07-19-2019, 08:32 AM
(Modification du message : 07-19-2019, 08:35 AM par Musicalbox.)
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Tu crois que je vais lancer une étude ?
Platine vinyle.
Le souvenir qui me reste est JLB, importateur de la marque, réglant les Pink tout en parlant, de trois coups de clés devenus presque furtifs, geste machinal.
Mettre en route une Pink cnétait d’abord régler la hauteur du plateau, pas trop bas pour ne pas qu’il tape sur le moteur, pas trop haut pour éviter la version « GS position haute. « ....
Un système qui rendrait fous les hifistes d’aujourd’hui : il fallait commencer par la vis arrière, puis les deux latérales, faute de quoi c’était un casse-tête inextricable à donner le mal de mer.
Mais au résultat un plateau suspendu contrôlé.
On pouvait poser le stéthoscope sur la plaque supérieure du châssis, il n’y avait pas l’ombre d’un bruit.
Il y a des critères de qualité incontournables pour la lecture vinyle.
Les roulements, les pivots, le découplage des moteurs, ........
La majorité des platines sont des machines à bruits et à vibrations.
Pour parvenir à un silence total dans un assemblage aussi archaïque il faut une très haute qualité pour surmonter chaque opportunité de dégradation du résultat.
Se voiler la face n’est que s’offrir aux pièges.
Je ne juge rien, les choses sont comme elles sont.
Les technologies évoluent, la restitution de la musique peut aujourd’hui atteindre un niveau de naturel époustouflant, avec une fiabilité tranquille des matériels.
Je suis contente qu’ il’ y ait un horizon de potentiels très plaisant.
A chacun de se débrouiller avec ce qu’il veut.
Quel que soit le type de matériel il y a toujours deux mondes : la gastronomie ou le fast food.
Tu crois que je vais lancer une étude ?
Platine vinyle.
Le souvenir qui me reste est JLB, importateur de la marque, réglant les Pink tout en parlant, de trois coups de clés devenus presque furtifs, geste machinal.
Mettre en route une Pink cnétait d’abord régler la hauteur du plateau, pas trop bas pour ne pas qu’il tape sur le moteur, pas trop haut pour éviter la version « GS position haute. « ....
Un système qui rendrait fous les hifistes d’aujourd’hui : il fallait commencer par la vis arrière, puis les deux latérales, faute de quoi c’était un casse-tête inextricable à donner le mal de mer.
Mais au résultat un plateau suspendu contrôlé.
On pouvait poser le stéthoscope sur la plaque supérieure du châssis, il n’y avait pas l’ombre d’un bruit.
Il y a des critères de qualité incontournables pour la lecture vinyle.
Les roulements, les pivots, le découplage des moteurs, ........
La majorité des platines sont des machines à bruits et à vibrations.
Pour parvenir à un silence total dans un assemblage aussi archaïque il faut une très haute qualité pour surmonter chaque opportunité de dégradation du résultat.
Se voiler la face n’est que s’offrir aux pièges.
Je ne juge rien, les choses sont comme elles sont.
Les technologies évoluent, la restitution de la musique peut aujourd’hui atteindre un niveau de naturel époustouflant, avec une fiabilité tranquille des matériels.
Je suis contente qu’ il’ y ait un horizon de potentiels très plaisant.
A chacun de se débrouiller avec ce qu’il veut.
Quel que soit le type de matériel il y a toujours deux mondes : la gastronomie ou le fast food.