop loin des seuils de signification des mesures.
Enfin, un sujet qu'il m'intéresserait de creuser avec vous tous est la nature et le seuil de signification des mesures des composants de nos systèmes, tels qu'ils sont affichés ou documentés par les fabricants.
On observe par exemple que la communication de
- Devialet est très orientée sur le rapport signal/bruit (-133db) et le niveau de distorsion de ses amplis/dac (0.00025%)
- TotalDac est essentiellement orientée vers le rapport signal/bruit des DAC, avec des niveaux impressionnants (-160db pour le d1-six vs -155db pour le d1-dual)
Tous prétendent gérer le jitter de façon astucieuse mais personne n'en donne de mesure.
Alors, outre ses oreilles, qui confirment aisément que les DAC Totaldac sont une véritable magie de musicalité et de naturel, quelles sont les mesures intéressantes et adaptées et quels sont les ordres de grandeur significatifs pour juger des composants de nos systèmes ?