Salut les amis,
Je vous un retour sur cette belle journée de partage et d’écoute avec mon ami David.
Rien à vendre, rien à justifier, rien à prouver, même pas à convaincre ...juste un partage sans prétention .
écoute des Lemda avec ayon sans pre amp mastersound.
La première impression est que cela joue remarquablement et qu’il y a de la vie . Je sens une libération et une fluidité de la musique, c’est très agréable, tout est posé, pas de tension dans le haut, un bel équilibre . Dans les premières minutes d’écoutes, quand on s’installe on est séduit . une fois posé devant la scène, on ressent un plan assez large mais qui manque un peu de profondeur . Une sorte de rideau musical qui prend bien sa place mais qui nivelle parfaitement les plans sans la profondeur . Principalement sur les voix qui semblent avoir du corps mais qui en fait sont très larges d’où cette impression de présence. Pour le coup, on est vite séduit par l’équilibre global, mais on ressent vite un effet légèrement brouillon, un manque de précision et de tenue de l’ensemble dans le bas et le médium . Pas de déséquilibre notable mais un peu comme si on balance toute la masse orchestrale qui pour le coup nous sort de l’émotionnel propre à une écoute non intellectualisée .
écoute des Lemda avec ayon plus pre amp mastersound.
Pas de doutes possible, la différence est notable et évidente .
On retrouve de suite une tenue de l’ensemble et les détails resurgissent comme par magie ! C’est impressionnant comme les balais sur la peau de caisse clair de Baby just cares réapparaissent !! On retrouve des charges impulsionnelles qui redonnent de la dynamique à la musique . Je ne dirais pas de la vie mais de la structure .
On contre partie, on s’aperçoit très vite aussi , sans être dans une écoute analytique, que l’on a perdu de la vie par rapport à l’écoute précédente on se retrouve en back on time permanent ce qui sur certains morceaux met en valeur une assise rythmique mais qui rend aussi un aspect traînant un peu fatiguant à la longue ...les Lemda restituent parfaitement toutes ces nuance cadencées par l’électronique . Le potentiel est grand et l’on s’aperçoit vite que tous les éléments audios ont une importance capitale sur la manière dont les enceintes réagissent et restituent le message sonore . La musicalité est toujours présente mais l’impact émotionnel est fragile lors d’une écoute posée .
écoute des Lemda avec audiomat Tempo 2.8 plus pre amp mastersound.
Après environ 1h de chauffe , on se pose pour l’écoute, il se passe quelque chose, déroutant dans un premier temps, le cerveau est perturbé car la mémoire auditive même très volatile doit se réadapter a autant de simplicité dans le message ! Ç est comme changer de lunette ;-) le cerveau doit retrouver ses marques pour mieux apprécier la richesse du message ! C’est là que l’on s’aperçoit que les Lemda sont plus qu’une paire d’ enceinte, c’est un instrument qui réagit vivement au musicien (l’électronique )qui se trouve en amont . Au début on se dit qu’il manque un peu de corps aux voix, puis très vite on se laisse emporter par une musicalité hors norme . Une simplicité riche, analogique, vivante où la charge émotionnelle prend immédiatement le dessus sur l’analytique ! En analogie à la couleur nous ne somme pas du tout dans la même « vibrance » il y a de la pureté avec une richesse exceptionnelle. Pas d’esbroufe , on retrouve le meilleur des deux mondes de nos essais précédents ! Une libération, une aération, de la sensibilité avec beaucoup de précisions et de détails amenés avec tact à nos oreilles, du rythme, une dynamique incroyable . C’est reposant et nourrissant à la fois . Les Lemda dévoilent une magie qui font qu’on oublie totalement les enceintes devant nous . Les plans scéniques sont étalés sur 3 dimensions avec subtilité sans en rajouter , les voix ont retrouvées une dimension propre à leur taille et les musiciens retrouvent leur place . La scène est passée en arrière plan des enceintes mais sans exagération, là encore , sans en rajouter. Cette transparence du message permet aussi de voir les petits accidents de courbe de réponse de l’enceinte mais qui pour le coup deviennent flatteurs et magnifies certains morceaux. L’audiomat n’en rajoute pas dans le bas ce qui permet de mieux maîtriser un bas médium et le grave quelques fois envahissant lors de nos écoutes précédentes ...c’est la meilleure proposition de la journée qui démontrent que même si l’acoustique reste à travailler, les enceintes demontrent rapidement leur potentiel proportionnellement à la qualité de l’électronique qui les accompagne.
