Voilà, les vacances sont terminées, on se remet au boulot avec courage. L’objectif de rentrée est de diminuer la bosse du bas médium. D’après les mesures selon différentes positions de l’enceinte, il parait quasi sûr que cela vient d’un tirage un peu trop efficace du pavillon de grave dans cette zone de fréquence. J’étais donc convaincu qu’un évent positionné tout en haut de l’enceinte entre son volume avant comprenant les haut-parleurs et le volume arrière constitué de la ligne acoustique exponentielle était nécessaire. Je m’en doutais depuis le départ mais il était préférable de tester ce que cela donnait sans évent, histoire de savoir pourquoi on se plante (relativement).
Construire une enceinte est une chose, la modifier en est une autre, autrement plus délicate. En l’occurence, faire rentrer une pièce plus grosse que l’ouverture directe disponible. La solution était de tirer les pièces par des ficelles par la ligne acoustique à partir du bas de l’enceinte, lors de chaque ajustement puis du collage. Amusant. J’ai passé les ficelles puis le câble d’alimentation avec un fil de cuivre de trois mm crochu à un bout.
Sur les photos, d’abord les deux pièces qui viennent de chaque coté du coffret du tweeter, leur calage avec des pièces « étudiées pour »,
Collage terminé. J’ai placé la colle epoxy avec une lame de scie à métal usagée vu le peu d’accessibilité. C’est pas très régulier mais cela ne se voit pas. La charge est celle fournie par Sicomin, à base de fibre de bois. J’avais l’habitude des charges microballons et micro-fibres, plus légères, mais pour une enceinte acoustique, leur charge est très facile à utiliser, se mélange facilement, se règle facilement à la bonne consistance (mousse au chocolat), ne coule pas, est facile à appliquer, et est couleur bois, ce qui n’est pas négligeable pour rendre les joints plus discrets.
Les vis servant à tracter les pièces sont retirées et un petit rouleau de tissu amortissant est calé entre les HPs et l’évent, sans boucher le passage.
Le tweeter est replacé, j’en ai profité pour optimiser son positionnement avant-arrière pour la phase. Une boucle de fil est scotché au câble du tweeter et s’accroche à une entretoise en métal pour que le fil issu du tweeter ne risque pas d’être mis en tension.
Voilà, quelques heures d’écoute ont confirmé une réduction perceptible de la bosse. Les mesures aussi. La « neutralité « des 26 est maintenant comparable aux autres, sans pour autant qu’elles aient perdu leur capacité particulière à révéler les « matières » et l’énergie des timbres . Reste à voir ce que cela peut donner dans un autre contexte acoustique de salle et si cela passe pas trop mal, je vous donne les plans. Préparez vos scies et vos spatules !
Construire une enceinte est une chose, la modifier en est une autre, autrement plus délicate. En l’occurence, faire rentrer une pièce plus grosse que l’ouverture directe disponible. La solution était de tirer les pièces par des ficelles par la ligne acoustique à partir du bas de l’enceinte, lors de chaque ajustement puis du collage. Amusant. J’ai passé les ficelles puis le câble d’alimentation avec un fil de cuivre de trois mm crochu à un bout.
Sur les photos, d’abord les deux pièces qui viennent de chaque coté du coffret du tweeter, leur calage avec des pièces « étudiées pour »,
Collage terminé. J’ai placé la colle epoxy avec une lame de scie à métal usagée vu le peu d’accessibilité. C’est pas très régulier mais cela ne se voit pas. La charge est celle fournie par Sicomin, à base de fibre de bois. J’avais l’habitude des charges microballons et micro-fibres, plus légères, mais pour une enceinte acoustique, leur charge est très facile à utiliser, se mélange facilement, se règle facilement à la bonne consistance (mousse au chocolat), ne coule pas, est facile à appliquer, et est couleur bois, ce qui n’est pas négligeable pour rendre les joints plus discrets.
Les vis servant à tracter les pièces sont retirées et un petit rouleau de tissu amortissant est calé entre les HPs et l’évent, sans boucher le passage.
Le tweeter est replacé, j’en ai profité pour optimiser son positionnement avant-arrière pour la phase. Une boucle de fil est scotché au câble du tweeter et s’accroche à une entretoise en métal pour que le fil issu du tweeter ne risque pas d’être mis en tension.
Voilà, quelques heures d’écoute ont confirmé une réduction perceptible de la bosse. Les mesures aussi. La « neutralité « des 26 est maintenant comparable aux autres, sans pour autant qu’elles aient perdu leur capacité particulière à révéler les « matières » et l’énergie des timbres . Reste à voir ce que cela peut donner dans un autre contexte acoustique de salle et si cela passe pas trop mal, je vous donne les plans. Préparez vos scies et vos spatules !