écoute des Lemda avec audiomat Tempo 2.8 plus pre amp mastersound après changement HP Fertin
Dès la première écoute, à froid, sans rodage , c’est phénoménal !! La musique est là, vivante, expressive, dynamique, scénique, légères, subtile, le cerveau se déconnecte pour laisser place au plaisir qui va bien au déla de l’écoute . Cela donne de la joie, on a envie de sourire, de partager ce moment avec les personnes qui vous sont chères . Tous les petits défauts ou accidents de courbes de l’écoute précédente n’existent plus ! L’ensemble est charpenté et musical pour laisser place aux musicien et à la sensibilité de l’artiste qui vous transmet une émotion indéniable.
Cette écoute est pour moi l’une des trois plus belles que j’ai réalisé depuis bien longtemps !
Je n’ai volontairement pas employé tous les termes d’un audiophile ou mélomane car aucun ne peut réellement retranscrire la charge émotionnelle que procure ces écoutes
En tout cas superbe journée d’écoute et de partage d’un super moment avec mon pote !
ce post n’a peut être rien à faire dans ce fil mais si le Tempo C n’est pas moins bon voir tout aussi bon que le 2.8 , cette confrontation Ayon /Tempo a le mérite d’exister et sans couper les pines de mouche en 4 ;-) ça en dit long sur le potentiel....
Je vous un retour sur cette belle journée de partage et d’écoute avec mon ami David.
Rien à vendre, rien à justifier, rien à prouver, même pas à convaincre ...juste un partage sans prétention .
écoute des Lemda avec ayon sans pre amp mastersound.
La première impression est que cela joue remarquablement et qu’il y a de la vie . Je sens une libération et une fluidité de la musique, c’est très agréable, tout est posé, pas de tension dans le haut, un bel équilibre . Dans les premières minutes d’écoutes, quand on s’installe on est séduit . une fois posé devant la scène, on ressent un plan assez large mais qui manque un peu de profondeur . Une sorte de rideau musical qui prend bien sa place mais qui nivelle parfaitement les plans sans la profondeur . Principalement sur les voix qui semblent avoir du corps mais qui en fait sont très larges d’où cette impression de présence. Pour le coup, on est vite séduit par l’équilibre global, mais on ressent vite un effet légèrement brouillon, un manque de précision et de tenue de l’ensemble dans le bas et le médium . Pas de déséquilibre notable mais un peu comme si on balance toute la masse orchestrale qui pour le coup nous sort de l’émotionnel propre à une écoute non intellectualisée .
écoute des Lemda avec ayon plus pre amp mastersound.
Pas de doutes possible, la différence est notable et évidente .
On retrouve de suite une tenue de l’ensemble et les détails resurgissent comme par magie ! C’est impressionnant comme les balais sur la peau de caisse clair de Baby just cares réapparaissent !! On retrouve des charges impulsionnelles qui redonnent de la dynamique à la musique . Je ne dirais pas de la vie mais de la structure .
On contre partie, on s’aperçoit très vite aussi , sans être dans une écoute analytique, que l’on a perdu de la vie par rapport à l’écoute précédente on se retrouve en back on time permanent ce qui sur certains morceaux met en valeur une assise rythmique mais qui rend aussi un aspect traînant un peu fatiguant à la longue ...les Lemda restituent parfaitement toutes ces nuance cadencées par l’électronique . Le potentiel est grand et l’on s’aperçoit vite que tous les éléments audios ont une importance capitale sur la manière dont les enceintes réagissent et restituent le message sonore . La musicalité est toujours présente mais l’impact émotionnel est fragile lors d’une écoute posée .
écoute des Lemda avec audiomat Tempo 2.8 plus pre amp mastersound.
Après environ 1h de chauffe , on se pose pour l’écoute, il se passe quelque chose, déroutant dans un premier temps, le cerveau est perturbé car la mémoire auditive même très volatile doit se réadapter a autant de simplicité dans le message ! Ç est comme changer de lunette ;-) le cerveau doit retrouver ses marques pour mieux apprécier la richesse du message ! C’est là que l’on s’aperçoit que les Lemda sont plus qu’une paire d’ enceinte, c’est un instrument qui réagit vivement au musicien (l’électronique )qui se trouve en amont . Au début on se dit qu’il manque un peu de corps aux voix, puis très vite on se laisse emporter par une musicalité hors norme . Une simplicité riche, analogique, vivante où la charge émotionnelle prend immédiatement le dessus sur l’analytique ! En analogie à la couleur nous ne somme pas du tout dans la même « vibrance » il y a de la pureté avec une richesse exceptionnelle. Pas d’esbroufe , on retrouve le meilleur des deux mondes de nos essais précédents ! Une libération, une aération, de la sensibilité avec beaucoup de précisions et de détails amenés avec tact à nos oreilles, du rythme, une dynamique incroyable . C’est reposant et nourrissant à la fois . Les Lemda dévoilent une magie qui font qu’on oublie totalement les enceintes devant nous . Les plans scéniques sont étalés sur 3 dimensions avec subtilité sans en rajouter , les voix ont retrouvées une dimension propre à leur taille et les musiciens retrouvent leur place . La scène est passée en arrière plan des enceintes mais sans exagération, là encore , sans en rajouter. Cette transparence du message permet aussi de voir les petits accidents de courbe de réponse de l’enceinte mais qui pour le coup deviennent flatteurs et magnifies certains morceaux. L’audiomat n’en rajoute pas dans le bas ce qui permet de mieux maîtriser un bas médium et le grave quelques fois envahissant lors de nos écoutes précédentes ...c’est la meilleure proposition de la journée qui démontrent que même si l’acoustique reste à travailler, les enceintes demontrent rapidement leur potentiel proportionnellement à la qualité de l’électronique qui les accompagne.
écoute des Lemda avec audiomat Tempo 2.8 plus pre amp mastersound après changement HP Fertin
Dès la première écoute, à froid, sans rodage , c’est phénoménal !! La musique est là, vivante, expressive, dynamique, scénique, légères, subtile, le cerveau se déconnecte pour laisser place au plaisir qui va bien au déla de l’écoute . Cela donne de la joie, on a envie de sourire, de partager ce moment avec les personnes qui vous sont chères . Tous les petits défauts ou accidents de courbes de l’écoute précédente n’existent plus ! L’ensemble est charpenté et musical pour laisser place aux musicien et à la sensibilité de l’artiste qui vous transmet une émotion indéniable.
Cette écoute est pour moi l’une des trois plus belles que j’ai réalisé depuis bien longtemps !
Je n’ai volontairement pas employé tous les termes d’un audiophile ou mélomane car aucun ne peut réellement retranscrire la charge émotionnelle que procure ces écoutes
En tout cas superbe journée d’écoute et de partage d’un super moment avec mon pote !
ce post n’a peut être rien à faire dans ce fil mais si le Tempo C n’est pas moins bon voir tout aussi bon que le 2.8 , cette confrontation Ayon /Tempo a le mérite d’exister et sans couper les pines de mouche en 4 ;-) ça en dit long sur le potentiel....
